Je tiens à dire que j’ai été dans les années 70 engagé dans le mouvement gaulliste. Même si mes idées ont beaucoup évolué depuis, je suis effaré de voir à quel point Sarkozy a rongé de l’intérieur ce qu’est devenu ensuite cette tendance. Effarré de voir une majorité de Français se préparer à abandonner leurs libertés. Effaré de voir leur aveuglement devant ce qui est déjà un verrouillage du pouvoir. Effarré de voir les censures se multiplier : l’affiche d’Act-Up, l’interview de Yannick Noah, le bouquin de sa femme, et même sa biographie sur Wikipédia marquée d’un label "pas objectif", etc.
Sans doute faudra-t-il que la France courageuse, tolérante, aille une nouvelle fois se battre pour l’amour de la liberté et le respect de chacun quel que soit son origine et ses croyances. Mais à quel prix ?
Il faut aussi que les français réfléchissent sérieusement au danger majeur que représenterait un tel individu : il n’hésiterait sans doute pas, comme Bush, à lancer son pays dans les pires aventures guerrières, si la contestation intérieure menaçait de lui reprendre le pouvoir acquis sur le désespoir des Français. Fantasme ? Paranoïa ? Pas si sur. C’est maintenant qu’il faut empécher cela.
Je tiens à dire que j’ai été dans les années 70 engagé dans le mouvement gaulliste. Même si mes idées ont beaucoup évolué depuis, je suis effaré de voir à quel point Sarkozy a rongé de l’intérieur ce qu’est devenu ensuite cette tendance. Effarré de voir une majorité de Français se préparer à abandonner leurs libertés. Effaré de voir leur aveuglement devant ce qui est déjà un verrouillage du pouvoir. Effarré de voir les censures se multiplier : l’affiche d’Act-Up, l’interview de Yannick Noah, le bouquin de sa femme, et même sa biographie sur Wikipédia marquée d’un label "pas objectif", etc.
Sans doute faudra-t-il que la France courageuse, tolérante, aille une nouvelle fois se battre pour l’amour de la liberté et le respect de chacun quel que soit son origine et ses croyances. Mais à quel prix ?
Il faut aussi que les français réfléchissent sérieusement au danger majeur que représenterait un tel individu : il n’hésiterait sans doute pas, comme Bush, à lancer son pays dans les pires aventures guerrières, si la contestation intérieure menaçait de lui reprendre le pouvoir acquis sur le désespoir des Français. Fantasme ? Paranoïa ? Pas si sur. C’est maintenant qu’il faut empécher cela.