Car le discours de Royale quand il introduit une disymétrie violente entre la petite délinquance d’une partie des pauvres et l’énorme délinquance financière, indique très clairement son choix, par soustraction, d’une politique sécuritaire contre les pauvres et contre la jeunesse, mais pleine de mansuetude pour la délinquance financiere.
Son discours est un discours de haine sociale, enrobé avec des courtoisies de langage. Et, bien pire, ce discours est construit autour de campagnes de "com" où on articule au travers de trois phrases des propos cherchant à suciter des réactions emotionelles dans la population. Nous avons déjà eu ce type de grandes manips par Sarkozy avec ses postures de matadore, ces dérapages répugnants construits pour provoquer, empruntant puissemment au registre des demiurges fascistes....
Maintenant nous avons celà de la part de quelqu’un qui était auparavant comprise comme étant à gauche.
Celle-ci, en driblant Sarko sur sa droite, a les encouragements et les vivas des sécuritaires, l’onction satisfaite et calme de Le Pen qui voit, enfin, le principal parti de droite et le principal parti de gauche, enfourcher au galop, jouer un slow avec une partie de ses idées, la partie essentielle pour un fasciste : L’ordre et l’encadrement militaire des pauvres, la violence contre les pauvres, la mansuetude contre la bourgeoisie responsable de la destructuration sociale des couches popualires et responsable de l’insecurité sociale.
Bravo Jean-Claude !
Car le discours de Royale quand il introduit une disymétrie violente entre la petite délinquance d’une partie des pauvres et l’énorme délinquance financière, indique très clairement son choix, par soustraction, d’une politique sécuritaire contre les pauvres et contre la jeunesse, mais pleine de mansuetude pour la délinquance financiere.
Son discours est un discours de haine sociale, enrobé avec des courtoisies de langage. Et, bien pire, ce discours est construit autour de campagnes de "com" où on articule au travers de trois phrases des propos cherchant à suciter des réactions emotionelles dans la population. Nous avons déjà eu ce type de grandes manips par Sarkozy avec ses postures de matadore, ces dérapages répugnants construits pour provoquer, empruntant puissemment au registre des demiurges fascistes....
Maintenant nous avons celà de la part de quelqu’un qui était auparavant comprise comme étant à gauche.
Celle-ci, en driblant Sarko sur sa droite, a les encouragements et les vivas des sécuritaires, l’onction satisfaite et calme de Le Pen qui voit, enfin, le principal parti de droite et le principal parti de gauche, enfourcher au galop, jouer un slow avec une partie de ses idées, la partie essentielle pour un fasciste : L’ordre et l’encadrement militaire des pauvres, la violence contre les pauvres, la mansuetude contre la bourgeoisie responsable de la destructuration sociale des couches popualires et responsable de l’insecurité sociale.
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