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Quand E. Badinter fustige les nouveaux-nés allaités aliénants...

3 mars 2010, 21:56

quant à la critique du bouquin,ou d’un extrait n’ayant pas lu le livre de Badinter en entier je n’aurai pas la honte d’en dire quoi que ce soit .

Moi son bouquin je ne l’ai pas lu, mais j’ai entendu ce qu’elle a déclaré lors d’une émission ou elle était invitée. E j’ai pas besoin de grandes démonstration pour lire et déchiffrer les discours biaisés.

Ca m’a au moins évité une chose, à défaut de "honte", c’est d’avoir eu le "regret" de claquer quelques dizaines d’euros pour lire les propos orientés d’une chef de multinationale défendant et vendant son fond de commerce.

Ce genre de prosélytisme c’est un piège à gogos au bénéfice de ceux qui le propagent. Je ne suis pas "anti-féministe" ni "macho", (ceux qui me connaissent savent). Mais à mon âge, (Et étant père et Grand-Père), j’ai assez de jugeote, d’analyse, et de savoir concret pour comprendre que "libérer" les femmes matrimonialement pour mieux les asservir économiquement, dans la logique capitaliste c’est le B.A-Ba pour les cons. On peut d’ailleurs en dire autant de toutes les autres catégories concernées de la population.

Sans aller jusqu’à dire comme Aaron Russo citant John Dee Rockfeller que la "libération" de la femme a surtout été mise en avant par les mouvements féministes qu’il a sponsorisés pour mieux "libérer" sa force de travail à bas coût, je pense que garder à une femme ce qui fait les plaisirs et les joies de sa féminité c’est bien la moindre des choses qu’un humanisme bien compris doive prendre en compte. Même s’il est aussi normal qu’elle participe à la vie économique du pays et ait autant de droits que les hommes... Et de devoirs à l’occasion.

Quand à Elisabeth Badinter, même si elle bénéficie de l’aura, (Très surfaite selon moi), de son mari je vois pas pourquoi on devrait en faire une Louise Michel ou une Rosa Luxembourg.

Tout au plus une "bonne dame patronnesse" qui surveille la santé de "ses" pauvres en les orientant selon ses "croyances" afin qu’ils continuent à remplir les caisse de ses entreprises selon ses propres intérêts à travers le support bienveillant des médias bourgeois.

G.L.