Dettes ou pas, c’est plus le fait de créer de la monnaie en +, c’est par sa force dévaluatrice que ce sont nos camarades anglais qui payeront.
La contrepartie (en richesses) n’existant pas, la Grande Bretagne a dévalué donc d’un coup de 250 milliards de livres sa monnaie. Ou autrement dit, brutalement une livre n’a plus valu que 82% de sa valeur. (ou on considère cela comme une dévaluation de 18%, puisque ça représente 18% du PNB).
Maintenant tout ça va mettre un moment à percoler dans l’économie réelle, de loin en loin, un peu comme une maison mal isolée laisse lentement l’humidité remonter par les murs, jusqu’à ce qu’un jour elle soit invivable.
Dettes ou pas, c’est plus le fait de créer de la monnaie en +, c’est par sa force dévaluatrice que ce sont nos camarades anglais qui payeront.
La contrepartie (en richesses) n’existant pas, la Grande Bretagne a dévalué donc d’un coup de 250 milliards de livres sa monnaie. Ou autrement dit, brutalement une livre n’a plus valu que 82% de sa valeur. (ou on considère cela comme une dévaluation de 18%, puisque ça représente 18% du PNB).
Maintenant tout ça va mettre un moment à percoler dans l’économie réelle, de loin en loin, un peu comme une maison mal isolée laisse lentement l’humidité remonter par les murs, jusqu’à ce qu’un jour elle soit invivable.