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E. coli et la résistance aux antibiotiques
par via µarc
Publie le samedi 2 juillet 2011 par via µarc - Open-Publishing8 commentaires
« Escherichia coli est la bactérie la plus fréquemment utilisée pour faire ’muter’ les cellules de plantes afin d’obtenir des OGM. Escherichia coli est ‘le’ vecteur utilisé pour introduire dans les cellules de plantes, le gène étranger qu’on désire intégrer au génome de la plante. Après on se ‘débarasse’ de la bactérie Escherichia coli en utilisant un cocktail d’antibiotiques à large spectre censés éliminer les bactéries et non pas les cellules mutées (qui seront à l’origine de la nouvelle lignée d’OGM) puisqu’en introduisant le gène désiré on a en même temps introduit dans la cellule un gène de résistance aux antibiotiques.
L’Escherichia coli utilisé à la fabrication d’OGM est donc le ‘transporteur’, le ’vecteur’, à la foi du gène qui intéresse le producteur d’OGM et du gène de résistance aux antibiotiques. Le but étant de tuer la bactérie servant de vecteur (de transporteur) et non pas la cellule mutée, en noyant l’ensemble dans une soupe d’antibiotiques qui tuera les bactéries qui se sont débarrassées de leurs gènes ‘parasites’ au profit des cellules, sans tuer les cellules porteuses des gènes introduits.
– Quid des bactéries devenues résistantes aux antibiotiques, ça l’histoire ne le raconte pas,
– quid des interactions entre Escherichia coli et les cellules de plantes qui seront à l’origine de nouvelles lignées de plantes OGM... Je ne ferais pas plus de commentaires et vous laisse le soin de faire le lien entre mon histoire... et d’autres, à l’actualité cruelle. »
Par M me Herrade Nehlig, de l’Institut de biologie molécularie des plantes - CNRS, Strasbourg (courriel)
Messages
1. E. coli et la résistance aux antibiotiques , 2 juillet 2011, 20:41
Eceh (et le reste) : On nous prend pour des cons
Dr Lanka se bat depuis longtemps contre la peur et la bêtise. J’avais participé à la rédaction de son livre sur la grippe aviaire, en 2007 je crois, en tant que témoin.
Je vous traduit sa lettre du 2.6.2011 :
Aux institutions, organisations et Etats sinistrés par Eceh
Messieurs Dames,
Je vous propose, en tant que biologiste moléculaire et virologue (découvreur du premier virus issu de la mer), une expertise sur les deux points fondamentaux suivants au sujet de eceh :
1. Les administrations savent que les méthodes qu’ils utilisent (méthodes sérologiques et de multiplication DNS ; PCR) sont incapables de prouver la présence de bactéries eceh sur des légumes ou dans un organisme humain.
2. Les administrations compétentes savent qu’il n’y a aucune preuve scientifique que les bactéries eceh documentées en laboratoire soient responsables des maladies qu’on leur implique.
La chancelière Merkel est informée depuis le 27.5.2011 au sujet de l’absurdité des allégations concernant la bactérie eceh.
Veuillez agréer etc
Dr. Stefan Lanka
Langenargen le 2.6.2011
.
Eingestellt von Mahamudra um 01:07
AUTRE CHOSE , ça vous permet d’approfondir vos analyses
1. E. coli et la résistance aux antibiotiques , 3 juillet 2011, 01:56
Ce Lanka est un uluberlu qui ose prétendre que le virus du SIDA n’existe pas. autrement dit : inutile de mettre des capotes ; même quand on change sans arrêt de partenaire ! Bref un taré !
2. E. coli et la résistance aux antibiotiques , 3 juillet 2011, 20:48, par Jean Serien
A ce jour combien de virus et autre saloperie sont sorti des labos incapables de maitriser leur confinement ? Là aussi pas de preuves officielles ? On aime pas être pris pour des c.
Qu’il retire ses oeillères le Lanka.
3. E. coli et la résistance aux antibiotiques , 3 juillet 2011, 21:14
vous ëtes certainement pas au courant du revirement a 390° du Pr MONTAGNIER ?
les infos circulent ,nous sommes même submergés , ou alors vous faites de la
désinformation , c’est bien payé ?
2. E. coli et la résistance aux antibiotiques , 4 juillet 2011, 15:31, par Agatio
Bonjour,
merci de tenir compte de la réponse de l’IBMP (là où travaille Mme Mme Nehlig) :
http://ibmp.u-strasbg.fr/index.php?id=26&tx_ttnews[tt_news]=81&tx_ttnews[year]=2011&tx_ttnews[month]=07&tx_ttnews[day]=04&cHash=1bcf4f2ec6
Hormis le fait que cette dame n’est pas chercheuse (technicienne au sein de l’IBMP), elle est surtout fortement orientée dans son discours de par son appartenance politique.
Qui plus est, elle utilise des rapprochements montrant ses lacunes scientifiques, d’où la réponse officiel de l’IBMP et du CNRS qui refusent que l’on utilise ces instituts 1)sans leurs accords 2)encore moins pour dire des conneries 3)à des fins politiques
Merci de préciser la réponse de l’IBMP dans votre article pour que le lecteur est tout les éléments en mains.
Merci d’avance,
très cordialement
Agatio - doctorant
1. E. coli et la résistance aux antibiotiques, 5 juillet 2011, 16:22, par en colère
et aujourd’hui le rectificatif de l’Institut de biologie moléculaire des plantes qui emploie cette dame et dont elle se réclamait dans son courrier :
L’Institut de biologie moléculaire des plantes du CNRS tient à réagir aux propos, publiés dans les DNA du 1 er juillet, de M me Herrade Nehlig, technicienne à l’institut.
« M me Nehlig prétendait que la bactérie Escherichia coli est le vecteur utilisé pour réaliser la transformation des plantes. Or cette bactérie, qui sert à multiplier l’ADN, n’est jamais en contact avec la plante.
En réalité, la bactérie utilisée est Agrobacterium tumefaciens. Celle-ci dispose, naturellement, des capacités à transférer de l’ADN dans le noyau de la cellule végétale, contrairement à Escherichia coli.
Cette personne évoquait la résistance aux antibiotiques.
Effectivement, des souches de bactéries résistantes à certains antibiotiques sont utilisées par les laboratoires de recherche. Selon M me Nehlig, « l’histoire ne (…) raconte pas » ce que deviennent ces bactéries résistantes. Il faut savoir que ces bactéries sont systématiquement détruites par d’autres classes d’antibiotiques durant le processus de sélection des plantes transformées.
Aucune bactérie n’est présente sur les plantes transgéniques et toutes les cultures bactériennes sont détruites par autoclave ou par traitement au chlore suivant la réglementation en vigueur.
Autre témoignage de la méconnaissance de Madame Nehlig du sujet qu’elle évoque : les infections aux E. coli entérohémorragiques ne se soignent pas avec des traitements antibiotiques. En effet, de tels traitements ont pour conséquence d’aggraver l’état des patients en libérant plus de toxines bactériennes. »
? De son côté, M me Herrade Nehlig, de Strasbourg, nous prie d’apporter les précisions suivantes : « (...) J’ai écrit cet article à titre totalement personnel et non pas en tant que membre de l’Institut de Biologie Moléculaire des Plantes et je l’ai signé en mon nom propre. Mon Institut ne saurait cautionner une opinion que j’exprime à titre personnel ».
http://www.dna.fr/fr/monde/info/5367740-Courrier-des-lecteurs-E.-coli-rectificatif-et-precisions
A noter qu’elle mange son chapeau !... elle a dû bien se faire taper sur les doigts pour avoir raconté de telles balivernes tout en se présentant comme appartenant à cet Institut.... pour mieux leurrer le bon peuple !
3. E. coli et la résistance aux antibiotiques , 5 juillet 2011, 08:55, par marie.lina
Arrêtons de bouffer de la merde !!!! Les steacks hachés surgelés sont dangereux ,même si pas toujours mortels et qui possèdent les magasins low-cost ? Les mêmes qui possèdent tout et ruinent tout ,j’aime la viande ,mais moin de viande et de meilleur qualité rendons leur dignité aux paysans ,aux humains et aux vaches en général !!!
La grande distribution n’est pas coopérative mais captatrice et destructrice .marie.lina
1. E. coli et la résistance aux antibiotiques , 7 juillet 2011, 09:41, par Stéphane
@ Marie.lina
Vous oubliez de dire que les steaks hachés (que je n’aime pas personnellement) n’ont tué personne. Par contre les graines germées BIO ont tué plusieurs dizaines de personnes. Un peu de respect de la vérité !!!