– Le peuple français n’est pas de droite ni de gauche, il répond aux questions posées, c’est tout !
Or, dans la nomenclatura, on avait décidé que les questionneurs seraient Sarko, Ségo et Bayrou. A partir du moment ou Ségo ne voulait pas aborder le social, les salaires, les inégalités, le chômage, c’est à dire les terrains où la droite peut se diviser, c’est Sarko qui menait le bal, c’est lui qui posait les questions, c’est lui qui a divisé la gauche, et c’est à lui que le peuple a répondu.
D’ailleurs sur qui se sont finalement alignés et Bayrou, et Ségo, si ce n’est sur la campagne de Sarko. La diabolisation de Sarko, voilà le piège qui s’est refermé se soir !
C’est bien la fausse gauche blairisée, celle qui a l’impression de se salir les mains, quand on parle aussi bien du SMIC que du parachute de Forgeard, qui nous a foutu dans ce pétrin. Et ça m’étonnerait que ce soit elle qui nous en sorte.
"Du passé faisons table rase". L’union, sur d’autres bases, est à reconstruire !
– Le peuple français n’est pas de droite ni de gauche, il répond aux questions posées, c’est tout !
Or, dans la nomenclatura, on avait décidé que les questionneurs seraient Sarko, Ségo et Bayrou. A partir du moment ou Ségo ne voulait pas aborder le social, les salaires, les inégalités, le chômage, c’est à dire les terrains où la droite peut se diviser, c’est Sarko qui menait le bal, c’est lui qui posait les questions, c’est lui qui a divisé la gauche, et c’est à lui que le peuple a répondu.
D’ailleurs sur qui se sont finalement alignés et Bayrou, et Ségo, si ce n’est sur la campagne de Sarko. La diabolisation de Sarko, voilà le piège qui s’est refermé se soir !
C’est bien la fausse gauche blairisée, celle qui a l’impression de se salir les mains, quand on parle aussi bien du SMIC que du parachute de Forgeard, qui nous a foutu dans ce pétrin. Et ça m’étonnerait que ce soit elle qui nous en sorte.
"Du passé faisons table rase". L’union, sur d’autres bases, est à reconstruire !
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