Législatives : Vaincre grâce à la "farce" même de l’UMP (zaz)
22 mai 2012, 11:54
Qu’est-ce qu’il est bien François !
Tiens ! il va aux USA : pour leur faire vraiment plaisir il leur dit d’entrée qu’il se retire d’Afghanistan,
ils accusent le coup, moyens les Yankees, pas très contents. En aucun cas François ne leur dit que ce n’est pas à cause des talibans, mais en réalité bien sûr à cause des juges de NY.
En aucun cas il ne leur dit l’évidence grosse pourtant comme la poutre dans leurs ray bans, à savoir que l’Affront, l’énorme affront, l’incompressible, l’indéniable fait au peuple français, le déni de démocratie, l’entuilage de l’inaliénable souveraineté frenchie, bon ben évidemment, depuis Carolus Magnus et Charles de Gaulle, ça ne passe évidemment pas, ça ne passera pas, ça ne peut pas passer.
Bien sûr pour compenser relativement , on le rappelle il y a eu autrefois le Day D, le Jour J, le sanglot long des violons qui remplissait notre âme de je ne sais plus quoi. Tu te rends compte si c’est injuste ! on a même oublié ça.
En aucun cas, François n’a donc perdu son sang froid, en aucun cas François n’a pointé du doigt qu’Obama, Hillary, etc. nous avaient poussé l’avant-bras in the wax jusqu’à soutenir l’ex-président malgré tout résolument perdant.
En aucun cas François ne leur a dit, et il ne le leur dira jamais, que les amis américains se sont révélés faux derches, en aucun cas il ne leur dira que toute cette Ambassade à nous là-bas c’est pour leur faire plaisir que ce n’est plus l’avenir que ça ne sert à rien, que Mosou et Pékin seront bien plus utiles pour nous demain.
Que ne fait-on, que ne ment-on par amitié pour nos amis Américains !
Qu’est-ce qu’il est bien François !
Tiens ! il va aux USA : pour leur faire vraiment plaisir il leur dit d’entrée qu’il se retire d’Afghanistan,
ils accusent le coup, moyens les Yankees, pas très contents. En aucun cas François ne leur dit que ce n’est pas à cause des talibans, mais en réalité bien sûr à cause des juges de NY.
En aucun cas il ne leur dit l’évidence grosse pourtant comme la poutre dans leurs ray bans, à savoir que l’Affront, l’énorme affront, l’incompressible, l’indéniable fait au peuple français, le déni de démocratie, l’entuilage de l’inaliénable souveraineté frenchie, bon ben évidemment, depuis Carolus Magnus et Charles de Gaulle, ça ne passe évidemment pas, ça ne passera pas, ça ne peut pas passer.
Bien sûr pour compenser relativement , on le rappelle il y a eu autrefois le Day D, le Jour J, le sanglot long des violons qui remplissait notre âme de je ne sais plus quoi. Tu te rends compte si c’est injuste ! on a même oublié ça.
En aucun cas, François n’a donc perdu son sang froid, en aucun cas François n’a pointé du doigt qu’Obama, Hillary, etc. nous avaient poussé l’avant-bras in the wax jusqu’à soutenir l’ex-président malgré tout résolument perdant.
En aucun cas François ne leur a dit, et il ne le leur dira jamais, que les amis américains se sont révélés faux derches, en aucun cas il ne leur dira que toute cette Ambassade à nous là-bas c’est pour leur faire plaisir que ce n’est plus l’avenir que ça ne sert à rien, que Mosou et Pékin seront bien plus utiles pour nous demain.
Que ne fait-on, que ne ment-on par amitié pour nos amis Américains !