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Le FOU DE BASSAN ne se tue pas lui-même !

4 septembre 2007, 10:35

Je suis ivre en ce moment de quatre amours

Deux refuges aux odeurs qui me sont familières

dans l’un j’en retrouve des plus exquises

et dans l’autre d’autres aussi exquises.

Je suis fébrile au jour de leur mélange

Car tels les amoureux fachés

La refusion ennoblit un nouvel amour.

Esteban aux tripes brûlantes