Nicolas Sarkozy est le président d’une France vieillissante
7 mai 2007, 14:32
Intéressant sondage, donc, si l’on considère la durée de vie moyenne des électeurs de Sarkozy, il n’en a que pour un mandat ?
En attendant, électeurs jeunes ou électeurs plus âgés, il est élu et les travailleurs risquent des lendemains difficiles. 5 ans lui suffiront pour tout casser.
Trouverons nous, trouveront-ils les forces d’empêcher les mauvais coups ? Sur certains sujets j’ai des doutes, comme la suppression de la moitié des fonctionnaires, la privatisation d’EDF-GDF, la remise en cause des régimes spéciaux de retraites, la libéralisation des heures supplémentaires. Le poisson est distillé dans les cerveaux depuis quelques temps pour faire croire que tout cela met les français dans une situation d’injustice. On croit rêver et pourtant, ça prend.
Je crains que les concernés de ces remises en cause se retrouvent seuls dans leurs luttes, certes assurés du soutien de beaucoup mais l’arme aux pieds, ne se sentant pas concernés, sauf les militants.
Et, la majorité que la droite risque d’avoir à l’assemblée nationale va encore donner les mains plus libre...au MEDEF.
Dela dit, il reste des forces prêtes à ne ceder sur rien et fort heureusement.
Intéressant sondage, donc, si l’on considère la durée de vie moyenne des électeurs de Sarkozy, il n’en a que pour un mandat ?
En attendant, électeurs jeunes ou électeurs plus âgés, il est élu et les travailleurs risquent des lendemains difficiles. 5 ans lui suffiront pour tout casser.
Trouverons nous, trouveront-ils les forces d’empêcher les mauvais coups ? Sur certains sujets j’ai des doutes, comme la suppression de la moitié des fonctionnaires, la privatisation d’EDF-GDF, la remise en cause des régimes spéciaux de retraites, la libéralisation des heures supplémentaires. Le poisson est distillé dans les cerveaux depuis quelques temps pour faire croire que tout cela met les français dans une situation d’injustice. On croit rêver et pourtant, ça prend.
Je crains que les concernés de ces remises en cause se retrouvent seuls dans leurs luttes, certes assurés du soutien de beaucoup mais l’arme aux pieds, ne se sentant pas concernés, sauf les militants.
Et, la majorité que la droite risque d’avoir à l’assemblée nationale va encore donner les mains plus libre...au MEDEF.
Dela dit, il reste des forces prêtes à ne ceder sur rien et fort heureusement.
PP