En vérité il est bien possible que ça s’aggrave encore demain (zaz)

1. Pas de ponctions financières directes là où les hommes et femmes de base citoyens-citoyennes sont concernés (vieux, jeunes, étudiants, esquintés de la vie, bref tout le monde)

2. Prise en compte du modèle députés (pas de baisse du point d’indice fonctionnaire si le point d’indice du député n’est pas lui-même concerné.). Pas d’indemnités de chômage spéciales pour le député dont le mandat n’est pas renouvelé, sauf si la parité est assurée pour les péquins

3. Suspension du gaspillage pour la culture : L’auditorium de la Cité de la musique est suspendu jusqu’à la reprise économique, dans le même esprit, diminution de moitié du financement public des partis.

4. Suspension de tous les travaux routiers pendant trois ans.

5. Mise en jachère triennalle par roulement annuel des ministères divers (à l’exception de la santé).

B

1. Travail immédiat sans attendre même la loi, du travail le dimanche, la nuit et les jours de fêtes, ce travail est payé double.

2. Réouverture d’un service national civil volontaire : secteurs prioritaires. Notamment en ce moment la restauration : temps et salaires aménagés. Tout étudiant inscrit au service national civil volontaire reçoit automatiquement une bonification de 5, 10 15 % de ses notes universitaires pour quelque discipiline que ce soit.

3. Aménagement de l’emploi disponible. Tout job payé le double de salaire médian peut être en concertation avec l’Etat et les syndicats divisé en 2 demi-jobs à demi temps compté pour la retraite en annuité pleine.

Ces demi-temps créent une obligation de travail de 35h divisées par 2, plus 3 heures dues pour les éléments cadeaux provenant de l’Etat.

Médisez, médisez, comme le dit la sagesse des nations, il en restera toujours quelque chose, c’est comme ça que le joyeux lobby spadassin UMP malgré ses évidents sabots avait réussi à écarter Ségo de la route de Sarko en 2007.

Un autre a été écarté encore après, on s’en souvient, en la personne de DSK.

La malédiction française traîne depuis un bail, la sanction immanente tarde, tarde. Un énorme iceberg dérive dans l’atlantique en direction de la France, mais on sait qu’il ne remontera pas la Seine jusqu’à Paris.