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Federica Montseny, l’indomptable
par phil
Publie le lundi 18 juillet 2016 par phil - Open-Publishing5 commentaires
http://www.france3.fr/emission/federica-montseny-lindomptable
Lundi 18 Juillet 23h10
Documentaire Durée : 55min Tous publics / 16:9 / stereo
Ecrivain et anarchiste, Federica Montseny est, en 1936, la première femme à occuper un poste de ministre en Espagne. En charge de la santé et de la sécurité sociale, elle tente d’améliorer la situation des femmes seules, des enfants et milite pour une éducation laïque pour tous. Elle est aussi à l’initiative de la première loi en faveur de l’avortement. En 1939, la chute de la République espagnole la pousse à l’exil. Arrêtée par la police de Vichy, elle est placée en liberté surveillée pendant toute la guerre. Elle se fixe alors à Toulouse où elle poursuit son travail, convaincue que la culture peut changer le monde.

Messages
1. Federica Montseny, l’indomptable, 18 juillet 2016, 10:35
Toujours à des heures impossibles ! La bourgeoisie voudrait qu’on ne s’informe pas de notre histoire, elle ne s’y prendrait pas autrement ...
Vivement que ça change, vive le communisme !!!
1. Federica Montseny, l’indomptable, 18 juillet 2016, 11:29
Si tu préfère :
Rediffusion le Vendredi 29 Juillet à ................. 02h50 !!!
2. Federica Montseny, l’indomptable, 18 juillet 2016, 15:05
On doit pouvoir le voir en replay...
3. Federica Montseny, l’indomptable, 18 juillet 2016, 23:08, par Durruti
Et l’ Anarchisme et le communisme libertaire concernant Federica ...
4. Federica Montseny, l’indomptable, 19 juillet 2016, 12:55, par Salvador
Le circonstantialisme d’hier se nourrit de l’hagioraphie anarchiste d’aujourd’hui.
Le peu de sens critique et historique de ce documentaire est à pleurer.
Qu’une politicienne new-look s’autojustifie par l’affichage de la photo d’une ministre anarchiste méconnue, oubliée et largement contestée pour son maintien, contre vents et marées, à la tête d’une organisation en exil de plus en plus déconnectée de la réalité, n’est ici pas surprenant.
Ce qui reste du bref été de l’anarchisme en Espagne, ne doit certainement pas aux pauvres marionnettes que furent les ministres anarchistes, jouets de bien plus roublards qu’eux-mêmes, mais le doit aux travailleurs et travailleuses, qui sans consignes confédérales (CNT) s’organisèrent à la base pour faire vivre, le temps qu’ils le purent, cette révolution pour laquelle ils et elles luttaient depuis de nombreuses années déjà.
Si l’histoire critique de la révolution espagnole se construit, ce n’est certainement pas au travers d’une mythification d’icônes contestables.