Marxisme-léninisme, Marx, Lénine, ML, en deux mots, c’est quoi ? (Partie 1)
22 mai 2019, 10:39, par Lepotier
Bonjour,
Le texte de J. Roux n’est malheureusement accessible qu’en partie limitée, sur le site de la BNF.
Toutefois, d’après ce peu et le compte rendu qui en est fait par vous-même et en lien, on comprend qu’il s’agit d’une approche éclectique du marxisme, voire même, qui se revendique comme telle.
Or l’idée de l’article, outre le fait de résumer, c’est de repréciser ce qui reste à la fois de fondamental et d’opérationnel, actuellement, dans le ML. De fait, la question philo n’y est pas abordée. Elle ne peut guère être résumée. Elle pourrait, effectivement, faire l’objet d’un article complémentaire...
Quoi qu’il en soit, fondamentalement, le marxisme repose sur le matérialisme dialectique, à la fois philosophie et méthode, de par sa nature même. Donc le marxisme, fondamentalement, est une méthode d’étude et d’analyse du réel, et il aboutit à des conclusions sur l’état du monde à un moment donné, et il en tire des conséquences. Par conséquent, il ne saurait être un éclectisme.
Aujourd’hui, appliqué à l’histoire, et même à l’histoire du ML, il ne peut mener à un simple recensement des courants qu’il a lui-même engendré, mais doit au contraire en faire une analyse critique. Non dans le but d’en choisir l’un ou l’autre, à priori, ce qui serait un déni de la méthode, mais après évaluation de leurs effets respectifs il doit évaluer l’impact passé et encore possible des fondamentaux du ML sur le réel et chercher à en déduire les éléments d’une nouvelle démarche ML de notre temps.
Et évidemment, pas seulement dans le domaine de l’histoire du ML, mais dans tous les domaines.
Bonjour,
Le texte de J. Roux n’est malheureusement accessible qu’en partie limitée, sur le site de la BNF.
Toutefois, d’après ce peu et le compte rendu qui en est fait par vous-même et en lien, on comprend qu’il s’agit d’une approche éclectique du marxisme, voire même, qui se revendique comme telle.
Or l’idée de l’article, outre le fait de résumer, c’est de repréciser ce qui reste à la fois de fondamental et d’opérationnel, actuellement, dans le ML. De fait, la question philo n’y est pas abordée. Elle ne peut guère être résumée. Elle pourrait, effectivement, faire l’objet d’un article complémentaire...
Quoi qu’il en soit, fondamentalement, le marxisme repose sur le matérialisme dialectique, à la fois philosophie et méthode, de par sa nature même. Donc le marxisme, fondamentalement, est une méthode d’étude et d’analyse du réel, et il aboutit à des conclusions sur l’état du monde à un moment donné, et il en tire des conséquences. Par conséquent, il ne saurait être un éclectisme.
Aujourd’hui, appliqué à l’histoire, et même à l’histoire du ML, il ne peut mener à un simple recensement des courants qu’il a lui-même engendré, mais doit au contraire en faire une analyse critique. Non dans le but d’en choisir l’un ou l’autre, à priori, ce qui serait un déni de la méthode, mais après évaluation de leurs effets respectifs il doit évaluer l’impact passé et encore possible des fondamentaux du ML sur le réel et chercher à en déduire les éléments d’une nouvelle démarche ML de notre temps.
Et évidemment, pas seulement dans le domaine de l’histoire du ML, mais dans tous les domaines.
Lepotier