8 mars : supplique aux femmes et aux hommes de gauche.

Chèr(e)s ami(e)s, vous vous indignez de la violence faite aux femmes et vous en faites un combat de première importance. Je ne peux que vous en féliciter.

Dans la vie en commun, le chômage de l’homme, les difficultés de travail et de rémunération quotidiennes sont partiellement une cause. Mais la non-reconnaissance de la femme par la société peut être aussi à l’origine.

Allez-vous un jour, un 8 mars ou un autre, prendre à bras le corps le problème des femmes qui fournissent chez elles un travail énorme d’entretien ? Emplois qui, exécutés à l’extérieur, sont nécessairement rémunérés, pas assez, évidemment, mais quand même reconnus.

Puis-je vous rassurer en vous disant que je ne m’appelle ni Le Pen, ni De Villiers, que je ne suis ni bourgeois, ni catholique, ni allant à la messe ?

Savez-vous que tous les économistes calculent dans le PIB l’ensemble de ces services tout en versant une larme de crocodile sur leur non-rémunération ?

Marre du 8 mars et autres soi-disants « fêtes » de la femme.