Pour un congrès revenant aux fondamentaux du communisme
15 août 2008, 09:56
Je me retrouve dans l’analyse de Copas les dernières élections dans le 64, relèvent d’une pratique "ancienne" qui continue à marginaliser le PCF auprès de sa base naturelle : les exploités du capitalisme :
Nous avons laissé le secrétaire de la fédé, porte parole national se présenter sur la base d’une alliance exclusive avec la maire PS ex fabusienne, qui a tout voté des réformes libérales de ce parti quand il était aux
affaires, qui a voté OUI au TCE, qui s’est abstenue au vote interne du groupe socialiste sur la réforme constitutionnelle Sarkozyste mais a respecté la consigne au Congrès du parlement .
En tant que dirigeant local et national, élu local il a engagé indûment le PCF dans une démarche qui nous place en porte à faux dans la politique de privatisation des services publics locaux et s’est retrouvé face aux revendications de salariés municipaux et communautaires. la presse locale a relevé charitablement son "embarras" , l’écartèlement entre son désir de défendre la maire PS et le fondement de l’existence de notre parti.
Ce dirigeant est plus à l’aise dans le "sociétal", aujourd’hui il contribue fort justement à la défense des "sans papiers" face à la Préfecture, mais cela ne peut masquer le vide politique du PCF à Pau, alimenté par l’inexistence que j’espère provisoire d’une ligne de classe face aux ravages du Sarkozysme aidé du "social-libéralisme" qui se prépare pour une nouvelle alternance avec son appareil et ses élus PS. JdesP
Je me retrouve dans l’analyse de Copas les dernières élections dans le 64, relèvent d’une pratique "ancienne" qui continue à marginaliser le PCF auprès de sa base naturelle : les exploités du capitalisme :
Nous avons laissé le secrétaire de la fédé, porte parole national se présenter sur la base d’une alliance exclusive avec la maire PS ex fabusienne, qui a tout voté des réformes libérales de ce parti quand il était aux
affaires, qui a voté OUI au TCE, qui s’est abstenue au vote interne du groupe socialiste sur la réforme constitutionnelle Sarkozyste mais a respecté la consigne au Congrès du parlement .
En tant que dirigeant local et national, élu local il a engagé indûment le PCF dans une démarche qui nous place en porte à faux dans la politique de privatisation des services publics locaux et s’est retrouvé face aux revendications de salariés municipaux et communautaires. la presse locale a relevé charitablement son "embarras" , l’écartèlement entre son désir de défendre la maire PS et le fondement de l’existence de notre parti.
Ce dirigeant est plus à l’aise dans le "sociétal", aujourd’hui il contribue fort justement à la défense des "sans papiers" face à la Préfecture, mais cela ne peut masquer le vide politique du PCF à Pau, alimenté par l’inexistence que j’espère provisoire d’une ligne de classe face aux ravages du Sarkozysme aidé du "social-libéralisme" qui se prépare pour une nouvelle alternance avec son appareil et ses élus PS. JdesP