BNL (BNP Paribas Italie), leaders dans le processus de Trani pour les produits dérivés

10 Juin, 2015

Treize gestionnaires subiront leur procès en Décembre, ils ont inclus président Abete, au Gallia et l’ancien vice-président Erede. L’histoire concerne la vente de swaps aux entrepreneurs Corato (Bari), pour lesquels l’accusation a estimé que le dommage causé par les € 600,000

MILAN - Treize entre les gestionnaires et les responsables de BNL ( Bnp Paribas Italie) va aller en procès le 4 Décembre pour fraude devant les tribunaux de la Cour de Trani. Luigi Abete président, le directeur général Fabio Gallia et aussi l’héritier de l’ancien vice-président Sergio Pietro Erede, plus 10 autres personnes sont supposés avoir conduit certains entrepreneurs à Corato à signer une « marchandise ».

Les différends remontent à la période 2008-2011 et, selon contestée par le procureur adjoint Michele Ruggiero, sommets et gestionnaire de BNL auraient amené les fonctionnaires employés de branches territoriales de la banque d’offrir aux clients un contrat (swaps de taux d’intérêt) de l’IRS, ce qui serait procuré, selon l’acte d’accusation, la banque d’un "avantage injuste" et des pertes pour les clients. Tous les 13 ont été directement cité au tribunal par l’accusation. Dans le dossier, le parti des entrepreneurs plainte, énumérant les noms des trois autres dirigeants dont les postes ont été supprimés.

A les nouvelles de la clôture de l’enquête, BNL a réagi par l’intermédiaire d’une déclaration officielle, avec laquelle "la Banque réaffirme la précision et la linéarité de conduite par ses agents impliqués." L’infraction concerne des dérivés swap pour signe 3 millions d’euros réalisés en Octobre 2008 par des fonctionnaires de la branche de Corato (dans la province de Bari) aux entrepreneurs de la société Malo srl. Les titres ont causé - selon l’accusation - une perte financière pour la société estimé à environ € 600 000.