"Auf der Mauer, auf der Lauer" ("Sur le Mur, à l’affût")
9 novembre 2009, 11:41, par Mengneau Michel
Pour les autres murs à abattre les médias sont murés dans le silence...
Je me souviens du mur. L’armée française m’avais offert, je n’étais pas le seul, quelques vacances sur le territoire Allemand. Un an en 70 pour de perdu pour faire partie de la soi-disant troupe d’occupation, finalement, on était assez mal vu par les allemands surtout la région où j’étais qui avait pour général de brigade un certain Massu, et aussi la fortesse où étaient détenus les droits communs de l’armée, pas très réjouissant. J’ai donc eu l’occasion a cette époque d’aller à Berlin et d’y voir le fameux mur qui apparement pour les allemands de l’ouest faisait parti du quotidien...
Quant était-il à l’Est ? Toutes les supputations que l’on fait maintenant, les vérités que l’on asséne sur l’Allemagne de l’Est me laisse septique. Mais surtout, ce qui m’écoeure, c’est que ce grand battage médiatique n’est là que pour conforter l’hégémonie d’un capitalisme dévastateur, et de plus, que des béotiens gobent ça sans y voir plus loin que le bout de leurs nez.
L’histoire à deux facettes, celle qu’elle a été, et celle que les hommes veulent qu’elle soit !
Pour les autres murs à abattre les médias sont murés dans le silence...
Je me souviens du mur. L’armée française m’avais offert, je n’étais pas le seul, quelques vacances sur le territoire Allemand. Un an en 70 pour de perdu pour faire partie de la soi-disant troupe d’occupation, finalement, on était assez mal vu par les allemands surtout la région où j’étais qui avait pour général de brigade un certain Massu, et aussi la fortesse où étaient détenus les droits communs de l’armée, pas très réjouissant. J’ai donc eu l’occasion a cette époque d’aller à Berlin et d’y voir le fameux mur qui apparement pour les allemands de l’ouest faisait parti du quotidien...
Quant était-il à l’Est ? Toutes les supputations que l’on fait maintenant, les vérités que l’on asséne sur l’Allemagne de l’Est me laisse septique. Mais surtout, ce qui m’écoeure, c’est que ce grand battage médiatique n’est là que pour conforter l’hégémonie d’un capitalisme dévastateur, et de plus, que des béotiens gobent ça sans y voir plus loin que le bout de leurs nez.
L’histoire à deux facettes, celle qu’elle a été, et celle que les hommes veulent qu’elle soit !