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CONTRE LA REPRESSION DE SYNDICALISTES PAR LE RECTEUR DE VERSAILLLES
Publie le dimanche 20 septembre 2015 par Open-Publishing2 commentaires
Non aux sanctions contre deux enseignants grévistes de Colombes.
Pétition de soutien pour Gari Pham et Oscar Roman.
Nous, personnels enseignants, demandons que nos collègues Gari Pham et Oscar Roman ne soient victimes d’aucune sanction à l’issue de la procédure disciplinaire engagée à leur encontre.
Nous ne comprenons pas cette procédure qui vise leur participation au mouvement contre la sortie de l’éducation prioritaire dont nous avons été, nous aussi, acteurs et/ou solidaires.
Tout le mouvement a été guidé par notre attachement au service public et au principe d’égalité.
Nous attendions du dialogue et des réponses à nos revendications, nous ne pouvons pas accepter des sanctions.
Adressée à
M. le recteur de l’académie de Versailles
Ne sanctionnez pas deux enseignants grévistes de Colombes (92).
SIGNEZ !
Messages
1. CONTRE LA REPRESSION DE SYNDICALISTES PAR LE RECTEUR DE VERSAILLLES, 20 septembre 2015, 23:32
Bonsoir, le lien ne fonctionne pas, voici le bon :
https://www.change.org/p/m-le-recteur-de-l-acad%C3%A9mie-de-versailles-ne-sanctionnez-pas-deux-enseignants-gr%C3%A9vistes-de-colombes-92-2?recruiter=57501980
ou
https://goo.gl/LF8KP8
1. CONTRE LA REPRESSION DE SYNDICALISTES PAR LE RECTEUR DE VERSAILLLES, 21 septembre 2015, 00:15
– RADIO LIBERTAIRE avait été le premier média à évoquer la lutte du collège Bellefontaine contre la rectrice de Toulouse (inédit dans l’EN en raison d ela grève d ela faim d’une enseignante, laure Betbeder), et est à ce jour le seul média (TV, Radio, presse ecrite) à donner la parole aux syndicalistes de GAY LUSSAC (samedi 12/9 11h30).
– Aucun(e) enseignant(e) ne peut, après ce qui s’est passé à Bellefontaine, laisser passer ca.
Il s’agir de ne plus baisser la tête, il s’agit de la dignité de tous et toutes. Si on laisse faire, ils comprendront que nous renonçons à nous défendre, à défendre nos statuts et nos droits fondamentaux.
Il convient d’exiger des médias qu’ils fassent leur travail (envoyer des mails, appeler les journalistes), exiger du rectorat qu’il s’explique (la rectrice de Toulouse avait obtenu cet été ..la légion d’honneur ...pour avoir cassé du syndicaliste !), exiger des partis politiques qu’ils prennent position (demander le responsable education) exiger surtout, de nos directions syndicales qu’elles organisent la lutte et diffusent l’information (Pour Bellefontaine, malgré un mois de grève de la faim de Laure Betbeder, le SNES national avait attendu le 16 juillet pour informer les collègues sur son site national, un communiqué fort controversé d’aillleurs —> le SNES doit maintenant prendre position en faveur des syndicalistes, et sortir de sa prudence).
– Ce sujet n’est désormais plus un sujet d’"education prioritaire", ce qu’il était inititialement.
Le conflit porte sur le droit de grève, comme le conflit de Bellefontaine. Le droit de grève est garanti par la constitution de 1946 de la république (art 7 du préambule).
– Ce conflit est politique, au sens plein du terme : ce sont les ultimes valeurs de gauche qui en sont l’enjeu, sous un gouvernement..de "gauche".