Sur la question, ma position à moi est bien simple et rejoins amplement mais pour le diagnostic seul celle de Michel Husson :
– La dette soi-disant publique est la conséquence directe du capitalisme ravageant la société.
Financièrement, c’est la matérialisation très concrète de l’accumulation patrimoniale (issue de l’extorsion de plus-value).
– La classe des possédants gagne ainsi deux fois (j’extorque, j’accumule mes profits que je place principalement chez le débiteur le plus sûr : l’Etat) Bref, c’est la rente de l’exploiteur qui a réussi.
Et l’on veut faire gober au peuple exploité qu’il devra rembourser pour les conséquences de son exploitation ?
La dette soi-disant publique, c’est la dette du quart-monde. Il convient, comme pour celle du tiers-monde de militer pour son annulation pure et simple.
Sur la question, ma position à moi est bien simple et rejoins amplement mais pour le diagnostic seul celle de Michel Husson :
– La dette soi-disant publique est la conséquence directe du capitalisme ravageant la société.
Financièrement, c’est la matérialisation très concrète de l’accumulation patrimoniale (issue de l’extorsion de plus-value).
– La classe des possédants gagne ainsi deux fois (j’extorque, j’accumule mes profits que je place principalement chez le débiteur le plus sûr : l’Etat) Bref, c’est la rente de l’exploiteur qui a réussi.
Et l’on veut faire gober au peuple exploité qu’il devra rembourser pour les conséquences de son exploitation ?
La dette soi-disant publique, c’est la dette du quart-monde. Il convient, comme pour celle du tiers-monde de militer pour son annulation pure et simple.
Jean-Michel (PCF)