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« Dégage et fissa ! ». Le Pen en a rêvé, Sarko l’a fait
Publie le vendredi 18 mai 2007 par Open-Publishing2 commentaires
Le Pen en a rêvé, Sarko l’a fait
« Dégage et fissa ! »
jeudi 17 mai 2007
Le programme du nouveau ministre de l’immigration et de l’identité nationale se résume en deux mots : « Dégage et fissa ». C’est ce porte-flingue de Sarkozy, chargé naguère par ce dernier de s’occuper du cas Azouz Begag, qui sera chargé de faire la chasse aux immigrés et aux mauvais français. Le Pen en a rêvé, Sarko l’a fait. Ca promet.

Voici un aperçu du personnage à travers un épisode raconté par le site bakchich.info
Brice, il fait rien qu’à "casser" Azouz
lundi, 11 décembre 2006 | par Gari John
Brice Horetefeux, le plus intime porte-flingue du ministre de l’Intérieur, fait preuve d’une sympathie relative à l’égard d’Azouz Begag.
Le conseil des ministres a ses habitués et, bien entendu ses habitudes. Brice Hortefeux a une petite tradition, chaque mercredi. Le ministre des Collectivités territoriales a la politesse de toujours salué Azouz Begag, le ministre délégué à l’Egalité des chances par un « tiens t’es encore là toi ». Quand on vous dit que le gouvernement est une équipe.
Petite entorse à cette règle non écrite lors du conseil du 29 novembre. En réaction à l’assassinat du ministre de l’Industrie libanais Pierre Gemayel, Begag s’étonne faussement ingénue : « tiens ça existe encore les assassinats politiques ». Réponse tout en douceur d’Hortefeux : « oui on va les réinventer pour toi ».

Les assauts d’amabilité entre les deux ministres ne s’arrêtent pas toujours aux portes du salon Murat du palais de l’Elysée. Lors d’une séance de questions au gouvernement, traditionnel cérémonial hebdomadaire de l’Assemblée nationale, le petit Brice a gentiment inviter son collègue à quitter les lieux. « Toi maintenant, tu dégages ». Pris d’un accès de surdité sans doute, Begag ne bouge guère et ignore royalement son interlocuteur. Dépité, Hortefeux se répéte : « dégage et fissa ! »
Plein de compassion et conscient du quiproquo, le sieur Azouz argue « qu’en tant que Bourguignon, [il] ne comprend pas le Breton ».
Le refuge littéraire...
Tant d’amitié peut surprendre. Mais depuis les saillies de Nicolas Sarkozy sur la « racaille » et le « kärcher », qualifiées de « sémantiques guerrières » par le ministre à l’Egalité des chances, le feu couve entre les deux camps. Un temps, comme l’avait rapporté Bakchich, le petit Nicolas a tenté un rabibochage. Et fait chou blanc. Depuis, Sarko a chargé son meilleur porte-flingue, Hortefeux de régler le cas Begag.
Messages
1. « Dégage et fissa ! ». Le Pen en a rêvé, Sarko l’a fait, 18 mai 2007, 13:40
Mais que lui faut - il a Azouz pour ouvrir les yeux. Ceux avec qui il a fait copain, copain sont les dignes representants des nostalgiques de l’ Algerie française, aurait-il oublié a ce point d’ou il vient.
signé Garibaldi
2. « Dégage et fissa ! ». Le Pen en a rêvé, Sarko l’a fait, 18 mai 2007, 14:47
Le surnom qui commence à apparaître sur le web pour Hortefeux dans ses nouvelles fonctions : "Fissa !"