cette colère populaire spontanée est compréhensible, mais elle ne fera évoluer la société, et elle n’enrayera la crise écologique, que si nous nous mettons ensemble, citoyens, pour restaurer et réinventer des espaces de gratuité, faute de quoi, avec les lepéno-poujadistes, l’Europe va compter un pays fasciste de plus. Nous sommes, comme dans les années 30-40, condamnés à sortir de cette épreuve par le haut, il faudra un nouveau "programme des jours heureux" comme en 1944, grâce au Conseil National de la Résistance.
Et, comme aujourd’hui, nous avons une crise écologique autant que sociale, nous avons intérêt à (re)commencer à remettre, réinventer, des espaces de gratuité
Je ne résiste pas à l’envie de vous faire partager le dernier livre de Paul Ariès :
" gratuité vs capitalisme" aux éditions Larousse (publicité gratuite !)
cette colère populaire spontanée est compréhensible, mais elle ne fera évoluer la société, et elle n’enrayera la crise écologique, que si nous nous mettons ensemble, citoyens, pour restaurer et réinventer des espaces de gratuité, faute de quoi, avec les lepéno-poujadistes, l’Europe va compter un pays fasciste de plus. Nous sommes, comme dans les années 30-40, condamnés à sortir de cette épreuve par le haut, il faudra un nouveau "programme des jours heureux" comme en 1944, grâce au Conseil National de la Résistance.
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