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Comme Maryvonne à Brest, va falloir pointer à Pôle emploi à 80 piges

par via pilhaouer

Publie le jeudi 16 mai 2013 par via pilhaouer - Open-Publishing
3 commentaires

Comme Maryvonne à Brest, va falloir pointer à Pôle emploi à 80 piges

L’alternative ?
• Se faire adopter par l’un des 2 200 000 millionnaires en $ vivant en France
• Passer le concours de gardien de prison ou s’incruster dans tout secteur en développement avec la sécurité de l’emploi
• Se liguer et tout bloquer

http://www.cip-idf.org/article.php3...


Non, c’est pas périmé !

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Messages

  • Le slogan "bloquons l"économie" est absurde.

    C’est le capitalisme que nous devons détruire, pas la production de biens.

    • Peut-être pas le meilleur slogan mais le commentaire est inexact aussi :

      Bloquer, ce n’est pas détruire la production mais l’arrêter et c’est ce qui se produit en cas de grève, je crois.

      Si l’économie ne fonctionne que dans l’intérêt d’une minorité, il n’est pas illogique de vouloir la bloquer.
      "C’est le capitalisme que nous devons détruire". Certes, mais si l’on ne dit pas comment on pourrait s’y prendre, c’est un slogan dans le vide aussi.

      J’ajouterai que détruire le capitalisme pour continuer à produire n’importe quoi ne servirait pas à grand chose, la production est un moyen, pas une fin et il y a "des" progrès mais l’idéologie du progrès est un mythe.

      Mais votre réflexion est très intéressante :
      Pourquoi le blocage de l’économie fait-il peur ?

      Probablement parce qu’il est assimilé au chaos et à l’insécurité, au bouleversement de ce qui fait notre quotidien.
      Sauf dans certains secteurs ( mais cela pourrait bien s’accentuer voire se généraliser si la remise au pas des travailleurs suite au "choc " (au sens de Naomi Klein) que nous subissons), les conditions physiques du travail ne sont pas celles du XIXème . Mais pourtant tout témoigne du "malheur au travail".
      On se suicide effectivement ou on se suicide en s’abrutissant "metro ou périph’, boulot métro, hypermarché, TV, dodo et contrairement à nos ancêtres, peu d’endroit ou se retrouver, discuter, être solidaires car tout s’organise pour nous isoler.
      Mais comme le vieux prisonnier craint la sortie de prison, nous avons peur de l’inconnu.
      Il est possible que nous soyons contraints ... de sortir.

    • si on devait se contenter de bloquer, ça suffirait pas, voir aulnay, d’abord il faudrait arreter de droguer les gens avec une consommation imbecile qui detruit les gens du bout du monde, qui oblige la population à bosser pour de l’inutile et du superflu, voiture pour aller boulot, boulot pour payer la voiture, maison qu’on occupe pas car loin du boulot, avenir tellement incertain qu’on ose plus rien, tout le monde parle de 68, je suis désolé, ça pue les années trente et pas 68