C’est la rue qui tue

C’est la rue qui tue

Selon une enquête récente de l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale (ONPES), 25,1% des décès de SDF ont lieu l’hiver.
C’est ainsi que l’on apprenait le décès d’une une femme sans logis Muriel âgée de 46 morte de froid , il faisait _8 c , la vague de froid qui touche la France a fait 5 morts de froids , comme chaque hiver le triste décompte apparait à la une du journal télévisée.

Mais indique le rapport de ONPES au printemps (24,8%) des sans logis meurent d‘autres causes comme par exemple la chaleur la désidratation , et en automne (29%). Vont décéder .

CAR c’est la rue qui tue.

La rue mène à la mort.

SI La violence reste une des cause notamment chez les femmes car avec la crise de plus en plus de femmes et de jeunes se retrouvent à la rue,
le rapport de ONPES citent les agression ,l’ alcoolisation pour résister à la
Rue mais aussi et surtout le manque de soins et les maladies qui vont se déclarer accentuées par les conditions de vie dans la rue.

En hiver c’est hypothermie
En été la déshydrations ;
Et l’espérance de vie reste de 50 ans pour les personnes vivant dans la rue ;

C’est bien d’un problème de société qu’il s’agit , il est plus que temps de le combattre
en interpellant les élus , Les candidats
Pour les faire bouger sur la réalisation d’hébergement d’urgence, de logements,

L’austérité la crise la dette affaiblissent de jours en jours les plus faibles, on l’a vu avec la Grèce où les salaires sont amputés de 50% , la malnutrition progresse, le chômage atteint 20% et 40% chez les jeunes et les séniors , les services publics sont liquidés
Dans ces conditions

Mais nous ne sommes pas épargnées

Martine Lozano militante associative