... Je suis rentré tard de Reims, hier soir, d’une journée complète au Comité Général de notre Union Départementale CGT de la Marne, suivie d’une cérémonie de remise de la médaille de Chevalier du Mérite national à un militant exemplaire...
Je suis intervenu une première fois en tant que secrétaire départemental des 12000 membres d’INDECOSA-51, puis une seconde fois en tant que membre de la CEX du SDEN 51 (dont je fus le secrétaire général de 1997 à 2005), devant mon camarade Denis BAUDEQUIN (secrétaire général de l’UNSEN CGT) qui représentait la confédération...
Il s’agissait de montrer la préparation du 8 février et son "après" avec les raison de lutter. Notre académie qui se fait taxer de 334 postes d’enseignants (ce qui n’englobe pas les emplois induits en matière d’ATSEM, de personnels de service ou d’administration), et notre département de 144 postes. Depuis 2003 nous avons perdu 1300 postes dans l’académie, que le Recteur (en infâme menteur-manipulateur) "justifie" par la démographie alors qu’il lui faut 48 élèves pour ouvrir un poste mais 12 seulement pour en fermer un !
Par ailleurs, nous avons été "royalement" doté de +0,8% au lieu de +0,5% sur le plan salarial, tandis que dans mon UL j’entends mes camarades négocier (NAO) sur des bases de 2%, quand l’inflation officielle atteint 1,8% !
Nous enseignants et fonctionnaires "privilégiés" avons subi une perte de 6% depuis 2000 et 20% en 23 ans sous tous les gouvernements... Alors quand le naboléon-nain agité du bocal nous propose de gagner plus en travaillant plus (alors qu’officiellement on reconnaît maintenant que les profs, toutes catégories confondues, n’effectuent pas de service total hebdo à moins de 39 heures, je dis ma rage ! Et eux, ils ajoutent HS obligatoires, remplacements foutoirs et inopinés, démantèlement des statuts...
Demain donc, çà va péter !
J’ai présenté la candidature de Nathalie (d’INTERMARCHÉ) à la CE de l’UD et elle a été élue à l’unanimité des 170 présents moins une abstention... Je dois lui annoncer çà par e.mail au retour !
Avant de rentrer donc, remise de médaille à mon pote Bernard, prêtre-ouvrier et ouvrier verrier, secrétaire du syndicat CGT, conseiller du salarié remarqué par la Direction du travail et la Préfecture pour avoir effectué plus de 1800 entretiens préalables en 10 ans ! 80 ans (il en fait 60) et bon pied bon oeil (et non pas pompier de Bonneuil !), c’est lui qui m’a recruté il y a 4 ans comme conseiller du salarié aussi... On était plusieurs centaines à l’assister chaleureusement pour la réception de son beau pin’s à ruban bleu, qu’il a dédié à l’UD CGT !
On est rentré en voiture après avoir conduit Denis BAUDEQUIN à la gare, en parcourant la Marne en diagonale de "haut en bas" (sur la carte). Sur une route traversant une obscurité humide, épaisse et totale, nous avions beau allumer le mur de lumière de l’éclairage de la "Multipla" si efficace d’habitude, celui-ci se dissolvait dans le noir et on sentait que quelquechose d’imprévu pour nous se préparait... Nous sommes arrivés à Vitry, et devant chez moi Jean-Marie à retrouvé sa voiture. Il lui restait encore plus de 20 kilomètres à parcourir pour retrouver ses pénates.
Marcel m’attendait sur le pas de la porte et il s’est roulé de plaisir à mes pieds quand j’ai glissé la clé dans la serrure. La porte à peine ouverte, Lulu m’a posé ses deux grosses papattes avant sur les épaules pour me dire sa joie de me retrouver après toute une journée d’absence...
J’ai donné à manger au chat puis au chien, et Chantal est rentrée de Saint-Dizier à son tour.
Nous avons soupé puis, fatigués, nous nous sommes couchés avec un livre. J’ai terminé "Jusqu’au dernier" de Deon Meyer (écrivain Sud-Africain qui décrit les transformations de l’Afrique du Sud post-apartheid)...
À cinq heures, j’ai accompagné Marcel à sa petite sortie habituelle. Quand j’ai refermé les volets la nuit était toujours aussi noire... Ce matin à huit heures, il neigeait à gros flocons et une fine pellicule jonchait l’herbe, les rosiers, la haie et les arbres... Nos voitures étaient recouvertes et blanches !
Voilà qui mérite une bonne mirabelle pour se mettre en train. Je la partage avec Juju, Anna, Léa, Lio, Tzigane, JMH, Claude et tous ceux qui voudront se joindre à nous...
Aujourd’hui, permanence INDECOSA dans ma ville !
BONJOUR NOT’ JUJU !
... Je suis rentré tard de Reims, hier soir, d’une journée complète au Comité Général de notre Union Départementale CGT de la Marne, suivie d’une cérémonie de remise de la médaille de Chevalier du Mérite national à un militant exemplaire...
Je suis intervenu une première fois en tant que secrétaire départemental des 12000 membres d’INDECOSA-51, puis une seconde fois en tant que membre de la CEX du SDEN 51 (dont je fus le secrétaire général de 1997 à 2005), devant mon camarade Denis BAUDEQUIN (secrétaire général de l’UNSEN CGT) qui représentait la confédération...
Il s’agissait de montrer la préparation du 8 février et son "après" avec les raison de lutter. Notre académie qui se fait taxer de 334 postes d’enseignants (ce qui n’englobe pas les emplois induits en matière d’ATSEM, de personnels de service ou d’administration), et notre département de 144 postes. Depuis 2003 nous avons perdu 1300 postes dans l’académie, que le Recteur (en infâme menteur-manipulateur) "justifie" par la démographie alors qu’il lui faut 48 élèves pour ouvrir un poste mais 12 seulement pour en fermer un !
Par ailleurs, nous avons été "royalement" doté de +0,8% au lieu de +0,5% sur le plan salarial, tandis que dans mon UL j’entends mes camarades négocier (NAO) sur des bases de 2%, quand l’inflation officielle atteint 1,8% !
Nous enseignants et fonctionnaires "privilégiés" avons subi une perte de 6% depuis 2000 et 20% en 23 ans sous tous les gouvernements... Alors quand le naboléon-nain agité du bocal nous propose de gagner plus en travaillant plus (alors qu’officiellement on reconnaît maintenant que les profs, toutes catégories confondues, n’effectuent pas de service total hebdo à moins de 39 heures, je dis ma rage ! Et eux, ils ajoutent HS obligatoires, remplacements foutoirs et inopinés, démantèlement des statuts...
Demain donc, çà va péter !
J’ai présenté la candidature de Nathalie (d’INTERMARCHÉ) à la CE de l’UD et elle a été élue à l’unanimité des 170 présents moins une abstention... Je dois lui annoncer çà par e.mail au retour !
Avant de rentrer donc, remise de médaille à mon pote Bernard, prêtre-ouvrier et ouvrier verrier, secrétaire du syndicat CGT, conseiller du salarié remarqué par la Direction du travail et la Préfecture pour avoir effectué plus de 1800 entretiens préalables en 10 ans ! 80 ans (il en fait 60) et bon pied bon oeil (et non pas pompier de Bonneuil !), c’est lui qui m’a recruté il y a 4 ans comme conseiller du salarié aussi... On était plusieurs centaines à l’assister chaleureusement pour la réception de son beau pin’s à ruban bleu, qu’il a dédié à l’UD CGT !
On est rentré en voiture après avoir conduit Denis BAUDEQUIN à la gare, en parcourant la Marne en diagonale de "haut en bas" (sur la carte). Sur une route traversant une obscurité humide, épaisse et totale, nous avions beau allumer le mur de lumière de l’éclairage de la "Multipla" si efficace d’habitude, celui-ci se dissolvait dans le noir et on sentait que quelquechose d’imprévu pour nous se préparait... Nous sommes arrivés à Vitry, et devant chez moi Jean-Marie à retrouvé sa voiture. Il lui restait encore plus de 20 kilomètres à parcourir pour retrouver ses pénates.
Marcel m’attendait sur le pas de la porte et il s’est roulé de plaisir à mes pieds quand j’ai glissé la clé dans la serrure. La porte à peine ouverte, Lulu m’a posé ses deux grosses papattes avant sur les épaules pour me dire sa joie de me retrouver après toute une journée d’absence...
J’ai donné à manger au chat puis au chien, et Chantal est rentrée de Saint-Dizier à son tour.
Nous avons soupé puis, fatigués, nous nous sommes couchés avec un livre. J’ai terminé "Jusqu’au dernier" de Deon Meyer (écrivain Sud-Africain qui décrit les transformations de l’Afrique du Sud post-apartheid)...
À cinq heures, j’ai accompagné Marcel à sa petite sortie habituelle. Quand j’ai refermé les volets la nuit était toujours aussi noire... Ce matin à huit heures, il neigeait à gros flocons et une fine pellicule jonchait l’herbe, les rosiers, la haie et les arbres... Nos voitures étaient recouvertes et blanches !
Voilà qui mérite une bonne mirabelle pour se mettre en train. Je la partage avec Juju, Anna, Léa, Lio, Tzigane, JMH, Claude et tous ceux qui voudront se joindre à nous...
Aujourd’hui, permanence INDECOSA dans ma ville !
NOSE DE CHAMPAGNE