Bien évidemment, en "consacrant" (il suffit de rendre sacré pour rendre indispensable) ne serait-ce que le tiers de cet argent ailleurs, le problème serait résolu différemment, on le sait, mais on s’en fout.
Les "gains" de "productivité" (c-à-d : le pognon à récupérer) ont besoin d’une idée fixe pour s’assurer un avenir, aussi pourri soit-il, car c’est l’idée même de ce genre de GAIN pour le gain (le profit pour soi seul) qui est pourri et pourri tout, toute la vie.
Pourquoi le nucléaire NE PEUT PAS s’éteindre, car il va falloir que tout l’argent qui y est ENCORE investi trouve rentabilité.
L’usine Georges BEsse 2 vaut — pour l’instant : on connaît les prévisions budgétaires du nucléaire, avec Flamanville, par exemple — 3 milliards pour le retraitement des déchets :
http://www.journaldelenvironnement.net/article/feu-georges-besse-1-vive-georges-besse-2,29367
et un beau .pdf, pour le dessert :
http://www.uarga.org/downloads/Document_breves/plaquette_gb2.pdf
Bien évidemment, en "consacrant" (il suffit de rendre sacré pour rendre indispensable) ne serait-ce que le tiers de cet argent ailleurs, le problème serait résolu différemment, on le sait, mais on s’en fout.
Les "gains" de "productivité" (c-à-d : le pognon à récupérer) ont besoin d’une idée fixe pour s’assurer un avenir, aussi pourri soit-il, car c’est l’idée même de ce genre de GAIN pour le gain (le profit pour soi seul) qui est pourri et pourri tout, toute la vie.