ATS :
10 juillet 2009 - 19:01 Carla Sarkozy, qualifiée de "Lady Snob", visite L’Aquila
Rome - L’impasse de Carla Bruni-Sarkozy sur le programme organisé pour les Premières Dames en marge du G8 a provoqué la critique et l’ironie de certains journaux italiens. L’épouse du président français, baptisée "Lady Snob" pour l’occasion, a visité seule vendredi la ville de L’Aquila.
Devant la presse, l’ancien mannequin d’origine italienne a dit être venue encourager des habitants de L’Aquila au bord du désespoir, trois mois après le séisme du 6 avril, "pour que ce désespoir ne devienne pas de la colère et que tout le monde continue à résister".
L’épouse de Nicolas Sarkozy a parcouru pendant une heure et demie les rues de la cité médiévale de 73’000 âmes, dont le centre a été transformé en ville fantôme par le tremblement de terre.
Ce déplacement de la Première Dame de France a fait couler de l’encre dans la Péninsule. "Il Giornale" a accusé Carla Bruni-Sarkozy d’incarner "à la perfection le pire du microcosme idéologico-mondain", mélange de "tiers-mondisme et de musique rock, de lutte contre la pauvreté compensée par le personal trainer, de guerre contre la faim quand on s’offre de la nourriture végétarienne".
"Il Giornale" a également comparé la "Lady Snob" française à la "Lady Pop" américaine (Michelle Obama). "L’Aquila n’est pas l’Afrique, et nous devons dire à Carla Bruni qu’elle n’est pas le docteur Schweitzer. Ni Mère Teresa", a conclu le journal.
"Je n’ai pas voulu me différencier des autres Premières Dames", a expliqué Carla Bruni-Sarkozy. "C’est simplement que mon mari ne me demande jamais de venir aux réunions de travail, aux grands sommets internationaux", a-t-elle aussi ajouté.
ATS :
10 juillet 2009 - 19:01 Carla Sarkozy, qualifiée de "Lady Snob", visite L’Aquila
Rome - L’impasse de Carla Bruni-Sarkozy sur le programme organisé pour les Premières Dames en marge du G8 a provoqué la critique et l’ironie de certains journaux italiens. L’épouse du président français, baptisée "Lady Snob" pour l’occasion, a visité seule vendredi la ville de L’Aquila.
Devant la presse, l’ancien mannequin d’origine italienne a dit être venue encourager des habitants de L’Aquila au bord du désespoir, trois mois après le séisme du 6 avril, "pour que ce désespoir ne devienne pas de la colère et que tout le monde continue à résister".
L’épouse de Nicolas Sarkozy a parcouru pendant une heure et demie les rues de la cité médiévale de 73’000 âmes, dont le centre a été transformé en ville fantôme par le tremblement de terre.
Ce déplacement de la Première Dame de France a fait couler de l’encre dans la Péninsule. "Il Giornale" a accusé Carla Bruni-Sarkozy d’incarner "à la perfection le pire du microcosme idéologico-mondain", mélange de "tiers-mondisme et de musique rock, de lutte contre la pauvreté compensée par le personal trainer, de guerre contre la faim quand on s’offre de la nourriture végétarienne".
"Il Giornale" a également comparé la "Lady Snob" française à la "Lady Pop" américaine (Michelle Obama). "L’Aquila n’est pas l’Afrique, et nous devons dire à Carla Bruni qu’elle n’est pas le docteur Schweitzer. Ni Mère Teresa", a conclu le journal.
"Je n’ai pas voulu me différencier des autres Premières Dames", a expliqué Carla Bruni-Sarkozy. "C’est simplement que mon mari ne me demande jamais de venir aux réunions de travail, aux grands sommets internationaux", a-t-elle aussi ajouté.