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« AU CABARET DES CARBONARIS »

par arthur

Publie le mercredi 30 septembre 2015 par arthur - Open-Publishing
3 commentaires

Soirée chantante

Comme au temps des Cabonaris [1], le SUB vous propose de passer une soirée chantante autours d’un bon et roboratif plat … de pâtes à la Carbonara.

Venez passer les premières heures de la soirée du vendredi, en chantant avec nous, le répertoire révolutionnaire. (n’hésitez pas à apportez vos suggestions, amis et instruments de musique)

Vendredi 16 Octobre 2015
de 19H00 à 21H00

Nul besoin de chanter juste, votre présence suffit …

Inscription préalable pour diner : 06 48 37 85 44 ou sub2 BvR wanadoo.fr
Prix de participation : 8 euros par personne
(comprenant : Un plat de pâtes, 50 cl de vin ou jus de fruit, un dessert, un répertoire de chansons)

CNT(f) -33 rue des Vignoles – 75020 Paris

[1] Société secrète, répandue dans divers États européens pendant le premier tiers du xixe siècle, particulièrement en Italie, où elle suscite les débuts du Risorgimento national. En raison même de sa nature, de la fragmentation de ses structures et de ses localisations, la charbonnerie (appellation française ; les membres italiens de l’organisation se nomment carbonari) demeure mal connue.

http://www.cnt-f.org/subrp/spip.php?article836

Messages

  • Je vous souhaite un bon appétit et une chorale nombreuse et motivée.

  • Tres bizarre faire une soirée pour defendre "I Carbonari" organisation extrêmement verticale avec une democratie interne tres relative avec des "maitres" pas di tout libertaire mais liberale pour la défense des intérêts des commercants napolitaines... bref je trouve que faut connaitre un peux mieux l’histoire italienne avant de croire a les légendes. ...

    Mais bon les pattes a la carbonara sont trop bonnes... Viva la festa ;-)

    • C’est bien évidemment la facilité qui nous a fait rimer Cabaret, avec Carbonaris, et la tentation de faire un repas simple en utilisant une recette culinaire dont les puristes nous reprocherons sûrement l’ajout de crème fraiche...
      A trop aimer les nappes à carreaux, on a sous-estimé la qualité nos lecteurs qui savent reconnaître les déviances où qu’elles se trouvent. Merci pour tout.

      « J’voudrais avoir la foi, la foi d’mon charbonnier
      Qu’est heureux comme un pape et con comme un panier. »
      , chantait Georges Brassens.
      Au Bâtiment, on doit l’être un peu ...
      et en plus, on gueule des fois plus qu’on ne chante.
      C’est vous dire !{{}}

      Fraternelles Salutations Syndicalistes