AVANT L’EXPLOSION COLLECTIVE

AVANT L’EXPLOSION COLLECTIVE

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A. Etat de la situation : *

Plus moyen de trop savoir où exactement on en est ces jours-ci, sauf qu’apparemment on est quand même très très mal question ambiance collective, François Hollande et Valls dégustent vilainement. Les plus hargneux combattifs parmi nous aimeraient au moins leur démission avec présidentielle anticipée très vite, mais ca ne dépend pas de vous et d’ailleurs ça ne dépend pas de nous du tout non plus.

Par chance la discussion sur le code du travail version rénovée (et si possible discutée) débarque sur le marché, au poil !

l’UNEF débarque aussi, qui ne veut absolument aucune discussion, au poil deux fois. Les étudiants c’est assez bien en soi n’est-ce pas, ca casse tout possiblement, sans répression toutefois des parents mortellement inquiets dont c’est -boulevard Saint-Michel- les gosses préférés.

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En tout cas pour le moment pas d’arrivée à la Sorbonne de Katangais comme à la belle époque mais volontairement par nous non-nommée, par discrétion, élégance, parti-pris de non-violence.

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Donc on ne peut exclure que les choses se précipitent et anticipent vivement 2018 initialement envisagée.

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B. Les problèmes.

Ils ont déjà été examinés.

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C. Les solutions préconisées.

On ne peut dire ! Pour l’instant on nous signale déjà des bagarres du côté de Sciences Po ce qui nous semble en plein vif du sujet. Pour l’heure nous nous sentons toutefois orphelins, Radio Tirana n’émet plus, pas plus que the Voice of America.

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