CLOTILDE REISS : UNE MATA-HARI, ÉCHAPPÉE DU GOULAG IRANIEN
13 août 2009, 16:35, par himalove
La jeune Clotilde a été instrumentalisée, en Iran, comme les soldats de dix huit ans, morts l’année dernière, en Afghanistan.
Les crapules françaises de la DCRI n’hésitent pas, une minute, à jouer avec la peau de minots, dans leurs plans foireux.
Demandez au général GEORGELIN, chef d’état-major de l’armée française, s’il a des regrets pour les jeunes qu’il envoie au casse-pipe à Kaboul ?
Ce qui a sauvé la vie de l’apprentie Mata-Hari, c’est que les manifestations après les élections auxquelles elle a participée aient réuni finalement peu de monde.
Les masses paysannes ne se sont pas soulevées à l’appel du muezzin, payé par l’oncle Sam.
La répression a été à la mesure du danger.
Le pouvoir a choisi intelligemment de se moquer des occidentaux et de leur donner une leçon de clémence à l’égard des dissidents.
En France, en Israël, pour les mêmes chefs d’inculpation, les émeutiers auraient pris des mois voire des années de prison. Pas en Iran. Une simple auto-critique a suffi pour leur éviter le placard.
La jeune Clotilde a été instrumentalisée, en Iran, comme les soldats de dix huit ans, morts l’année dernière, en Afghanistan.
Les crapules françaises de la DCRI n’hésitent pas, une minute, à jouer avec la peau de minots, dans leurs plans foireux.
Demandez au général GEORGELIN, chef d’état-major de l’armée française, s’il a des regrets pour les jeunes qu’il envoie au casse-pipe à Kaboul ?
Ce qui a sauvé la vie de l’apprentie Mata-Hari, c’est que les manifestations après les élections auxquelles elle a participée aient réuni finalement peu de monde.
Les masses paysannes ne se sont pas soulevées à l’appel du muezzin, payé par l’oncle Sam.
La répression a été à la mesure du danger.
Le pouvoir a choisi intelligemment de se moquer des occidentaux et de leur donner une leçon de clémence à l’égard des dissidents.
En France, en Israël, pour les mêmes chefs d’inculpation, les émeutiers auraient pris des mois voire des années de prison. Pas en Iran. Une simple auto-critique a suffi pour leur éviter le placard.