Italie : les larmes de crocodile de la ministre Elsa Fornero annonçant la reforme des retraites ! (video)
5 décembre 2011, 21:53
Je crois à la sincérité de cette émotion. Cependant ...
La ministre italienne des affaires sociales "économiste très réputée a admis que les retraites ne seraient plus indexées sur l’inflation à partir de 2012".
Cependant, il me semble qu’un économiste réputé ferait mieux d’avoir honte d’annoncer un tel programme ou encore mieux de s’abstenir d’y collaborer.
Conclusion : la ministre est sincère, mais il me semble que sa réputation d’économiste est surfaite. Elle collabore à l’exploitation des plus pauvres. C’est pas de l’économie, c’est de la lutte des classes. Et c’est encore les plus riches qui gagnent ! Les larmes ne servent à rien, sauf à montrer qu’il reste à la ministre un peu de conscience. Elle peut aller au bout de sa logique et démissionner. Elle n’est pas obligée de se mettre au service des riches et du capitalisme sauvage. Elle n’est pas obligée de se rendre complice du racket des masses populaires, des retraités, des travailleurs et des gens modestes.
Elle pleure parce qu’elle aide les riches à le rester et à gagner encore plus. Elle pleure parce qu’elle réalise qu’elle met sa prétendue compétence au service de l’appauvrissement des plus pauvres et des classes moyennes pour que les gueux et les modestes restent pauvres et soient dociles.
Oui elle peut pleurer... de honte.
Nos flics de France n’ont pas pleuré quand ils ont conduit les juifs, avec femmes et enfants, à la Gestapo. Avec autant de zèle, ils continuent de maltraiter les plus pauvres, les sans papiers, les plus pauvres, les pas assez blancs, les paumés. Une police ? En fait une milice politique au service d’un système, d’un état autoritaire, en passe de devenir totalitaire, et dans pas longtemps il sera dictatorial.
Eh bien pour la ministre italienne c’est pareil. On ne collabore avec une politique qui fait pleurer, qui fait honte, qui plonge les gens dans la misère et qui tue.
Je crois à la sincérité de cette émotion. Cependant ...
La ministre italienne des affaires sociales "économiste très réputée a admis que les retraites ne seraient plus indexées sur l’inflation à partir de 2012".
Cependant, il me semble qu’un économiste réputé ferait mieux d’avoir honte d’annoncer un tel programme ou encore mieux de s’abstenir d’y collaborer.
Conclusion : la ministre est sincère, mais il me semble que sa réputation d’économiste est surfaite. Elle collabore à l’exploitation des plus pauvres. C’est pas de l’économie, c’est de la lutte des classes. Et c’est encore les plus riches qui gagnent ! Les larmes ne servent à rien, sauf à montrer qu’il reste à la ministre un peu de conscience. Elle peut aller au bout de sa logique et démissionner. Elle n’est pas obligée de se mettre au service des riches et du capitalisme sauvage. Elle n’est pas obligée de se rendre complice du racket des masses populaires, des retraités, des travailleurs et des gens modestes.
Elle pleure parce qu’elle aide les riches à le rester et à gagner encore plus. Elle pleure parce qu’elle réalise qu’elle met sa prétendue compétence au service de l’appauvrissement des plus pauvres et des classes moyennes pour que les gueux et les modestes restent pauvres et soient dociles.
Oui elle peut pleurer... de honte.
Nos flics de France n’ont pas pleuré quand ils ont conduit les juifs, avec femmes et enfants, à la Gestapo. Avec autant de zèle, ils continuent de maltraiter les plus pauvres, les sans papiers, les plus pauvres, les pas assez blancs, les paumés. Une police ? En fait une milice politique au service d’un système, d’un état autoritaire, en passe de devenir totalitaire, et dans pas longtemps il sera dictatorial.
Eh bien pour la ministre italienne c’est pareil. On ne collabore avec une politique qui fait pleurer, qui fait honte, qui plonge les gens dans la misère et qui tue.