Après le refus des cadres du parti de soutenir Mélenchon, le dernier mot revient aux militants communistes.
Ils viennent de voter à 53,6% pour le soutien à sa candidature et donc refusent qu’il y ait un candidat communiste.
Pour Mélenchon, c’est une bonne nouvelle, même si le PC ne pesait plus que 3 à 4%, cela lui aurait fait un grand manque pour son score à la présidentielle.
En 2012, le PCF s’était déjà rangé derrière JL. Mélenchon aux présidentielles (11,10 %), sous la bannière du Front de Gauche.
Là il peut envisager sereinement de faire un très bon score
Ce vote , tant attendu, doit permettre de lancer une dynamique nouvelle ouverte à tous les espoirs, pourquoi ne pas y croire.
" ...donc refusent qu’il y ait un candidat communiste ..."
Non, du PCF ! Candidat qui, de toute façon, aurait dû se retirer au bénéfice de Montebourg si celui-ci se présentait ; comme l’option 2 le prévoyait.
Comment certains au PCF en sont-ils arrivés à penser que Montebourg était plus à gauche que JLM ?
Comment certains au PCF en sont-ils arrivés à penser que Montebourg était plus à gauche que JLM ?
Il ne faut pas prendre « certains au PCF » pour des imbéciles. Je doute qu’ils aient pensé ça un instant.
C’est plutôt une question "alimentaire" (avoir des élus qui cogèrent avec le PS des collectivités locales), il me semble...
si le pcf n’avait pas penché vers cette gauche--- honte à lui ! on est soulagé de cette bonne réponse ! c’est un plus pour JLM et pour nous les paumés du capitalisme ! c’est un pas en avant -
surtout merci aux adhérents qui ont voté pour cette option alors que les cadres de la convention nationale n’avient pas retenu cette option.Il était temps
La preuve est faite que les dirigeants sont coupés de leur base, trop préoccupé par la recherche d’une place, d’un poste ............. avec malheureusement l’appui du ps, mais là, je suis médisant.
lorsqu’on veut être nombreux, on évite de semer la discorde.
Les militants des sections avaient envoyé leurs représentants qui avaient choisi l’autre option contre l’avis des dirigeants qui eux prônaient l’appel à Mélenchon.
Les adhérents (cotisants) ont choisi de suivre leurs dirigeants nationaux (dont nombre d’élus) à une courte majorité...
Maintenant les militants doivent appliquer la décision majoritaire mais si certains jouent inutilement les trouble-fête, alors ceux qui ne sont pas chauds risquent de bouder leur soutient, est-ce qui est souhaité ?
Alors vivre en bonne intelligence c’est commencer à se respecter.
je ne suis pas membre du PCF, mais le respect s’impose, un commentateur disait du candidat qu’il était un général sans troupes et du PCF des troupes sans général...
Sans doute est-ce faux des deux côtés mais qui serait assez fou pour refuser l’arrivée de ceux qui sont omniprésents sur le terrain ?
« lorsqu’on veut être nombreux, on évite de semer la discorde. »
Qui pourrait prétendre l’inverse ? Pas moi, qui ne suis plus communiste depuis 2001. Le vote : 7% d’écart quand même.
« Maintenant les militants doivent appliquer la décision majoritaire mais si certains jouent inutilement les trouble-fête, alors ceux qui ne sont pas chauds risquent de bouder leur soutient »
Bien sur, mais à qui la faute. Certains dirigeants du pcf, et non des moindres, prônait la candidature communiste, dans l’espoir de se désister si Montebourg gagnait la primaire .
Comment peut-on penser que Montebourg serait plus à gauche que Mélenchon, alors que Montebourg appelait les électeurs de gauche à participer à la primaire de droite pour faire barrage à Fillon.
Voilà aussi pourquoi il n’y a que 7% d’écart. J’en discutait, ce matin, au marché, avec les camarades qui diffusaient l’huma. C’était pas clair du tout pour certains, en parti, ceux qui veulent à tout prix des places d’élus dans les municipalités socialistes.
Les motivations sont variables des deux côtés du vote entre les opportunistes suivant les sondages afin d’avoir l’estampille insoumis et être élus... et ceux qui dans l’autre camp n’ont d’horizon que le PS... (en effet, Montebourg le libéral social).
Il y a dans les deux camps des militants honnêtes qui sont pour garder les acquis sociaux et voient l’urgence du moment et les enjeux des élections si proches ; puis d’autres qui sont pour la révolution et ne veulent pas se faire avoir par le premier tribun charismatique (le dernier c’était Staline, alors le doute de suivre comme des toutous semble bien légitime...). Il y a aussi ceux qui veulent reconstruire de l’intérieur un vrai parti communiste et qui pensent que cet outil sera indispensable quel que soit le résultat des élections...
Pas si simple... les respecter c’est percevoir le sens profond de leurs démarches antagonistes et bien souvent très sincères. A part pour les élus qui eux ne sont pas sur une lutte des classes mais sur celle des places...
Ca n’a pas de sens
Bcp d’élus appelaient à voter JLM. Et la direction (Pierre Laurent, De Almeida, Brossat, etc.)
C’est une vieille lune qui ne veut rien dire l’opposition direction base
Messages
1. ENFIN, 26 novembre 2016, 21:26, par Thomas
Maintenant au boulot, il faut convaincre et gagner.
En avant pour 25%
Hasta la victoria siempre companero comme disait Fidel
1. ENFIN, 26 novembre 2016, 23:44, par Soleil-Rouge
Après le refus des cadres du parti de soutenir Mélenchon, le dernier mot revient aux militants communistes.
Ils viennent de voter à 53,6% pour le soutien à sa candidature et donc refusent qu’il y ait un candidat communiste.
Pour Mélenchon, c’est une bonne nouvelle, même si le PC ne pesait plus que 3 à 4%, cela lui aurait fait un grand manque pour son score à la présidentielle.
En 2012, le PCF s’était déjà rangé derrière JL. Mélenchon aux présidentielles (11,10 %), sous la bannière du Front de Gauche.
Là il peut envisager sereinement de faire un très bon score
Ce vote , tant attendu, doit permettre de lancer une dynamique nouvelle ouverte à tous les espoirs, pourquoi ne pas y croire.
2. ENFIN, 27 novembre 2016, 11:37
" ...donc refusent qu’il y ait un candidat communiste ..."
Non, du PCF ! Candidat qui, de toute façon, aurait dû se retirer au bénéfice de Montebourg si celui-ci se présentait ; comme l’option 2 le prévoyait.
Comment certains au PCF en sont-ils arrivés à penser que Montebourg était plus à gauche que JLM ?
3. ENFIN, 28 novembre 2016, 15:14
Il ne faut pas prendre « certains au PCF » pour des imbéciles. Je doute qu’ils aient pensé ça un instant.
C’est plutôt une question "alimentaire" (avoir des élus qui cogèrent avec le PS des collectivités locales), il me semble...
4. ENFIN, 29 novembre 2016, 18:00
Je suis d’accord camarade ; tu m’as enlevé le pain (du PS) de la bouche (des élus PCF).
2. ENFIN, 26 novembre 2016, 23:51, par teres
si le pcf n’avait pas penché vers cette gauche--- honte à lui ! on est soulagé de cette bonne réponse ! c’est un plus pour JLM et pour nous les paumés du capitalisme ! c’est un pas en avant -
1. ENFIN, 26 novembre 2016, 23:57
surtout merci aux adhérents qui ont voté pour cette option alors que les cadres de la convention nationale n’avient pas retenu cette option.Il était temps
2. ENFIN, 27 novembre 2016, 00:55, par Soleil-Rouge
La preuve est faite que les dirigeants sont coupés de leur base, trop préoccupé par la recherche d’une place, d’un poste ............. avec malheureusement l’appui du ps, mais là, je suis médisant.
3. le mot enfin qualifie l’attente passive et la finalité attendue, 27 novembre 2016, 01:36, par le Rouge-gorge
Soleil “rouge”
lorsqu’on veut être nombreux, on évite de semer la discorde.
Les militants des sections avaient envoyé leurs représentants qui avaient choisi l’autre option contre l’avis des dirigeants qui eux prônaient l’appel à Mélenchon.
Les adhérents (cotisants) ont choisi de suivre leurs dirigeants nationaux (dont nombre d’élus) à une courte majorité...
Maintenant les militants doivent appliquer la décision majoritaire mais si certains jouent inutilement les trouble-fête, alors ceux qui ne sont pas chauds risquent de bouder leur soutient, est-ce qui est souhaité ?
Alors vivre en bonne intelligence c’est commencer à se respecter.
je ne suis pas membre du PCF, mais le respect s’impose, un commentateur disait du candidat qu’il était un général sans troupes et du PCF des troupes sans général...
Sans doute est-ce faux des deux côtés mais qui serait assez fou pour refuser l’arrivée de ceux qui sont omniprésents sur le terrain ?
Salut fraternel.
le Rouge-gorge
4. le mot enfin qualifie l’attente passive et la finalité attendue, 27 novembre 2016, 14:44, par Soleil-Rouge
« lorsqu’on veut être nombreux, on évite de semer la discorde. »
Qui pourrait prétendre l’inverse ? Pas moi, qui ne suis plus communiste depuis 2001. Le vote : 7% d’écart quand même.
« Maintenant les militants doivent appliquer la décision majoritaire mais si certains jouent inutilement les trouble-fête, alors ceux qui ne sont pas chauds risquent de bouder leur soutient »
Bien sur, mais à qui la faute. Certains dirigeants du pcf, et non des moindres, prônait la candidature communiste, dans l’espoir de se désister si Montebourg gagnait la primaire .
Comment peut-on penser que Montebourg serait plus à gauche que Mélenchon, alors que Montebourg appelait les électeurs de gauche à participer à la primaire de droite pour faire barrage à Fillon.
Voilà aussi pourquoi il n’y a que 7% d’écart. J’en discutait, ce matin, au marché, avec les camarades qui diffusaient l’huma. C’était pas clair du tout pour certains, en parti, ceux qui veulent à tout prix des places d’élus dans les municipalités socialistes.
Mais demain sera un autre jour.
5. le mot enfin qualifie l’attente passive et la finalité attendue, 27 novembre 2016, 17:33, par le Rouge-gorge
Les motivations sont variables des deux côtés du vote entre les opportunistes suivant les sondages afin d’avoir l’estampille insoumis et être élus... et ceux qui dans l’autre camp n’ont d’horizon que le PS... (en effet, Montebourg le libéral social).
Il y a dans les deux camps des militants honnêtes qui sont pour garder les acquis sociaux et voient l’urgence du moment et les enjeux des élections si proches ; puis d’autres qui sont pour la révolution et ne veulent pas se faire avoir par le premier tribun charismatique (le dernier c’était Staline, alors le doute de suivre comme des toutous semble bien légitime...). Il y a aussi ceux qui veulent reconstruire de l’intérieur un vrai parti communiste et qui pensent que cet outil sera indispensable quel que soit le résultat des élections...
Pas si simple... les respecter c’est percevoir le sens profond de leurs démarches antagonistes et bien souvent très sincères. A part pour les élus qui eux ne sont pas sur une lutte des classes mais sur celle des places...
Cordialement.
le Rouge-gorge
6. ENFIN, 27 novembre 2016, 21:07, par florent
Ca n’a pas de sens
Bcp d’élus appelaient à voter JLM. Et la direction (Pierre Laurent, De Almeida, Brossat, etc.)
C’est une vieille lune qui ne veut rien dire l’opposition direction base