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Publie le lundi 7 juillet 2003 par Open-Publishing
1 commentaire

FRANCOFOLIES

Depuis 12 heures occupation par environ 250 intermittents spectacle

du parking Saint-Jean d’Acre, lieu des grands concerts des francofolies.

Les équipes techniques non grévistes ont cessé le montage des scènes, gradins, etc...

A 13 H Le discours d’Aillagon n’a fait qu’exacerber l’opinion générale :

"On nous prend pour des cons !"

Les intermittents réclament une renégociation du régime.

Jean-Louis FOULQUIER abattu, demande qu’au nom de l’équité les studios de télévisions aussi soient investis, il conspue publiquement les grosses boites de prod télé.
Henri Moulinier adjoint au maire de La Rochelle le soutient.
Le maire de LaRochelle Maxime BONO demande officiellement que le texte signé le 26 Juin soit retiré.
La détermination est complète

et pour l’heure, l’occupation continue.

Messages

  • Il a entièrement raison. Les télévisions usent et abusent de l’intermittence des technicien : cadreurs, soundiers, assistants réalisateurs, scriptes etc...

    Pour les cadreurs de directs, les réalisateurs souhaitent, exigent, devrais-je dire, les techniciens qui sont rodés aux directs sportifs, mais quand il faut les défendre contre les excès de la direction des chaînes ou encore leur permettre de retirer quelques avantages lors d’événements importants (coupe du monde 98, me revient en tête) on les oublie ou pire les traite de sales profiteurs.

    Quant aux assistants et scriptes des services des sports et des actualités, ceux-ci travaillent quasi quotidiennement en assurant des semaines de 60 h et plus lors d’événements importants. Jamais on ne leur propose un engagement définitif. Au contraire, comme sur le moment, chacun y retrouve son compte, l’intermittent financièrement et la société aussi, on laisse faire ; jusqu’au jour, où on le vire comme un malpropre, sans raison aucune. L’intermittent se retrouve à la rue, galérant pour retrouver du boulot car très spécialisé et limité dans ses prestations.

    Ceci est aussi valable pour les nouvelles sociétés de productions privées qui ont le vent en poupe et qui usent et abusent pareillement des intermittents.

    Alors remuons le "merdier" de ces profiteurs.
    PAul