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Dépense publique : Fillon veut faire travailler davantage les fonctionnaires
Publie le mardi 3 décembre 2013 par Open-Publishing2 commentaires
Dépense publique : Fillon veut faire travailler davantage les fonctionnaires
AFP 3 DÉCEMBRE 2013 À 11:02
L’ancien Premier ministre François Fillon a qualifié mardi de « nécessité absolue », pour réduire la dépense publique, le fait de faire « travailler un peu plus » les fonctionnaires de l’Etat et des collectivités territoriales « tout en réduisant l’emploi public ».
« Il y a des gains de productivité à faire dans l’administration. Des choix à faire, des secteurs dans lesquels l’Etat doit se retirer, des secteurs dont l’organisation doit être simplifiée, (notamment) l’organisation des collectivités territoriales », a estimé M. Fillon mardi sur RTL.
« Il y a aussi la question du temps de travail. Quand un pays est en très grande difficulté, on ne peut pas dire qu’on va s’en sortir sans demander d’efforts autres que celui d’augmenter les impôts. Par exemple demander aux fonctionnaires de l’Etat et des collectivités territoriales de travailler un peu plus pour permettre d’assumer les missions qui sont celles de l’Etat tout en réduisant le nombre d’emplois publics. C’est une nécessite absolue », a-t-il poursuivi.
Messages
1. Dépense publique : Fillon veut faire travailler davantage les fonctionnaires, 3 décembre 2013, 19:19
François Fion, commence par toi-même.
Bosse un peu, au lieu de ressasser les mêmes sempiternels fantasmes. Ou donne la moitié de ton salaire (élevé) pour résorber la dépense publique !
2. Dépense publique : Fillon veut faire travailler davantage les fonctionnaires, 5 décembre 2013, 21:41, par Minos
parler de gain de productivité dans sa bouche, ça veut encore dire transférer les tâches faites par des fonctionnaires vers des entreprises privées, qui vont encore se frotter les mains devant de l’argent public sans mettre les moyens nécessaires, résultat : les missions de services publiques ne seront plus assurées et là ce sont les usagers qui trinquent. Souvent, on découvre des patrons copains aux têtes de ces boîtes.
En 2013, on en est toujours à opposer les salariés du public et du privé.