Loi Travail : Pourquoi Jean-Luc Mélenchon et les syndicats ne sont pas sur la même longueur d’onde (video)
12 juillet 2017, 12:48, par G. B.
Depuis le début de la FI et même du Front de gauche, Martinez comme ses prédécesseurs sont sur une réserve voire un rejet contre-productifs qui rappellent quand même beaucoup — même si Martinez n’en est pas membre l’« administration » de son organisation en est quand même saturée — celle des caciques du PCF : « Si on doit aller vers le néant à cause de notre incurie, on ne permettra à personne, et surtout pas à J.-L. Mélenchon, de prendre la relève et de mener la lutte. On l’accusera même d’être responsable de notre déchéance (démarche similaire à celle de nos chers amis du PS) ».
Quant à FO et à la honteuse CFDT, rien de nouveau chez les retourneurs de vestes et pas grand-chose à en attendre.
Il faudrait rappeler à ces gens que même si les syndicats, notamment la CGT, parviennent à créer un mouvement de protestation suffisamment puissant pour faire dévier les projets du Medef-En-Marche, ce seront bien in fine les politiques qui régleront l’affaire. Si le syndicalisme n’inclut pas les décisions politiques, la politique inclut les revendications syndicalistes.
Depuis le début de la FI et même du Front de gauche, Martinez comme ses prédécesseurs sont sur une réserve voire un rejet contre-productifs qui rappellent quand même beaucoup — même si Martinez n’en est pas membre l’« administration » de son organisation en est quand même saturée — celle des caciques du PCF : « Si on doit aller vers le néant à cause de notre incurie, on ne permettra à personne, et surtout pas à J.-L. Mélenchon, de prendre la relève et de mener la lutte. On l’accusera même d’être responsable de notre déchéance (démarche similaire à celle de nos chers amis du PS) ».
Quant à FO et à la honteuse CFDT, rien de nouveau chez les retourneurs de vestes et pas grand-chose à en attendre.
Il faudrait rappeler à ces gens que même si les syndicats, notamment la CGT, parviennent à créer un mouvement de protestation suffisamment puissant pour faire dévier les projets du Medef-En-Marche, ce seront bien in fine les politiques qui régleront l’affaire. Si le syndicalisme n’inclut pas les décisions politiques, la politique inclut les revendications syndicalistes.