"Certainement que ce n’est pas l’idéal, et personnellement, Mélenchon n’est pas du tout ma tasse de thé, il n’empêche que ce rassemblement progressiste est indispensable, que c’est à chacun de s’y engager pour le réorienter encore plus à gauche. "
Le NPA devrait dont entrer dans le flanc de gauche pour le faire rougir, l’aidant ainsi à faire de même pour ripoliner cette fois-ci une nouvelle gauche plurielle.
C’est faire l’impasse sur l’appareil du PCF de et ses miliers d’élu-es dont dépend sa survie. D’ailleurs, Il suffit de regarder ce que font AUJOURD’HUI ses élus au Sénat, à Montpellier, les bouches du Rhône ou ailleurs et dans la plupart des régions pour s’apercevoir qu’il y a un double discours : leur politique dans les institutions fait le grand écart avec ce qu’ils disent en dehors. (LGV, apprentissage, financement public des écoles privées...)
Son discours est plus à gauche que celui du PS, mais il reste celui d’une gauche réformiste, même si Mélenchon a déclaré au JT du 20H de la "2" dimanche que son projet s’apparente au socialisme révolutionnaire ! Mais juste avant, invité de BFM-TV, son discours n’était pas le même :
Sur le rôle des luttes, JLM avait été interpelé (indirectement) par des questions d’ ouvriers interviewés à l’entrée de l’usine Michelin de Clermont Ferrand.
– Un ouvrier avait réfuté la stratégie de la révolution par les urnes, rappelant le rôle fondamental des luttes dans la conquête des droits sociaux. Réponse de JLM : les luttes ont leur importance, mais n’oublions pas que c’est grâce aux urnes qu’on été obtenues les 4 premières semaines des congés payés (!), les 35h, la retraite à 60 ans...."
Un autre, militant CGT lui dit ne plus accorder sa confiance à la gauche de gouvernement, se disant avoir été "roulé dans le farine"(c’est son expression) 2 ans après 1981. JLM lui avait répondu qu’il ’est pas d’accord avec lui sur son bilan négatif et dresse un bilan positif en valorise les années Miterrand (retraite à 60 ans, 39 h, 5ème semaine) et Jospin (35h).
Dans son interview donnée aux journal "Les échos", notons un autre recul aprsès celui des 37,5 annuités, sur le smic :
"Pourquoi les entrepreneurs fuiraient-ils ? La hausse du SMIC -1.700 euros nets en fin de législature -s’applique à des secteurs de l’économie non exposés à la concurrence internationale."
"Certainement que ce n’est pas l’idéal, et personnellement, Mélenchon n’est pas du tout ma tasse de thé, il n’empêche que ce rassemblement progressiste est indispensable, que c’est à chacun de s’y engager pour le réorienter encore plus à gauche. "
Le NPA devrait dont entrer dans le flanc de gauche pour le faire rougir, l’aidant ainsi à faire de même pour ripoliner cette fois-ci une nouvelle gauche plurielle.
C’est faire l’impasse sur l’appareil du PCF de et ses miliers d’élu-es dont dépend sa survie. D’ailleurs, Il suffit de regarder ce que font AUJOURD’HUI ses élus au Sénat, à Montpellier, les bouches du Rhône ou ailleurs et dans la plupart des régions pour s’apercevoir qu’il y a un double discours : leur politique dans les institutions fait le grand écart avec ce qu’ils disent en dehors. (LGV, apprentissage, financement public des écoles privées...)
Son discours est plus à gauche que celui du PS, mais il reste celui d’une gauche réformiste, même si Mélenchon a déclaré au JT du 20H de la "2" dimanche que son projet s’apparente au socialisme révolutionnaire ! Mais juste avant, invité de BFM-TV, son discours n’était pas le même :
Sur le rôle des luttes, JLM avait été interpelé (indirectement) par des questions d’ ouvriers interviewés à l’entrée de l’usine Michelin de Clermont Ferrand.
– Un ouvrier avait réfuté la stratégie de la révolution par les urnes, rappelant le rôle fondamental des luttes dans la conquête des droits sociaux. Réponse de JLM : les luttes ont leur importance, mais n’oublions pas que c’est grâce aux urnes qu’on été obtenues les 4 premières semaines des congés payés (!), les 35h, la retraite à 60 ans...."
Un autre, militant CGT lui dit ne plus accorder sa confiance à la gauche de gouvernement, se disant avoir été "roulé dans le farine"(c’est son expression) 2 ans après 1981. JLM lui avait répondu qu’il ’est pas d’accord avec lui sur son bilan négatif et dresse un bilan positif en valorise les années Miterrand (retraite à 60 ans, 39 h, 5ème semaine) et Jospin (35h).
Dans son interview donnée aux journal "Les échos", notons un autre recul aprsès celui des 37,5 annuités, sur le smic :
"Pourquoi les entrepreneurs fuiraient-ils ? La hausse du SMIC -1.700 euros nets en fin de législature -s’applique à des secteurs de l’économie non exposés à la concurrence internationale."