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Bachar elAssad à ses visiteurs : Pour ces raisons je suis optimiste

Publie le mardi 19 mars 2013 par Open-Publishing
23 commentaires

Bachar elAssad à ses visiteurs : Pour ces raisons je suis optimiste
Alors que les opposants au régime syrien s’attendaient à une révolution populaire qui assure la mise en place d’un régime démocratique, ceux-ci expriment aujourd’hui leur désarroi face au chaos qui règne dans leur pays et qui provoque des malheurs sans égal au peuple syrien. C’est ainsi que l’opposant Haytham Mannaa a réclamé de la communauté internationale de « stopper les batailles militaires absurdes », qualifiant ce qui se passe en Syrie de « guerre » et non pas de « révolution ». Il y a déjà deux ans, ce même opposant vivant à l’extérieur de son pays assurait que la seule solution à la crise syrienne est de négocier pacifiquement avec le régime. Le temps des négociations est-il venu ?

Bachar elAssad : « La coopération avec les alliés se fait au niveau des expertises et non des combattants »

« La chute de la région de Raqqa dans les mains de l’opposition n’a pas sapé le moral du régime ». S’exprimant devant ses visiteurs, le président Bachar elAssad assure que « la bataille est de longue durée parce qu’il s’agit d’une lutte contre le terrorisme dans laquelle ont échoué toutes les forces du monde ». « Mais les choses vont bon train sur les plans politique et militaire : l’armée est désormais plus expérimentée au niveau des déplacements des miliciens, de plus, c’est l’armée qui choisit le lieu et le temps de la bataille au lieu d’y être entrainé. Ceci a empêché la dispersion des forces militaires, contribué à contenir certaines zones en guerre, limité considérablement le mouvement des miliciens dans des lieux où ils avaient l’intention de planifier des attaques de grande envergure. De même, le système de brouillage des communications a changé et les dispositifs de surveillance ont évolué, permettant ainsi des opérations « ciblées » et plus douloureuses pour les insurgés, explique le président Assad.

Selon lui, « des changements importants sont survenus au niveau de l’infrastructure de l’armée et des renseignements. La coordination s’est accrue avec certains de nos alliés qui ont présenté beaucoup d’expériences dans les différents domaines. Les comités populaires qui deviennent jour après jour en tant qu’armée alternative ont joué un rôle majeur dans la protection des zones évacuées par l’armée. La Russie est par exemple prête à combler toute pénurie de matériel militaire. Le Hezbollah et l’Iran ont présenté toutes leurs compétences pour protéger les sites religieux, tels que le mausolée de Sayeda Zeinab, et les villages qui faisaient l’objet de plusieurs attaques. A Damas, la coopération se fait au niveau des expertises et non des combattants.

Dans le domaine militaire aussi, des changements radicaux se font sur les frontières. La Jordanie est toujours engagée dans la coopération sécuritaire avec la Syrie. Pour le roi Abdallah de Jordanie, la guerre contre alQaida ou le front annosra est une bataille jordanienne. La coopération récente sur le plan militaire a permis de tuer des commandants et des éléments d’alQaida et du front annosra, dont Abou ali elJoulani tué à Homs ».

Plusieurs avertissements au Liban

Le président Assad, cité par ses visiteurs, dit au sujet du Liban : « La situation avec le Liban est plus compliquée. Plusieurs mesures ont été prises dernièrement pour limiter l’infiltration des miliciens. Certaines mesures ont été efficaces alors que d’autres ont échoué. Il s’est avéré que des parties politiques et sécuritaires libanaises sont impliquées dans ces infiltrations. Des informations parvenues à Damas révèlent qu’un incident sécuritaire dangereux pourrait avoir lieu aux frontières. Damas a ainsi établi un lien entre ces informations et des visites récentes effectuées par certains responsables libanais en Arabie Saoudite et au Qatar. Les responsables syriens détiennent des informations précises sur la teneur de certaines rencontres qui ont eu lieu dans le Golfe, notamment entre le président Walid Joumblatt et le prince Bandar ben Sultan, une rencontre qui a duré six heures. Ils connaissent aussi la teneur des discussions entre des responsables qataris et l’ancien premier ministre libanais Fouad Siniora. Les dirigeants libanais ont reçu le mot d’ordre de provoquer une escalade des violences aux frontières avec la Syrie ».

Tous ces éléments ont poussé les dirigeants syriens à révéler au grand jour la teneur de la lettre d’avertissement diplomatique adressée par l’ambassadeur syrien au Liban Ali Abdel Karim Ali au ministère libanais des Affaires étrangères, et à avertir encore le Liban de frapper les positions des miliciens ou des jihadistes qui puissent menacer la sécurité des territoires syriens depuis la Békaa ou le Nord Liban passant encore par d’autres régions.

La situation avec l’Irak est meilleure

« La coopération sécuritaire avec l’Irak est dans ses meilleurs états. Tout a changé après l’accentuation des attaques contre le Premier ministre irakien Nouri elMaliki. Celui-ci a senti que la guerre des axes l’a placé dans le même rang que la Syrie, l’Iran et le Hezbollah. Au début de la crise syrienne, certaines voix irakiennes disaient que la Syrie méritait ce qui se passe sur son territoire parce qu’elle facilitait le passage des éléments d’alQaida vers l’Irak. Aujourd’hui, l’étau se resserre autour des miliciens. Les patrouilles se multiplient, la coopération sur le plan des renseignements a atteint son apogée entre les deux pays, favorisée par un certain climat international. La raison en est que la crainte du front annosra plane sur tout le monde, surtout qu’alQaida a repris ses attaques au cœur de l’Irak.

La grande bataille

Selon des informations de renseignements, l’armée syrienne a préparé des plans précis pour mener des batailles d’envergure. Damas est désormais plus protégée que jamais. Des explosions ou des voitures piégées pourraient avoir lieu à tout moment. Des kamikazes peuvent attaquer des sites sécuritaires ou gouvernementaux, malgré les blocs de béton. Mais la grande bataille à Damas est devenue presqu’impossible. Des plans précis ont été mis en place pour la protection de la ville et la confrontation des miliciens. Quant à Homs, elle est sur le point de tomber entièrement dans les mains de l’armée, parce qu’une décision politique a été prise à cet égard. Pour le régime, Homs est une ville centrale dans la stratégie militaire. Il n’est pas permis qu’un pouce de son territoire reste dans les mains des groupes armés.

Quant à Alep, on attend la grande bataille. Mais tout dépend des discussions politiques entre Américains et Russes. Cette bataille pourrait couter cher, mais la direction syrienne reprend ce qu’elle a déjà dit concernant Bab Amr ou autres villes : « Nous entrerons là où nous voulons, mais cette question nécessite une décision politique. Nous ne voulons pas entrer puis permettre ensuite le retour des miliciens. La nature de la bataille a changé ».

Des rumeurs circulent sur de surprises sécuritaires. Les visiteurs du président Assad rapportent : « Nous menons une bataille acharnée contre le terrorisme et contre ceux qui soutiennent les miliciens. Nous réalisons que la fin de cette guerre n’est pas pour bientôt, mais nous sommes décidés à aller de l’avant pour éradiquer ce phénomène étrange à notre société ».

Le dialogue politique est important, mais…

Citant toujours Assad, ses visiteurs rapportent au sujet du dialogue avec l’opposition : « Nous n’avons jamais fermé la porte au dialogue, et nous n’allons pas le faire. Mais nous devons savoir avec qui dialoguer ? Qu’est-ce qu’on nous propose ? Quelle partie allons-nous négocier ? Chaque jour l’opposition se divise de plus en plus, ses divergences grandissent, chaque partie avance des propositions contraires aux autres. Qu’ils se mettent d’accord avant tout et nous verrons quelle position adopter. Nous avons déjà entamé un dialogue avec des parties de l’opposition de l’intérieur du pays et ceci a eu des résultats positifs. Nous avons proposé un projet complet pour les réformes et nous sommes prêts à en débattre. Les portes de la Syrie sont ouvertes à tout le monde, à l’exception des terroristes que nous allons combattre jusqu’à la fin ».

Et alAssad d’ajouter : « Nous dialoguons avec tout le monde à l’exception des terroristes, mais à partir de nos constantes, nous n’allons pas accepter qu’on nous impose des conditions. C’est ce que nous l’avons dit dès le début de la crise. Il s’avère que nous avions raison et les autres ont réalisé que nous étions sérieux ».

Assad : « L’ouverture au dialogue n’est pas due à la faiblesse du régime »

Dans ses rencontres avec des personnalités politiques arabes, le président syrien assure que l’ouverture de Damas au dialogue n’est pas due à la faiblesse du régime. « L’Etat est plus fort, l’armée est plus solide, et malgré toute cette guerre, la situation de la Syrie est la meilleure sur le plan régional. Regardez l’Egypte qui se trouve dans l’impasse, la Tunisie qui est noyée dans ses différends, les pays du Golfe qui ne savent comment agir face aux Frères musulmans, l’Arabie Saoudite dont le sort demeure inconnu, le Qatar déchiré sur le sujet de la succession du pouvoir et qui fait face à une opposition grandissante de plus en plus après que ses liens avec des djihadistes au Mali, en Libye, en Syrie… eurent été dévoilés. Quant à la Turquie qui cherche à sauver la face après son implication dans les affaires syriennes, est prête à faire toutes les concessions possibles, même avec le parti des travailleurs du Kurdistan et son chef Abdallah Ocalan !

Poutine est un allié solide

Pour le président syrien, l’alliance avec la Russie est dans ses meilleurs états. « Tout le monde soutient le rôle russe, et Moscou n’a pas changé sa position depuis le début de la crise. La Russie a dès le premier jour appelé les pays du Golfe, la Turquie et certains pays occidentaux à cesser d’approvisionner les miliciens en armes et a appelé à un dialogue politique. De même. Moscou a dit qu’Assad ne sera pas renversé, et deux ans après, tout le monde a réalisé ce constat. Le président russe Vladimir Poutine est décidé à jouer un rôle international et à restituer l’équilibre à ce monde unipolaire. Actuellement, l’envoi des navires militaires se multiplie. Pour les Russes, toute action militaire directe pour renverser Assad sera suivie d’une riposte militaire.

Le rapprochement USA-Russie

Assad n’a aucune confiance dans le rôle américain. Il sait bien que les plans américains et occidentaux dans la région visent à affaiblir l’axe de la résistance et à assurer la protection d’Israël. Par ailleurs, le président syrien est convaincu que les Américains ont déduit après deux ans à la crise que l’armée syrienne est devenue plus forte que jamais et qu’ils n’ont pas réussi à convaincre un diplomate syrien de quatrième degré de faire défection.

Selon le président syrien, la position américaine du terrorisme doit être claire. « Il est possible de se mettre d’accord sur une étape transitoire et sur un gouvernement élargi, mais la politique de ce gouvernement doit être claire au sujet du conflit avec Israël et de la laïcité de l’Etat. Le peuple syrien peut se décider s’il veut ou pas Assad mais à travers un processus électoral. Mais ceci ne peut avoir lieu qu’au dernier jour du mandat d’Assad et c’est une ligne rouge pour la direction syrienne ».

« Il faut donc former une équipe de l’opposition avec une politique claire ensuite nous pouvons dialoguer. Haytham Manna joue un excellent rôle dans ce contexte. Les Russes sont en train de collaborer avec les Américains pour cette fin. L’Arabie saoudite peut avoir un rôle en ce sens mais jusqu’à présent, elle est toujours impliquée avec le Qatar dans l’envoi des armes aux miliciens ». Certaines informations indiquent que le prince Muqrin pourrait devenir le prochain roi saoudien. Cet homme entretient des relations avec Damas.

Pour le président syrien, le Qatar est le vrai ennemi de la Syrie, et il fait partie d’un jeu plus grand. Quant au Hezbollah et l’Iran, « ils sont des alliés fidèles », et Téhéran inclut le dossier syrien dans ses pourparlers avec l’Occident. L’Iran sait bien comme Moscou que la guerre contre elle a lieu à Damas. Bref, cet axe s’étendant de Beyrouth aux pays de BRICS (regroupant le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud) est désormais un acteur principal dans les équations internationales.

source : assafir

Messages

  • Un coup de pub pro-Assad des pro-Assad...

    Comme si le mitraillage des premières manifestations spontanées et pacifiques n’avaient pas mené à la situation actuelle...

    • Paco me semble que ton commentaire n’est pas un bon exemple pour commencer une discussion a propos du problème syrien, si quelqu’un va t’accuser d’être un pro-Al-Qaïda, après se que tu viens d’écrire, serai asse logique...

      Donc que soit claire nous ici sur Bellaciao on est pour la paix et tu nous ne fera pas bascule dans le camps réactionnaire de la dictature ni dans le camps des fanatique religieux...

      On a un dicton italien : "non accettiamo di cadere dalla padella alla brace"

      "nous refusons de tomber de la casserole a la braise"

      La liberté du prolétariat ne passe pas par le remplacement d’une dictature par une autre...

    • PACO continuera-c’est son droit- de prétendre que les salopards qui armés par l’Impérialisme s’opposent à l’armée Syrienne et aux forces de Bachar,sont, de fait une "radicalisation" dela révolte populaire, pour ne pas dire d’une Révolution du processus commencé àTUNIS.

      bref de la légitime défense".!

      Je ne dis pas qu’il devient un allié objectif des barbus et de laCIA
      Mais son expression "pro-assad" se comprends puisque lui, manichéen , a décrété qu’il y a un CAMP à choisirCelui des"anti-Assad" !

      C’’est vrai qu’il faut choisir un camp : celui du peuple Syrien , des travilleurs de ce pays qui ont besoin d’être LIBERES !
      De tout ce qui empêche une vie ou le "bonheur" reste "une idée neuve" comme auriat dit ST JUST

      Un Bonheur que ni les dictatures , ni les "libérateurs" auxquels la France voudrait livrer des armes sophistiquées qui, un jour,seront utilisés contre TOUT CE qui est intolérable au Capitalisme.. ne permettrontqu’il soit à l’ordre du jour

      Tant que des militants révolutionnaires voudront à tout prix "prendre parti" , en s’arrogeant le droit de parler au nom des Syriens sous le feu desuns, les attentas des autres etc etc.. , selon moi, ils font fausse route !

      – je reviens pas sur la"connerie" concernant des appels dits"anti-Khadafi" , mais insister, pour des miltants ou sympathisants NPA, serait dérangeant, non ?

      Cordialement

      A.C

    • La liberté du prolétariat ne passe pas par le remplacement d’une dictature par une autre...

      et pas non plus par donner une tribune à un facho au pouvoir qui résout les problèmes par l’envoi de bataillons de chars dans les villes, qui a une longue habitude de tortures et d’assassinats qui ne date pas seulement de 2011.

      Ça va pas Roberto là...

      La parole aux fachos ?

    • Je m’étais promis de ne plus commenter sur la Syrie...
      J’ai craqué...

      AC,
      Nous avons déjà échangé, mais là :
      "PACO continuera-c’est son droit- de prétendre que les salopards qui armés par l’Impérialisme s’opposent à l’armée Syrienne et aux forces de Bachar,sont, de fait une "radicalisation" dela révolte populaire, pour ne pas dire d’une Révolution du processus commencé àTUNIS."
      Non.
      C’est un amalgame et une provocation.

      Bien d’accord avec Roberto, le prolétariat n’a pas à choisir entre deux dictatures.
      Sauf que ce point de départ juste ne suffit pas à définir une ligne politique.
      C’est cette question qu’il faut travailler.

    • Je suis d’accord avec l’analyse de Paco, qui me semble moins manichéenne et ne renvoie pas deux oppressions dos à dos.

      Ne serait-ce parce que d’un côté il y a une dictature qui est en place, qui fonctionne, et depuis longtemps, alors qu’en face il y a à boire et à manger, tout et son contraire peuvent en sortir.

      La voix du peuple a-t-elle une chance de se faire entendre ? D’un côté, ce n’est pas totalement impossible. De l’autre, certainement pas.

      De la même façon j’avais soutenu le bouillonnement de la révolution islamique en Iran pour faire tomber le dictateur Pahlavi, et pourtant le barbu de Neauphle-le-château, mezzo...

      Mais poursuivre ce débat ne me semble pas pouvoir mener loin, chacun est sur sa vision, l’avenir apportera des éléments qui permettront sans doute d’y voir plus clair.

      Chico

    • Chico, me semble que le problème de fond, idem pour Paco, est le suivant :

      Dans le NPA le concept du "peuple" est extrêmement présent... un concept que pour moi est inter-classiste, qui est très lointaine des nôtres idées qui on racine dans l’analyse de Marx.

      N’est pas un hasard que je emploie le mot de "prolétariat" mot que pas mal des gens le considère humiliant, chose très étonnant, par contre, que de part de un parti qui se considéré "communiste" le soit aussi...

      Tous le problème donc pour moi démarre de l’analyse des forces, si on considère que l’opposition est le "peuple" c’est évident que comme toi on laisse a cote l’analyse marxiste, et on pactise aussi avec les forces réactionnaires de l’autre bord, (chose entre autre qui me fait rigoler, quand je doit lire les hurlement des trotskistes a propos du "Pacte germano-soviétique", pacte typiquement ancre sur le concept de la défense du "peuple" et de la "nation"...) donc aucun surprise de savoir que tu a soutenue la soit disant "révolution" islamique...

      Aucun possibilité de mon cote, les religions, peux importa la quel, est un forme d’exploitation et domination des plus faible et en particulier de la classe ouvrière, donc pendant le "bouillonnement" je soutenue uniquement les forces communistes, malheureusement et naturellement écrase dans le sang aussi tôt que les extrémistes religieux on pris le pouvoir...

      Bien sur tu peux dire tranquillement que en Iran c’est le "peuple" que a pris le pouvoir et chasse le dictateur, certainement... mais pas le prolétariat...

      Et la on continue dan cet analyse, que soi la Libye ou la Syrie ou autre, dans le NPA on refuse de parler de prolétariat, mai avec insistance on parle que du "peuple", la logique conséquence de cet analyse inter-classiste oblige cet parti a prendre de position que vont juste a demander comme le font le USA, la France et l’Angleterre des envoyer des armes a ’l’opposition populaire" dirige par un premier ministre qui a vécu, étudie et forme par la CIA dans le Texas...

      Bref avec cet attitude ont changera rient pour le prolétariat, mais on changera uniquement le "calife" qui a son tour changera encore plus tard au bon gré des intérêt du capitalisme nationaux et international...

    • La question n’est pas de donner la parole aux fachos d’un cote... mais aussi de ne pas donner la parole a n’importe quel fachos de n’importe quel bord... chose que vous ne faite pas...

      Pour moi n’existe pas le bon ou le mauvais fasciste, a toi Copas d’avoir cet vision qui n’est pas la mienne, tu est libre... ;-)

      Encore une foi ton commentaire tende systématiquement a imposer, un seul choix, ou avec le dictateur ou avec les islamiste...

      Certainement c’est super comme choix...

      Un peux comme dire aux travailleurs, aux prolétaires, "vous préféré être fusille ou décapité ?"...

      Bref que cet article est plus que partisan c’est évident mais au lieu de le critiquer sur le fond et le décortiquer avec une analyse de classe on préfère faire la propagande de l’impérialisme international... donc d’autres capitaliste, pas différent du dictateur actuel...

      En aucun moment historique le prolétariat a gagné prennent parti d’un au l’autre intérêt d’une ou l’autre puissance capitaliste, pendant les contradiction capitalistes, le seul intérêt de la classe ouvrière est de prendre le pouvoir et basta, vous proposer des participer dans cet guerre, nous on donne deux alternative ou la paix ou le pouvoir, mais certainement pas de s’allier a un ou l’autre force réactionnaire...

      Faut vraiment expliquer la différence entre les positions du capitalisme et du NPA... si les USA et compagnie demande de fournir les armes, encadrer politiquement et militairement et financièrement les islamistes, ne pas bon...

      Par contre si le NPA le demande est bon ?????????????????????????

    • Nous n’étions pas si loin.
      Pendant le "bouillonnement" il fallait être dans la lutte contre le Shah et non pas pour la "révolution islamique".
      Défendre l’indépendance de classe et s’appuyer sur les éléments de dynamique révolutionnaire (au sens marxiste).
      S’il y eu des "illusions" ce fut sur la situation et non sur la caractérisation des mollahs.
      Ce que j’appellerai le "syndrome du Pope Gapone"
      Un personnage délirant semble être le "porte parole" d’un soulèvement populaire... Les soviets, l’hégémonie de la classe ouvrière, le développement des forces révolutionnaires (marxistes) le balaieront comme un fétu...
      Les sinistres pasdarans ne laisseront pas le temps à ces développements.

  • Quel rôle est réservé à la Syrie par l’impérialisme US et ses amis européens et en particulier Anglais et Français ? S’agit-il d’une annexion pure et simple des pays Arabes producteurs de pétrole ? D’un affrontement inter-impérialiste par factions interposées ? Quel est le rôle assigné à Israël et au Liban ?

  • Et prendre comme l’évangile les racontards de nos médias comme si ils déversaient toujours la vérité ? Il n’y a personne sur ces audios-vidéos pour leur apporter la contradiction ! Ils ont forcément raison n’est-ce pas ?

  • Pour ma part je condamne le régime syrien, Assad est de la même trempe que Kadafi, mais je condamne avec la même fermeté ceux qui s’apprêtent à nous rejouer le coup de l’intervention en Lybie.

    On a exploité les débuts de troubles sociaux et les premières réactions brutales du régime pour alimenter une campagne de déstabilisation ethnique et religieuse du pays dont, on ne peut nier maintenant qu’elle a été largement alimentée par le Qatar, l’Arabie Saoudite, des mercenaires jihadistes locaux mais aussi venus de nombreux pays comme la Libye, l’Irak, la Turquie, l’Egypte, l’Afghanistan, voire même de France ; de nombreuses forces spéciales Arabes et Occidentales ont agi sur le terrain comme ce fut le cas en Libye.

    http://2ccr.unblog.fr/2012/12/10/syrie-impasse-avant-implosion/

    • Kadhafi et Bachar « de la même trempe » ? Le syrien n’est pas militaire, même s’il s’appuie, pour rester au pouvoir, sur son armée comme a cru pouvoir le faire le libyen. Leurs parcours et leurs situations ne permettent pas l’assimilation, sauf à appliquer le manichéisme méprisant (dont se départit heureusement Bellaciao) que des antifas de pacotille singent sur les impérialistes.
      Trop facile de les déclarer tyrans sanguinaires à l’unisson avec la presse vendue, en ignorant tant d’autres régimes répressifs, et surtout en laissant et détruire et massacrer des gens qui ne nous ont rien fait : le « peuple ». Sous prétexte de le protéger ! en courant derrière des BHL, Kouchner et autres gourous de fort mauvais aloi.
      Difficile de comparer les deux situations, sinon en adoptant d’entrée le point de vue du colonialiste avide d’exploiter le mufti-confessionnalisme (évidemment fragile), les dissensions inter ethniques (pas encore assez fortes pour briser Damas), les manquements à la démocratie (je ne suis pas si fier de la version française ou occidentale, à vrai dire). Kadhafi, indépendamment de ses défauts et folies ici connus, avait une vision pour le monde arabe, puis pour l’Afrique, qui a toujours dérangé l’ordre OTAN. Ses investissements et ses projets, tant en Libye que dans d’autres pays, avaient une tout autre envergure du fait du pactole pétrolier que la politique fort précautionneuse du régime Assad. Jusqu’à récemment, la Syrie a été en bons termes avec la plupart des pays, et la France était un partenaire choyé, alors que la Libye a plutôt été abonnée au ban des nations.
      Bon, merci à Bellaciao d’ouvrir la fenêtre à l’autre versant de la propagande.
      Peut-être certains lecteurs dépasseront-ils leur détestation (alimentée par les couvertures de Libé, les contes de France Inter, etc.) et prendront là quelques éléments de réflexion, pour faire la part des choses ? Pourvu qu’ils ne glissent pas dans l’idolâtrie pour le « sauveur de la Syrie » ...
      Merci aussi à Hollande, l’émule de Ferry et Mollet, dont la volonté criminelle d’aggraver les massacres en fournissant des armes aux insurgés a sans doute modifié notre manière de considérer sa générosité démocratique otanasiée.
      Non, je rigole.

  • Ultime commentaire de cet article que je n’ai pas considéré commed’un brillantapport au souci derecherche de"raison"..

    @ Copas, : nos échange -y compris ce que dit Roberto ne saurait laisser sous entendre un accord avec cet article ou tu vois qu’"on aurait donné la parole au fachos"

    – D’abord l’expression "facho" n’est absolument pas adapté à la complexité des évolutions baassistes, et relève d’une volonté selon moi réductrice qui, fait de ceux qui s’opposent à Bachar des"antifascistes"

    Te reconnaitre que tuas la constance dans ton appréciation,... -dans ce que je confirme être, selon moi, la négation d’analyse marxiste des"contradictions" , ne te donne pour moi qu’une qualité : ne pas être girouette

    je partage une opinion de CHICO

    poursuivre ce débat ne me semble pas pouvoir mener loin, chacun est sur sa vision, l’avenir apportera des éléments qui permettront sans doute d’y voir plus clair

    Donc et plus spécialement pour PACO :

    I/Je n’aime pas qu’on me fasse dire autre chose que ce que j’ai dit ;

    J’évite ce type de procédé, quand ça m’arrive, j’accepte critique pour m’autocritiquer si je"dérape"..

    C’est dire que je considère aux limites de l’insulte(involontaire j’espèree) que tu cites citer ma phrase en affirmant

    C’est un amalgame et une provocation.

    Non, Amigo

    Tuas écrit, je mets en gras ce qui me semble au coeur d’un divergence de fond

    Comme si le mitraillage des premières manifestations spontanées et pacifiques n’avaient pas mené à la situation actuelle...

    NON

    C’est une version qui, objectivement, fait des groupes les plus réacs , armés et dont on sait qu’ils n’ont rien à envier à la férocité de certaines des unités de répression de..el Assad, je ne sais quel quasi nécessaire engagement type "Brigades Internationales" volant au secours d’un peuple désarmé.
    Désolé
    – Assad n’est pas Franco

    – Les barbus n’ont RIEN à voir avec le quinto Regimiento ou la colonne LISTER.

    Ceux, de l’autre bord , qui font de Assad un Allende , et qui décident que les"ennemis"(Impérailisme et ses pions sur le terrain ) d’un dictateur sont "un moindre mal"et que donc -n le disant ouvertement ou en "tortillant" du clavier pour le dire, - il y a moins de poux à chercher dans leur barbe que dans la tignasse du clan Assad, je n’entends ni les suivre sur ce terrain, ni à fortiori leur trouver des circonstances atténuantes

    Ceci dit, Chico a raison : si on continue on va se répéter, s’affronter pour"rien" .
    Puisque ces commentaires ne feront pas bouger d’un iota les rapports de forces entre couches populaires qu ’ON massacre... et les assassins.

    J’ai un désaccord de fond aveccertains d’entre" vous-" j, d’une expression qui se revendique d’une proximité avec le courant NPA

    Cette divergence porte sue ce que"vous mettez" dans une espèce de globalisation des"Printemps arabes".

    Qui a conduit le NPA a soutenir les forces anti-Khadafi,leur Conseil de Transition à demander qu’"on les arme", à déplorer que l’’OTAN -dont vous aviez condamné certes l’intervention (et celle bien sur de SARKO) fasse preuve de stratégie insuffisamment de soutien aux "insurgés-libérateurs" puisque se limitant aux frappes aériennes !

    Si débat, serein il doit y avoir ici, ce sera selon moi, pas à partir de cet art icle,
    mais aussi en oubliant la lecture des communiqués pitoyables signés avec la LDH et le FDG(sur la Lybie ), en revenant à quelques "fondamentaux" de ce qu’est une REVOLTE, qui peut ressembler, quand des foules s’amassent, à de la"REVOLUTION".. même si le Coran et la photo des Hollande-Sarko remplacent l’effigie du CHE et "le CAPITAL"..
    Pour être encore plus clair :

    Je ne partage pas certains choix éditoriaux de ce SITE

    Mais je ne pense pas qu’on puisse laisser entendre qu’il contribue à relayer des articles fachos soutenant des fachos !
    Pas plus que je n’ai jamais considéré que ceux des amis-contradicteurs qui contestent"nos propos" soient des kamikazes en "sommeil."

    Mais si c’est le cas, (pardon d’une pirouette"chancognarde"..

    .... ;BONNES et longues NUITS de sommeil

     :)
    Cordialement, et en conclusion.

    A.C

    NB j

    e conseille à ceux qui seraient jeunes- ou moins accrocs à l’Histoire que moi de revoir ce qu’a pu donner cette "manie" de voir du "BLANC et du NOIR sans rechercher "le gris"
    Exemples ?

    – La HONGRIE et le PCF

    L’Afghanistan( le PCf et certains trotskystes,..même si ces derniers finirent par une position "centriste" , selon moi, surestimant les"qualités" démocratiques "du pauvre MASSOUD..)

    Sans parler des Malouines ou certains ont cherché qui était "méchant":Videla ou la mère Thatcher" !!

    Voilà qui mériterait un débat sur "Laguerre des CLASSES et les contradictions inter-impérialistes dans la CRISE SYSTEMIQUE du CAPITAL"..

    On "élèverait" le niveau, non ?

    • Assad n’est pas Franco

      Franco de porc ?

      Chico

    • Humour, Chico
       :)
      J’ai en mémoire la rigolade d’un copain catalan à qui j’expliquais que je lui enverrai une paire de chaussures de foot de bordeaux , "franco de port" ..Je ne savais pas s’il y avait une expression équivalente dans la langue des "sardanistes".
      Et ce con , plié de rire, de me balancer"p’tain , j’espère que ça veut pas dire que l’envoi contient des trucspourris ou sans aucune valeur"

      Blague à part, et sans relancer l’échange , on sera d’accord, je pense pourdire
      qu’ effectivement il serait plus qu’"osé" de mettre un trait d’égalité-(concernant son rapport aux masses , son histoire, ).. entre le Baasssisme - y compris dans sa dernière version actuelle, y compris avec ce que nous savons et condamnons d’exactions, crimes de la dictature syrienne et le franquisme

      Sinon-certains le font chez nos adversaires- on a une approche des régimes et des hommes politiques totalement manichéenne
      Cela conduit du PS à la droite et chez certains pseudos "droits del’hommisme àla RSF-BHL" à parler de"caudillisme" pour Chavez, à en faire un "dictateur" de pronunciamento en rappelant le coupd’état de 92, sa carrière miltaire etc etc.

      Remarque bien qu’en 58, malgré les analyses des Pronteau, Casanova ou Servin , qui finiront scandaleusement stigmatisé parThorez, les communistes-et bien qu’alors simple"sympathisantun brin anar, j’ai fait cetteconnerie ont vite réglé le cas de DeGaulle , des institutions dela5°, en parlant de"fascisme"
      C’est absurde ;
      mais cette nouvelle disgression mériterait là-aussi un sacré débat sur la nature des régimes bourgeois...
      On en reste à Franco de porc ( qui aurait de quoi faire hurler les survivants des fameux Maures de Franco..que l’évêque deBugos ..bénissait..alors que les salopards de cette"garde sanglante " de Franco.., au sortir de cette cérémonie invoquaient , tournés vers laMecque,et avant de partir ratisser les barrios populares , ....la nécessité du djihad !

      Comme quoi il faut mettre au pluriel la phrase de cette enflure d’Arnaud Amaury,, légat du pape, fumier en robe rouge et Bible à la main, ordonnant qu’on passe par l’épée Béziers la Rebelle protestante.., anticipation d’Oradours futurs..
      "Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens."
      c’est Dieu(X) en l’occurence

      Comme quoi , rien n’est si simple...

      Cordialement

      A.C

  • Pour nous débarrasser du nazisme,la Résistance s’est alliée,circonstances obligent,PCF en premier,avec les gaullistes et les alliés(USA,GB,etc...)...et ce sera pareil contre Assad,c’est absolument nécessaire.Les mêmes circonvolutions habituelles chez les trotskystes les ont amenés à ne pas prendre parti en 40,prétextant que c’était affaire de luttes capitalistes entre eux.Je retrouve les mêmes arguments fallacieux ici que ce soit A.C ou R.F.,il faut se débarrasser de toutes les dictatures,c’est le devoir de tout communiste digne de ce nom,le reste n’est que causeries de salons !

    • ça m’étonnerait que tu te couches avec des contractures de neurone toi.

      je résume
      Tu oses la comparaison

      Pour nous débarrasser du nazisme,la Résistance s’est alliée,circonstances obligent,PCF en premier,avec les gaullistes et les alliés(USA,GB,etc...)...et ce sera pareil contre Assad,c’est absolument nécessaire.

      Je traduis en langage de ce que j’ai lu , à cejour, deplus naze et d’insultant pour les camaros résistants . ;et au passage donc pour RF ou pour moi
      Ta logique rrrrévolutionnaire

      Puisqu’, ASSAD égale , pour moi, "ftp matriciule90.**.244.**, Hitler Himmler Pétain Laval Doriot , il va de soi que les prolos des faubourgs de damas."circonstances obligent",parce que c’est absolument nécessaire,ont intérêt à vite s’allier avec les libérateurs made in US -OTAN -FMI

      .Avec troupes "débarquant" d’Arabie saouadite ou autres lieux démocratiqiues... comme d’autres sur nos plages de Normandie

      Avec kalachs a bout de bras de sBarbus, en attendant l’envoi de matériel sophistiqué qui évitera àAl Qaida de se battre à armes inégales pour libérer par la Charia,...
      Et demain , sil le faut pour qu’Allah qui est grand n’aie pas inspiré que la REVOLUTION du World Trade Center, pourqu’un retraité résistant de Syrie te balance un engin made in France etsuper performant sur le Vol Paris -Barcelone..

      J’avais pas vu ça comme ça. ;

      Sans ton analyse,.... ces pauvres Syriens, vont jamais êtreLIBRES...

      Pardon de me poser une question...

      t’es troll, con ou les deux ?

      A.C

    • Comme dab le "mono-neurone" 90.**.244.** n’a même pas le couilles pour se signer...

      Bientôt il va nous proposer la "formule" française de Grillo pour se débarrasser de la "dictature" des parti politique...

      Et oui la solution contre une dictature est de.... ne créer une autre.... ;-)))))

      Pas de surprise que le soit disant inconnu 90.**.244.** nous propose cet solution, lui notre "cher" et "fidèle" "Ali de Vitry" et alias d’autres pseudo, le même qui glorifie les idées les plus raciste et réactionnaire ? et qui maintenait il nous donne des leçon PeCeiste... lui le fasciste... et bien voila un bon exemple de trollage...

      Oui Allain tu a raison troll et con....

    • Je doute aussi que l’on aille bien loin dans cette nouvelle "discussion" sur la Syrie.

      Tentons au moins de poser la divergence en évitant les caricatures.

      Personne ne dit que le soulèvement contre Assad c’est la garde rouge à l’assaut du palais d’hiver ou le Che à Santa Clara...

      Comme dit souvent AC entre le blanc et le noir... Le "et".

      Un soulèvement où il y a une dynamique potentielle progressiste (articulation d’aspirations démocratiques et sociales) et des forces réactionnaires fanatiques soutenues par des pétro-monarchies.

      En ajoutant que ces forces "sectaires" (comme disent les syriens progressistes) prennent une place grandissante mais, à mon sens, pas encore "hégémonique".

      On peut discuter de cette appréciation sans sombrer dans l’amalgame (soutiens des barbus et autres gentillesses).

    • La caricature et l’amalgame sont pourtant le moteur du soutien officiel et médiatique à la "révolution" :
      les stigmatisations Collon = facho, Bachar = boucher, etc. relèvent aussi de la propagande,
      au profit des protégés de l’OTAN, à défaut de trouver un vrai mouvement populaire aussi "efficace" que les jihadistes al nosra et compagnie.
      C’est le fait de trouver allaouakbar côte à côte avec l’oncle Sam et sa liberté frelatée, avec Kouchner et nos bombardiers ni humanitaires ni démocratiques, qui m’a incité à me méfier de ce soi disant printemps syrien. Les premières manifs demandaient du pain, du pétrole et un coup de frein à la corruption, pas la peau d’al Assad. Et quand un bureau de deux personnes à Londres est devenu la seule source de nos "infos" sous prétexte que leur nom inclut "DH", j’ai compris pourquoi beaucoup de syriens ne pouvaient que se rallier (en attendant mieux) à leur armée, qui les défend contre une forte équipe.
      Qui survivra verra.

    • les stigmatisations Collon = facho, Bachar = boucher, etc. relèvent aussi de la propagande,

      Et dire qu’il a succédé à son papa (comme King Jong Machin ou comme Louis XIV), c’est aussi de la propagande ?

      Les premières manifs demandaient du pain, du pétrole et un coup de frein à la corruption, pas la peau d’al Assad.

      Oui c’est exact.
      Mais comment Assad a-t-il "répondu" à ces manifestations ? Par une répression sanglante et brutale.

      A part ça, non Assad n’est pas un dictateur, tu as raison de dénoncer la propagande :-)))

      Chico

    • @ Paco et Chico

      Ils parait que des français vont se battre en Syrie, mais ils ne sont pas du NPA !
      Vous n’y allez pas, moi non plus et c’est bien comme ça !

      Alors, plutôt que de s’empailler sur ce genre de bêtises, je me permets, très modestement, de vous rappeler qu’un gars du NPA est en grève de la faim depuis 19 jours "DANS LA QUASI-INDIFFERENCE DU NPA " ... ...

      @ Roberto

      Malgré mes messages, je n’arrive pas à prendre contact .
      Beaucoup ici ont des idées pour faire monter la pression vite mais sont responsables et n’ont pas envie de casser un dialogue qui s’engagerait.
      Vous avez mes coordonnées.