merci à vous de réagir autrement ! Je ne sais plus qui l’a dit mais, en effet, la liberté ne se donne pas, elle se prend... Si je devais protéger mes enfants, alors, oui, je ferais des milliers de kilomètres pour cela en espérant revenir rapidement sur le sol de mes ancêtres.
Entre le regard de cet enfant qui regarde au loin, par la fenêtre de son bus qui l’emmène quelque part, et le regard de nos gamins un peu trop gâtés, parfois (souvent) malpolis, parfois aussi malheureux des problèmes familiaux à répétition, je me dis qu’ils (nos enfants) ont la chance de ne pas connaître la guerre. Il est facile de parler, de dire que notre économie bascule vers le bas, que nous n’aurons pas à manger pour tout le monde, ni de travail, alors que la bourse explose de fric !
Il est moins facile de subir la misère du monde, que ce soit en France quand on est pauvre, ou au Moyen-Orient quand la guerre fait rage. Il est dit aussi que celui qui fait semblant de distribuer la liberté et la démocratie aux autres peuples sait bien profiter de ces derniers : le pétrole devient gratuit...
Je crois qu’on devrait tous enfin s’interroger sur le pourquoi de ce qui se passe aujourd’hui et pourquoi les gens ordinaires crèvent de trouille et finissent par voter les extrêmes pour entrer à leur tour dans une dictature qui peut les mener à la guerre !!!
Recevoir les personnes des continents que nos riches ont su dépouiller de leurs richesses, oui, c’est un devoir, et surtout, de les recevoir le plus dignement possible. Et arrêtons de dire des sottises : ils ne mangeront pas notre pain, parce que nous en cuirons un plus gros que nous partagerons ensemble. C’est bien connu : Les pauvres aident toujours les pauvres... Combien de réfugiés dans les quartiers riches ? Faut-il encore parler de discrimination positive ? tu as des diplômes, alors tu peux entrer, tu n’as pas de diplôme, tant pis pour toi...
Quand à recevoir des musulmans, ce qui se comprend vu l’origine des conflits, il n’y a de problème que pour les sots : nous garderons pour nous les cochons de Bretagne et ils mangeront le mouton qu’ils auront à cœur de partager avec nous, ou seulement les légumes pour les végétariens : mais qu’est ce que cela change ?
Ce n’est vraiment pas important !
Parce que le plus important, aujourd’hui, et c’est une urgence, c’est le bonheur de tous, ce qui rime bien-sûr avec intelligence et solidarité !
merci à vous de réagir autrement ! Je ne sais plus qui l’a dit mais, en effet, la liberté ne se donne pas, elle se prend... Si je devais protéger mes enfants, alors, oui, je ferais des milliers de kilomètres pour cela en espérant revenir rapidement sur le sol de mes ancêtres.
Entre le regard de cet enfant qui regarde au loin, par la fenêtre de son bus qui l’emmène quelque part, et le regard de nos gamins un peu trop gâtés, parfois (souvent) malpolis, parfois aussi malheureux des problèmes familiaux à répétition, je me dis qu’ils (nos enfants) ont la chance de ne pas connaître la guerre. Il est facile de parler, de dire que notre économie bascule vers le bas, que nous n’aurons pas à manger pour tout le monde, ni de travail, alors que la bourse explose de fric !
Il est moins facile de subir la misère du monde, que ce soit en France quand on est pauvre, ou au Moyen-Orient quand la guerre fait rage. Il est dit aussi que celui qui fait semblant de distribuer la liberté et la démocratie aux autres peuples sait bien profiter de ces derniers : le pétrole devient gratuit...
Je crois qu’on devrait tous enfin s’interroger sur le pourquoi de ce qui se passe aujourd’hui et pourquoi les gens ordinaires crèvent de trouille et finissent par voter les extrêmes pour entrer à leur tour dans une dictature qui peut les mener à la guerre !!!
Recevoir les personnes des continents que nos riches ont su dépouiller de leurs richesses, oui, c’est un devoir, et surtout, de les recevoir le plus dignement possible. Et arrêtons de dire des sottises : ils ne mangeront pas notre pain, parce que nous en cuirons un plus gros que nous partagerons ensemble. C’est bien connu : Les pauvres aident toujours les pauvres... Combien de réfugiés dans les quartiers riches ? Faut-il encore parler de discrimination positive ? tu as des diplômes, alors tu peux entrer, tu n’as pas de diplôme, tant pis pour toi...
Quand à recevoir des musulmans, ce qui se comprend vu l’origine des conflits, il n’y a de problème que pour les sots : nous garderons pour nous les cochons de Bretagne et ils mangeront le mouton qu’ils auront à cœur de partager avec nous, ou seulement les légumes pour les végétariens : mais qu’est ce que cela change ?
Ce n’est vraiment pas important !
Parce que le plus important, aujourd’hui, et c’est une urgence, c’est le bonheur de tous, ce qui rime bien-sûr avec intelligence et solidarité !