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Débat autour de « Premières mesures révolutionnaires » le 14 février à Montre
par Alternative libertaire
Publie le mardi 28 janvier 2014 par Alternative libertaire - Open-Publishing1 commentaire
Débat autour du livre Premières mesures révolutionnaires, à Montreuil le vendredi 14 février 2014, organisée par Alternative libertaire.
En présence d’Eric Hazan, coauteur du livre et, sous réserve, de camarades actifs à Tarnac.

« L’ordre existant, ce scandale permanent et mondial, ne répond plus à personne, ni de rien. Il a renoncé à tout argument, hormis celui de la force. Aussi, nous ne le critiquerons plus, nous l’attaquerons. Pour attaquer, il faut constituer une force et disposer d’un plan. Ce livre est une proposition de plan pour rendre l’insurrection irréversible, pour que le vieux monde ne puisse plus faire retour, passé le moment où le pouvoir se sera évaporé, où ses débris tournoieront dans le vide. Un plan pour sortir du cycle trop connu des révolutions ratées.
Quant à la force, nous la constituerons en commun, tout en discutant, en amendant ce plan, en en formant un meilleur. Avec tous ceux qui n’en peuvent plus et qui attendent que quelque chose se lève pour nous porter ailleurs. Il faut faire vite : le vent de la révolte parcourt le monde et le domino français ne va pas tarder, comme bien d’autres avant lui, à tomber. Rencontrons-nous. Organisons-nous. Soulevons-nous. »
La soirée sera l’occasion d’un débat contradictoire sur le projet révolutionnaire et l’après-capitalisme.
Vendredi 14 février de 20 heures à 22 heures au restaurant/bar Casa Poblano (15, rue Lavoisier, Montreuil, métro Robespierre).
Messages
1. Débat autour de « Premières mesures révolutionnaires » le 14 février à Montre, 28 janvier 2014, 12:53, par réduse
Rhmm - quand le vieux programmatisme frileux tend la main au réformisme libertaire... Enfin... Puisque nous manquons de critique et d’audace, ça vaut encore mieux que d’être sourd. Mais tout de même - une fois de plus l’urgentisme l’emporte sur la radicalité des questions et des mises en cause.
En quelque sorte, la gestion et ses nécessités, fussent-elles "auto", continuent de tenir la corde, alors même que le monde dont elles espèrent qu’il va les porter s’effondre.