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Est ce que Tsipras, va faire passer la Grèce, sous les "fourches caudines" de la dictature européenne
par nazairien
Publie le mercredi 8 juillet 2015 par nazairien - Open-Publishing6 commentaires

Après que le peuple Grec se soit prononcer massivement contre le "plan d’austérité
voulu, par la "dictature européenne" et les "faux monnayeurs internationnaux, Tsipras va t il aujourd’hui accepter ce qu’il refusait hier avec le soutien du peuple .
la pression du "Furher" Merkel et de son "Gauleiter" Gouda, ont il eu raison de sa
résistance . Le peuple Grec, un peuple de résistants, va t il céder au "Diktat du
IVème Reich .
Athènes promet des réformes avec le soutien total de Paris
https://fr.finance.yahoo.com/actualites/ath-nes-promet-des-r-162925978.html
PARIS (Reuters) - La Grèce a promis de présenter jeudi au plus tard des propositions de réforme de son économie pour obtenir une nouvelle aide de ses créanciers, avec le soutien de la France qui a promis de "tout faire" pour éviter un "Grexit".
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a plaidé mercredi sa cause devant les députés européens à Strasbourg, au lendemain du sommet de la zone euro qui a décidé de se donner jusqu’à dimanche pour conclure un accord avec la Grèce.
A quatre jours de l’échéance, Alexis Tsipras, fort de sa victoire au référendum par lequel les Grecs ont dit "non" aux exigences formulées par ses partenaires de l’UE, s’est engagé à présenter jeudi les propositions de réformes qui lui sont demandées tout en restant vague sur leur contenu.
"Demain, nous allons soumettre des propositions concrètes pour un accord juste, des propositions de réforme fiables", a-t-il déclaré à l’issue d’un long débat qui a vu le clivage droite-gauche éclater parfois avec une grande virulence. "Nous demandons votre soutien pour changer la Grèce."
"Nous voulons trouver un compromis honorable pour éviter une rupture qui serait une rupture avec la tradition européenne, nous sommes tous conscients des enjeux et nous sommes prêts de notre côté à prendre nos responsabilités historiques."
Il a également demandé un rééchelonnement de la dette grecque jugée insoutenable par le FMI, a-t-il dit, non pour faire peser la charge sur les contribuables européens, mais pour trouver une solution qui sortira l’Europe de son impuissance à régler une crise de l’endettement "qui s’autoalimente".
ATHÈNES PROMET DE REFORMER LES RETRAITES
Parallèlement, la Grèce a envoyé une lettre au Mécanisme européen de stabilité (MES) dans laquelle elle s’engage à réformer dès la semaine prochaine son système de retraites et sa fiscalité pour obtenir de ses partenaires européens un prêt de trois ans couvrant les remboursements de sa dette.
Dans cette missive rendue publique par le gouvernement, Athènes promet aussi d’honorer ses obligations financières.
"Nous avons confiance dans le fait que les Etats membres comprennent l’urgence de notre demande de prêt étant donné la fragilité de notre système bancaire, notre pénurie de liquidités disponibles, nos obligations à venir, notre accumulation d’arriérés sur le plan intérieur et notre volonté affichée d’apurer nos arriérés vis-à-vis du FMI et de la Banque de Grèce", écrit le ministère grec des Finances.
Le président du MES, le ministre des Finances néerlandais Jeroen Dijsselbloem, a demandé au FMI de l’aider à évaluer la soutenabilité de la dette grecque, une des conditions de l’octroi de ce prêt, et à demandé l’avis de la Commission et de la Banque centrale européenne.
A quatre jours de l’échéance, les enjeux sont très élevés, d’autant plus que la plupart des gouvernements européens sont exaspérés par la stratégie d’Alexis Tsipras qui a selon eux convoqué un référendum alors qu’un accord était proche.
"C’est vraiment la toute dernière chance pour la Grèce", a déclaré le président du Conseil européen, Donald Tusk. "Faites-vous aider par vos amis."
Sans accord politique avec la Grèce sur un programme de réformes d’ici dimanche, la Banque centrale européenne (BCE) cessera de soutenir les banques grecques et le chaos menace, a averti le gouverneur de la Banque de France.
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Messages
1. Est ce que Tsipras, va faire passer la Grèce, sous les "fourches caudines" de la dictature européenne, 8 juillet 2015, 22:07
Nazai rien n’a rien inventé. Quand on veut tuer son chien , on dit qu’il a la rage.
En effet poser ce type question , c’est déjà induire la réponse. Je dirai même plus : la réponse est déjà sous entendue dans la question. Dommage !
Vous ecrivez"Athènes promet des réformes avec le soutien total de Paris"
D’où tenez-vous cette information ?
Le grec
2. Est ce que Tsipras, va faire passer la Grèce, sous les "fourches caudines" de la dictature européenne, 9 juillet 2015, 02:21
"Fourches caudines, Furher Merkel, 4ème Reich" Des grands mots qui n’apportent rien aux grands maux de la Grèce. Tsipras n’a pas le choix, il lui faut un accord avec l’Europe. Sinon c’est quoi la solution Nazairien ? L’état grec n’a pas un sou, les banques n’ont plus, en cas de faillite et sortie de l’Euro qui va payer les retraites, les fonctionnaires, les importations de pétrole, etc...? Dans les anti-Tsipras qui peut sérieusement promettre aux grecs que ce sera mieux en dehors de l’Europe ? Qu’il n’y aura pas d’inflation, de dévaluation, d’accroissement de la pauvreté ? Alors Tsipras fera ce qu’il peut mais je souhaite qu’il y ait accord. Et je pense que la majorité du peuple grec aussi. Le "non" est un choix pour des perspectives viables au sein de l’Europe et un arrêt d’une austérité imposée qui étrangle le pays. Ce non ne voulait pas dire plus.
1. Est ce que Tsipras, va faire passer la Grèce, sous les "fourches caudines" de la dictature européenne, 9 juillet 2015, 08:18
je ne partage pas tout ce qui est dit dans cette contribution mis les deux premiers commentaire me laissent pantois tant ils disent tout et son contraire :
le référendum portait bien sur le refus des propositions de la troika , non ? alors comment peut-on dire que TSIPRAS n a pas d’autre choix que de négocier ? le peuple grec a été clair : pas de nouvelles mesures d’austérité si TSIPRAS négocie cela ne doit donc pas être pour accepter de nouvelles mesures d’austérité mais pour alléger celles imposées actuellement , est ce un mensonge que de dire que ce n est ce que TSIPRAS a annoncé devant le parlement européen ?
De plus le peuple grec et TSIPRAS et SYRIZA ne sont pas favorables à une sortie de l’Europe et de l’euro alors pourquoi s inscrire dans cette perspective et tomber dans le scénario catastrophe : si la GRECE ne veut pas sortir de l euro , personne ne peut l ’y contraindre , les traités ne prévoient pas cette possibilité par contre si elle accepte de sortir de l ’euro elle se retrouvera dans la situation de 10 pays de L UE dont la SUEDE LE DANEMARK L ANGLETERRE qui ne s en portent pas plus mal .
LA TSIPRASMANIA dont certains sont affectés leur fait tout accepter y compris de nouvelles concessions à la troika y compris le ridicule chantage à la sortie de l euro qui serait catastophique pour la CRECE
La TROIKA ET TSIPRAS doivent respecter le vote du peuple c ’est actuellement la meilleure façon de sortir de la crise .
C EST EN FORGEANT QUE L ON DEVIENT FORGERON , le peuple grec est progressivement en train d ’appendre qu il ne peut compter que sur lui-même et qu il n a rien à attendre de l europe , il en tirera lui-même les bonnes conclusions
RICHARD PALAO
mber dans le catastrophisme : si la GRECE ne veut pas sortir de l ’euro , aucun pays
2. Est ce que Tsipras, va faire passer la Grèce, sous les "fourches caudines" de la dictature européenne, 9 juillet 2015, 09:12, par nOCTURNE
Pourquoi ce référendum ? si c’est pour accepter aujourd’hui ce que Tsipra
semblait refuser hier .
Ce que semble approuver les deux intervenants, c’est de passer par le bon vouloir
de l’UE et continuer cette politique d’osterité qui met le peuple Grec a genoux.
Alors pour quoi tout ce cirque de " négociation referendum "si c’est pour retourner a la case départ .
Pour ma part je souhaite que le peuple GREC va agir dans la continuité de la dignité
du résultat de son vote ?
3. Est ce que Tsipras, va faire passer la Grèce, sous les "fourches caudines" de la dictature européenne, 9 juillet 2015, 10:26
seule une independance totale du pays peut le sauver
la peur des spéculateurs ? En islande ils ont laché le pays quand l’état a tapé sur les banques et donc sur eux
qui a peur ? , ben les autres pays tiens,car les speculateurs vont y aller pour donner leur 15% par an à leurs clients, espagne portugal italie et france c’est cela la solidarité européenne
4. Est ce que Tsipras, va faire passer la Grèce, sous les "fourches caudines" de la dictature européenne, 9 juillet 2015, 10:47, par Alain Chancogne
Bonjour, cher AMI
Vous avez écrit
OUI ?
C’est original, cette idée de perspective viable quand le CAPITAL SE DOIT, partout(hors et dans l’UE) de ramener les sociétés à la barbarie, pour cause de CRISE SYSTEMIQUE (oui, je rabache , mais c’est cela le FOND du "conflit"inter UE) !!
Pour reprendre l’image du poulailler, je vousréponds
"Le choix d’un accord poules -renards c’est de vivre enfin mieux dans un poulailler de pesrpective viable..."
Vous ajoutez
Je dirais plutôt qu’l est face à un choix
Sans avoir comme un autre homme de gauche, Salvador ALLENDE, à mourir la mitrailletteà la main au nom de la dignité de son peuple,{{}} Tsipras soit se couche, soit en appelle aux MASSES et à la solidarité de classe internationale
FIDEL, en 1959, pas négocié avec les ETATS UNIS...le nombre de bordels à fermer à CUBA pour en faire des écoles, contre une poignée de dollars, ni pour savoir comment on rembourserait la UNITED FRUIT
NASSER ne s’est pas rendu à Londres pour voir comment revenir sur la nationalisation du Canal de Suez
Il y a toujours un choix, sauf quand tu vas , à l’heure choisie par le Destin, quitter ce monde pour engraisser les vers..
Voyez vous, , et de façon volontairement grossière je pense (et je ne suis pas homophobe) que si on monte à poil dans le lit du CAPITAL, que le preservatif de l’hôte soit en fil de fer barbelé, ou d’abord en simple laine de verre, le cul de l’imprudent (ou du complice de sexualité consentie) n’en sort pas indemne..
On a toujours le choix de ne pas monter dans le pieu !
Tillon en juillet 40 y compris nos camarades communistes ou non des années noires ont entendu longtemps autour d’eux" On n’ a pas le choix, c’est à genoux vivant ou allongé sous les balles , l’alternative"
NOUS VIVONS parce que les "nôtres" ont fait le CHOIX de la RESISTANCE
A Tsipras de décider s’il restera dans l’Histoire pour un digne combattant du bonheur ou pour celui qui acceptera le deshonneur de s’agenouiller..
Je ne suis pas grec , je ne le "jugerai pas" !
Mais qu’on ne me raconte pas des histoires sur un pauvre dirigeant sans autre possibilité que de respecter les lois de ceux qui ne respectent pas la volonté des"gens" de ne plus supporter qu’on les piétine au nom du PROFIT-ROI..
Mais, rassurez vous, je ne confonds pas les sociaux démocrates comme vous et l’adversaire de classe.
.Vous n’êtes qu’une victime collatérale de la lutte idéologique que nous perdons, faute de PARTI révolutionnaire..
Nous sommes TOUS coresponsables de votre défaitisme
Cordialement
Alain