Je suis malheureusement d’accord avec Rose. Pour s’opposer à l’ultra-droite il faut gagner les élections.
Certes nous devons être fidèles à nos idées mais les éternels 5% aux élections présidentielles non seulement n’empêchent pas l’élection des libéraux mais en plus deviennent quasiment ,au final, un facteur de victoire pour eux. S’il n’y a pas d’opposition dans les institutions c’est comme s’il n’y en avait pas du tout, en définitive il s’agit d’une opposition perpétuellement stérile qui trace une énorme autoroute aux libéraux.
Je ne suis pour autant pas naïf et conçoit fort bien la difficulté de faire confiance à des socialistes qui ont montré lors de leur dernier congrès combien les interêts personnels prévalaient sur le reste. C’est pourquoi mon idée serait que vous suspendiez votre décision à la condition qu’il y ait un candidat unique à gauche (désigné par des primaires électorales) qui s’engage sur un vrai programme de gauche
Au moins si les socialistes refusaient, ils ne pourraient plus rejeter la responsabilité de la division sur les autres parties de gauche.
Je suis malheureusement d’accord avec Rose. Pour s’opposer à l’ultra-droite il faut gagner les élections.
Certes nous devons être fidèles à nos idées mais les éternels 5% aux élections présidentielles non seulement n’empêchent pas l’élection des libéraux mais en plus deviennent quasiment ,au final, un facteur de victoire pour eux. S’il n’y a pas d’opposition dans les institutions c’est comme s’il n’y en avait pas du tout, en définitive il s’agit d’une opposition perpétuellement stérile qui trace une énorme autoroute aux libéraux.
Je ne suis pour autant pas naïf et conçoit fort bien la difficulté de faire confiance à des socialistes qui ont montré lors de leur dernier congrès combien les interêts personnels prévalaient sur le reste. C’est pourquoi mon idée serait que vous suspendiez votre décision à la condition qu’il y ait un candidat unique à gauche (désigné par des primaires électorales) qui s’engage sur un vrai programme de gauche
Au moins si les socialistes refusaient, ils ne pourraient plus rejeter la responsabilité de la division sur les autres parties de gauche.