Effectivement et pour caricaturer, ce n’est pas la lutte des classes qui n’existe plus, ce sont les appareils des organisations de travailleurs (partis et syndicats, une tendance lourde dans toute l’Europe) de l’époque précédente, nourris au compromis capital-travail, qui sont en crise.
Ca c’est la crise principale de la gauche.
Le terrible coup de torchon qu’on subit met à nu les fonctionnements peu adaptés à l’âpreté de la période.
Maintenant c’est l’heure des convergences qui bousculent les convenances et les crispations du passé.
Et il faut appuyer sur l’accélérateur, se foutre des patriotismes mal placés, on a 1 an, 2 ou 3, pas plus pour remettre en musique les choses, refaire la conspiration des égaux, reconstruire des disciplines de combat non bâties sur la soumission, fabriquer de l’organisation (sinon ça fabriquera de "l’Amérique", de la pulvérisation,....).
Effectivement et pour caricaturer, ce n’est pas la lutte des classes qui n’existe plus, ce sont les appareils des organisations de travailleurs (partis et syndicats, une tendance lourde dans toute l’Europe) de l’époque précédente, nourris au compromis capital-travail, qui sont en crise.
Ca c’est la crise principale de la gauche.
Le terrible coup de torchon qu’on subit met à nu les fonctionnements peu adaptés à l’âpreté de la période.
Maintenant c’est l’heure des convergences qui bousculent les convenances et les crispations du passé.
Et il faut appuyer sur l’accélérateur, se foutre des patriotismes mal placés, on a 1 an, 2 ou 3, pas plus pour remettre en musique les choses, refaire la conspiration des égaux, reconstruire des disciplines de combat non bâties sur la soumission, fabriquer de l’organisation (sinon ça fabriquera de "l’Amérique", de la pulvérisation,....).
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