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PRINTEMPS des POETES au FOU

12 mars 2007, 00:42

bon

scuse claude ’ c’est vrai... za n’as pas de rapport avec ton texte... k’m d’habitude et souvent les commentaires partent ds tous les sens et et ... voici les post’ qui m’ont fait reagir spontanement en osant pour la premiere fois m’exprimer en public... moi ’° si

timide

alors voila les textes et desole... si tu ne me comprends pas ... j’ai l’habit’ude... meme si je fait des efforts... je m’aperçois tj qu’il m’en reste enkor’ a faire .... fatiguant harrassant un boulot ding ding dong rt sans gains sans salaire sans peurs sans repproche mai pas sans defauts pask tetu’e
et j’fume d’abord et( c’est pas bien ! non ! bon j’me tais .

> Etrange malaise,
24 août 2006 - 15h44 - Posté par 83.***.187.***

Il y a des jours ou comme toi c’est le ras le bol, alors je pense que sur les 6 millards d’humains 3 veulent bien vivre cool quoi et les autres 3 millards ont décidés de nous emm..... jusque dans notre sommeil.

J’ai retrouvé pour toi un paragraphe datant de 1996 dans la revue "maintenant" saqué par Mme B il est signé de ORESTE SCALZONE

UN NON MUET

A ce cauchemar diffus, je voudrais opposer un I had a dream. Ce serait un rêve ou les femmes et les hommes du commun cesseraient d’être l’objet des gesticulations de Vigipi-rate (...), et utiliseraient leur instint de survie comme prétexte a l’organisation d’une gigantesque mutinerie :une desertion du travail,du temps encadré,gouverné , des activités dites sociales .

Dans ce rêve ,les immigrés , les femmes ,les jeunes gens des cités désespérées et violentes ,les travailleurs ,les voleurs, les mendiants ,les étudiants , les exploités du travail matériel et immatériel et tous les autres , arrêteraient leur course de fourmie,ne "penduleraient" pas, n’iraient pas au travail, n’emmèneraient pas leurs enfants a l’ école....

Un rêve ou ils ne vendraient pas ,ou ils n’achèteraient pas,

Ou ils n’iraient ,ni ne viendraient .

UN NON MUET

Ce silence si assourdissant, si menaçant, que sait être parfois celui des masses. On peut rêver au delà : un rêve ou, de la Casbah d’Alger aux banlieues parisiennes, de Bab el Oued à l’Ile-de-France, des millions de femmes et d’hommes du commun feraient du plus que légitime et primaire instint de conservation le mobile d’un colossal NON ! une grève a outrance, immence, menaçante, silencieuse, capable en quarante huit heures de mettre a genoux tous les hommes de profit et de pouvoir, de domination, de crimes de guerres et de paix, tous les pouvoirs constitués, présents, passés et futurs

oeil de bison

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> Etrange malaise,
24 août 2006 - 16h09 - Posté par 82.**.128.***
Si ça se faisait, mais quelle puissance alors !!! Imaginons un instant...

voila c’est tout

bise

bd