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A 3 jours du référendum grec, la panique se généralise

par nazairien

Publie le jeudi 2 juillet 2015 par nazairien - Open-Publishing
3 commentaires

Les scélérats et escrocs de l’oligarchie européenne s’agitent de plus en plus, le sinistre des finances des Pays Bas nous dit que la situation se dégrade et le président de l’Eurogroupe à peur du non grec et s’ingère une nouvelle fois dans la prise de décisions du peuple grec . La dictature européenne se manifeste par un nouveau déni de démocratie .

Référendum en Grèce : la situation "se dégrade", selon Dijsselbloem

https://fr.finance.yahoo.com/actualites/référendum-grèce-situation-dégrade-selon-dijsselbloem-110105423--finance.html
La situation autour de la crise grecque "se dégrade" et risque d’être encore plus difficile si les Grecs votent non au référendum de dimanche sur les propositions des créanciers du pays, a affirmé le président de l’eurozone, Jeroen Dijsselbloem.

"La situation se dégrade en raison du comportement du gouvernement grec", a déclaré jeudi M. Dijsselbloem, ministre des Finances des pays-Bas, lors d’un débat devant le parlement néerlandais.

Selon le président de l’eurogroupe, Athènes suggère auprès de ses citoyens qu’un non au référendum de dimanche permettra de bénéficier d’un paquet de réformes et mesures budgétaires moins dures. "Ce n’est pas vrai", a martelé M. Dijsselbloem.

"En cas de non (...), cela deviendra extrêmement difficile pour la Grèce", a-t-il ajouté, affirmant que "les problèmes économiques n’en seront que plus importants et un (nouveau, ndlr) programme d’aide plus difficile à mettre en place".

Les Grecs doivent dimanche se prononcer sur la dernière version d’une proposition d’accord des créanciers de la Grèce, qui prévoit une série de réformes et de mesures budgétaires en échange d’une poursuite du soutien financier au pays.

Le gouvernement grec emmené par la gauche radicale Syriza appelle à rejeter ce texte, qui selon lui prolonge l’austérité et ne règle pas à long terme le problème de la lourde dette publique.

Plusieurs responsables européens et certains observateurs affirment qu’un vote non pourrait entraîner la sortie de la Grèce de la zone euro, un évènement inédit dans l’histoire de l’union monétaire et qui s’apparente à un saut dans l’inconnu pour les institutions.

Le gouvernement grec assure pour sa part qu’il négociera pour rester dans l’euro si le non l’emporte.

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Messages

  • Sur la "crise grècque", hollande et Merkel, en bon commédien, s’oppose sur la forme mais pas sur le fond, ils sont bien d’accord tout deux, pour que le peuple grec conserve ses chaines .

    Le couple franco-allemand se dispute sur la Grèce

    https://fr.finance.yahoo.com/actualites/couple-franco-allemand-dispute-grèce-142400174.html

    Le président français et la chancelière allemande ont exprimé des visions radicalement opposées sur la crise après une nouvelle proposition grecque.

    Mercredi 1er juillet a révélé le fossé qui sépare désormais la France de l’Allemagne sur le dossier grec. En arrivant à Lyon en début d’après-midi, François Hollande a expliqué face caméra : « Il faut être clair : l’accord, c’est tout de suite. Ça fait tellement longtemps qu’on parle de cet accord, il faut qu’il vienne. »

    Un peu plus tôt, la chancelière allemande Angela Merkel avait dit exactement le contraire devant son Parlement : « Nous attendons le référendum, aucune discussion sur un nouveau programme d’aide ne peut avoir lieu auparavant. »

    L’Eurogroupe suit le point de vue allemand

    Et c’est le point de vue allemand qui l’a emporté. Mercredi soir, à l’issue d’une conférence téléphonique des ministres des Finances de la zone euro, le président de l’Eurogroupe, le Néerlandais Jeroen Dijsselbloem, a annoncé qu’il n’y aurait plus aucune négociation avec les Grecs avant de connaître l’issue du scrutin de dimanche voulu par Alexis Tsipras. Et ce, malgré la demande du Premier ministre grec d’un nouveau plan d’aide de 30 milliards sur deux ans, assorti d’un engagement à réaliser les dernières propositions de réformes européennes, à quelques exceptions près.

    Au-delà de cette divergence de stratégie, les deux dirigeants, souvent considérés comme le moteur de la construction européenne, n’ont pas pu s’empêcher de se tacler mutuellement. Pour la chancelière allemande, « l’avenir de l’Europe n’est pas en jeu ». Au contraire, « un bon Européen n’est pas celui qui recherche un compromis à tout prix. Un bon Européen est celui qui respecte les traités et les lois nationales et s’assure ainsi que la stabilité de l’eurozone n’est pas endommagée ».

    Hollande : « Je ne suis pas dans les affirmations péremptoires

  • "Sauve qui peut Nibiriu arrive"
    Comment osent ils encore parler de "croassance" avec les dettes abyssinales de la plupart des pays de l’eurozone et après la destruction de millions d’emplois qui ne renaitront pas .

    Le FMI met en garde sur la viabilité de la dette grecque

    https://fr.finance.yahoo.com/actualites/le-fmi-voque-une-extension-162716665.html

    WASHINGTON (Reuters) - Le Fonds monétaire international (FMI) a prévenu jeudi que la Grèce aurait besoin d’une prolongation des prêts accordés par l’Union européenne et d’une vaste annulation de dette si sa croissance économique est moins forte que prévu et si certaines réformes ne sont pas mises en oeuvre.

    Cette mise en garde contenue dans un projet de rapport sur la viabilité de la dette grecque intervient alors que la Grèce s’apprête à organiser dimanche un référendum sur les réformes proposées par ses créanciers. Le Premier ministre Alexis Tsipras a appelé ses compatriotes à voter "non".

    Le FMI, qui fait partie avec la Commission européenne et la Banque centrale européenne des trois institutions supervisant la mise en oeuvre de réformes économiques en Grèce, juge que, même si la politique du gouvernement grec redevient conforme aux prescriptions des créanciers, les prêts consentis par les pays européens "vont devoir être prolongés de manière significative" et la Grèce aura besoin de nouveaux prêts à des taux inférieurs aux taux de marché (prêts concessionnels).

    Ce rapport a été rédigé sur la base d’évaluations effectuées la semaine dernière, avant la fermeture provisoire des banques grecques et le non-remboursement mardi par la Grèce de 1,6 milliard d’euros dus au FMI.

    Le gouvernement grec et ses partenaires de la zone euro ne parviennent pas à s’entendre sur un ensemble de réformes destinées à redresser les finances publiques du pays en échange d’une nouvelle aide financière.

    Ce blocage, qui a empêché la prolongation d’un programme d’assistance financière arrivé à échéance mardi, aggrave la pénurie de liquidités de la Grèce et la menace à terme d’une sortie de la zone euro.

    Lors d’une conférence téléphonique, un responsable du FMI a jugé qu’un allègement de dette devait être un élément essentiel de tout programme de sortie de crise.

    Le FMI estime que la Grèce va avoir besoin de 36 milliards d’euros supplémentaires de financements européens sur un besoin global de financement additionnel de 50 milliards.

    ANNULER LES PRÊTS BILATÉRAUX ?

    Même dans le cadre du scénario actuel le plus optimiste du FMI et avec des prêts concessionnels jusqu’en 2018, l’institution basée à Washington estime que la dette de la Grèce représentera 150% de son produit intérieur en brut (PIB) en 2020 et 140% en 2022. Le ratio était de 177% fin 2014, selon Eurostat.

    "En se fondant sur les seuils qui ont été convenus en novembre 2012, une décote impliquant une réduction de la dette de plus de 30% du PIB serait nécessaire pour atteindre les objectifs de dette fixés en novembre 2012", dit le FMI.

    La référence à novembre 2012 correspond à une réunion de l’Eurogroupe au cours de laquelle a été décidé un ensemble de mesures destinées à alléger le fardeau de la dette grecque avec l’objectif de la ramener à 124% du PIB en 2020.

    Etant donné la trajectoire actuelle de la dette grecque, le FMI pense qu’une solution consisterait à porter à 20 ans le moratoire sur les remboursements et à 40 ans la période d’amortissement sur les prêts européens actuels et à fournir, selon ces mêmes termes, de nouveaux prêts pour les besoins à venir du secteur public au moins jusqu’en 2018.

    Le responsable du FMI s’exprimant lors d’une téléconférence a déclaré que cette analyse avait été communiquée aussi bien à la Grèce qu’à la Commission européenne, même si les prévisions européennes en matière de besoins de financement sont inférieures à celles du Fonds.

    "Une prolongation des maturités, c’est une initiative très spectaculaire", a-t-il insisté.

    Dans le scénario du FMI où la croissance réelle de la Grèce serait plus basse, de seulement 1%, la dette grecque resterait au-dessus du seuil des 100% de PIB pendant les 30 prochaines années, même avec un allongement des maturités et de nouveaux prêts concessionnels.

    "Un excédent primaire de moyen terme plus faible, de 2,5% du PIB, et une croissance réelle du PIB plus faible, de 1% par an, nécessiteraient non seulement des prêts concessionnels à taux d’intérêt fixes jusqu’en 2020 pour combler les manques ainsi qu’un doublement de la période de grâce et des maturités de la dette existante mais aussi une décote significative de la dette", écrit le FMI. "Par exemple, une annulation intégrale (des prêts bilatéraux consentis dans le cadre) du dispositif GLF (53,1 milliards d’euros) ou tout autre opération similaire."

  • Que merkel renbourse la dette allemande remontant au dernier conflit mondial,après on verra...........momo11