Au Fou de Bassan : inventaire à la prévert...d’un week-end qui ne fut pas ordinaire
18 février 2007, 18:34
DANS "L’AMOUR SANS TREVE"...
Antonin Artaud nous dit :
"Ce triangle d’eau qui a soif
cette route sans écriture
Madame, et le signe de vos mâtures
sur cette mer où je me noie
Les messages de vos cheveux
le coup de fusil de vos lèvres
cet orage qui m’enlève
dans le sillage de vos yeux.
Cette ombre enfin, sur le rivage
où la vie fait trêve, et le vent,
et l’horrible piétinement
de la foule sur mon passage.
Quand je lève les yeux vers vous
on dirait que le monde tremble,
et les feux de l’amour ressemblent
aux caresses de votre époux."
Il me semble si opportun, mesdames nos muses de vous adresser ce petit poème sensible et de l’arroser d’une agréable coupe de rosé des Riceys que je ne me prive pas de le faire derechef.
À la vôtre !
DANS "L’AMOUR SANS TREVE"...
Antonin Artaud nous dit :
"Ce triangle d’eau qui a soif
cette route sans écriture
Madame, et le signe de vos mâtures
sur cette mer où je me noie
Les messages de vos cheveux
le coup de fusil de vos lèvres
cet orage qui m’enlève
dans le sillage de vos yeux.
Cette ombre enfin, sur le rivage
où la vie fait trêve, et le vent,
et l’horrible piétinement
de la foule sur mon passage.
Quand je lève les yeux vers vous
on dirait que le monde tremble,
et les feux de l’amour ressemblent
aux caresses de votre époux."
Il me semble si opportun, mesdames nos muses de vous adresser ce petit poème sensible et de l’arroser d’une agréable coupe de rosé des Riceys que je ne me prive pas de le faire derechef.
À la vôtre !
NOSE