Samedi !Un petit tour sur la grève,les goélands argentés,portés par le vent restent immobiles,dans un ciel où défilent rapidement des nuages blancs.Une pensée à la duchesse cancalaise,un commoran plonge et ressort dix mètres plus loin !Le repas semble copieux .Les nuages virent au gris noir,la perturbation arrive :Demain il sera difficile de sortir,je vais me glisser au chaud avec ces fous ,où la poésie rime avec plasir ,où la tiedeur et la ranceur ambiante, font place à la chaleur humaine,où l’amour et l’amitié me redonnent cette lueur d’espoir de voir demain peut être ? changer la vie.
A JM.H. que j’espere remis,ou tout au moins rentré,-te laisse pas aller,cela fait dix ans qu’avec trois stents à 1500 balles le ressort,je vis ,bois et aime (modérément)et de plus milite !-alors toi que la jeunesse habite encore imagine...surtout avec toutes les muses du Fou.
Samedi !Un petit tour sur la grève,les goélands argentés,portés par le vent restent immobiles,dans un ciel où défilent rapidement des nuages blancs.Une pensée à la duchesse cancalaise,un commoran plonge et ressort dix mètres plus loin !Le repas semble copieux .Les nuages virent au gris noir,la perturbation arrive :Demain il sera difficile de sortir,je vais me glisser au chaud avec ces fous ,où la poésie rime avec plasir ,où la tiedeur et la ranceur ambiante, font place à la chaleur humaine,où l’amour et l’amitié me redonnent cette lueur d’espoir de voir demain peut être ? changer la vie.
A JM.H. que j’espere remis,ou tout au moins rentré,-te laisse pas aller,cela fait dix ans qu’avec trois stents à 1500 balles le ressort,je vis ,bois et aime (modérément)et de plus milite !-alors toi que la jeunesse habite encore imagine...surtout avec toutes les muses du Fou.
Roger bretagne