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les foufounistas

29 janvier 2010, 15:37

De toute façon, il faudra bien se soumettre à cette inéluctable évolution. Après avoir placé nos chairs intimes sous cellophane, nous allons les aseptiser et les dépersonnaliser encore par l’épilation.

Ah bon ? Pourquoi ça il faudra bien se soumettre ?

Ras la CULOTTE des diktats néo-nazis des "control freaks" (les malades/monstres du contrôle NDA)

Un homme qui ne m’aime pas, qui n’aime pas mon corps, AUSSI avec mes poils ou qui , au moins, ne peut pas les tolérer, n’a rien à foutre dans mon plumard (ou ailleurs).

Et pour aller au bout de ce sujet tout à fait vital (et je rigole mais en même temps pas tant que ça, car ça commence VRAIMENT à faire chier ce reflux anti-féministe voire, anti-humain, par essence) je signale aux femmes qui pensent et répètent connement que "le poil c’est pas hygiénique" qu’elles ont le droit d’aller s’acheter un cerveau et de vérifier certains faits scientifiquement établis.

Non, dans notre société, avec les vêtements que nous portons etc, moins de poils n’est pas égal à plus d’hygiène, c’est même l’inverse ! Oui, le poil a une fonction hygiénique au sens littéral du terme. Surtout au niveau du pubis et des lèvres.

Et peut être même qu’un jour on fera un lien entre l’épilation des aisselles et l’usage abusif de déodorants à base de cochonneries type sel d’aluminium etc et la prolifération des cancers du sein. Idem pour des MST bénignes mais parfois invalidantes , et les poils du sexe.

Et puis tout ceci traduit une conception de la sexualité plus que particulière sur laquelle on ferait bien de se pencher et vite, parce que ça pue la régression, malgré les apparences.

LL