... Le Floc de Gascogne, mais je le trouve un peu sirupeux, tandis que le Ratafia de Champagne (fait avec du Marc, chez moi) n’encourt pas ce petit reproche.
M’enfin, quand on a un peu de vague à l’âme, on ne fait pas le délicat et enquille sans y regarder tout en s’écoutant Kobie Van Rensburg, ce magnifique Ténor Sud-Africain vous promettre "Every valley shall be exalted/
and every mountain and hill made low ;/
the crooked straight and the rough places plain/"
tandis que Patricia Bardon, troublante Alto lui répond
"... Arise, Shine,/
for thy light is come.../"
dans The Messiah de G-F Haendel...
C’est sûr que "Toute vallée sera élevée,/
Toute montagne et toute colline seront abaissées ;/
Le tortueux sera redressé et le rugueux aplani..."
Voilà ce que je voudrais répondre au Yéti qui n’était pas obligé de quitter le Fou parce qu’il a brusquement ressenti l’ivresse de l’altitude en nous regardant si bas, nous autres fourmis !
Aujourd’hui, il nous manque. Il a creusé un fossé qu’il a rempli d’eau pour ne plus qu’on lui tire la manche...
Pourtant, son salut et le nôtre ne se conçoivent pas séparés.
Même s’il n’est pas là, c’est pour lui que je lève là mon verre de ratafia et que je vous appelle toutes et tous à vous en imbiber en apéro dès maintenant !
J’AIME BIEN...
... Le Floc de Gascogne, mais je le trouve un peu sirupeux, tandis que le Ratafia de Champagne (fait avec du Marc, chez moi) n’encourt pas ce petit reproche.
M’enfin, quand on a un peu de vague à l’âme, on ne fait pas le délicat et enquille sans y regarder tout en s’écoutant Kobie Van Rensburg, ce magnifique Ténor Sud-Africain vous promettre "Every valley shall be exalted/
and every mountain and hill made low ;/
the crooked straight and the rough places plain/"
tandis que Patricia Bardon, troublante Alto lui répond
"... Arise, Shine,/
for thy light is come.../"
dans The Messiah de G-F Haendel...
C’est sûr que "Toute vallée sera élevée,/
Toute montagne et toute colline seront abaissées ;/
Le tortueux sera redressé et le rugueux aplani..."
Voilà ce que je voudrais répondre au Yéti qui n’était pas obligé de quitter le Fou parce qu’il a brusquement ressenti l’ivresse de l’altitude en nous regardant si bas, nous autres fourmis !
Aujourd’hui, il nous manque. Il a creusé un fossé qu’il a rempli d’eau pour ne plus qu’on lui tire la manche...
Pourtant, son salut et le nôtre ne se conçoivent pas séparés.
Même s’il n’est pas là, c’est pour lui que je lève là mon verre de ratafia et que je vous appelle toutes et tous à vous en imbiber en apéro dès maintenant !
Fraternellement,
NOSE DE CHAMPAGNE