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Georges Abdallah - Solidarité

par [Tien/1

Publie le jeudi 4 avril 2013 par [Tien/1 - Open-Publishing
1 commentaire

Selon la presse libanaise, la cour de cassation a annulé la décision de la libération de Georges Abdallah.

La réponse en solidarité avec Georges Abdllah a été immédiate au Liban.

Les site du ministére de l’information libanais indique
"Les forces de sécurité bloquent la route devant l’ambassade de France
Jeudi 04 Avril 2013 à 19:39
Le correspondant de l’ANI a signalé que les forces de sécurité ont bloqué, jeudi, la route du musée, devant l’ambassade de France, afin de prévenir toute altercation entre les partisans de la campagne pour la libération de Georges Abdallah, lesquels organisent un mouvement de protestation sur les lieux, devant l’ambassade, et les vigiles de l’ambassade. "

Messages

  • http://liberonsgeorges.over-blog.com/article-la-liberte-de-georges-abdallah-jugee-irrecevable-116823968.html

    LA LIBERTÉ DE GEORGES ABDALLAH JUGÉE IRRECEVABLE !

    La Cour de cassation réunie ce jeudi 4 avril a rendu sa décision.

    Elle "casse et annule l’arrêt de la chambre de l’application des peines de la cour d’appel de Paris en date du 10 janvier 2013."

    Elle "déclare irrecevable la demande de libération conditionnelle présentée par M. Georges Ibrahim Abdallah."

    Il n’y a pas lieu à renvoi, "la Cour de cassation étant en mesure d’appliquer directement la règle de droit et de mettre fin au litige."

    Les motifs invoqués se réfèrent à l’article 729-2 du code de procédure pénale.

    Les conditions fixées, soit l’arrêté d’expulsion non fourni, n’étant pas remplies, il en résulte que la libération conditionnelle d’un étranger condamné qui n’est pas l’objet d’une mesure d’éloignement du territoire, doit répondre aux conditions de forme et de fond de droit commun, applicable à tout condamné selon l’article 730-2.

    Georges Abdallah est emprisonné en France depuis 28 ans et six mois. La période de sûreté assortie à sa condamnation a expiré le le 27 octobre 1999. Depuis, toutes les demandes de libération ont été refusées...

    Depuis le 17 janvier 2012, date à laquelle Georges Abdallah a déposé une demande de libération conditionnelle, notre camarade a subi toute une comédie judiciaire allant d’une évaluation de sa dangerosité pendant six semaines à Fresnes, passant par des audiences, deux appels, quatre ajournements et un pourvoi en cassation, pour finalement se voir refuser sa demande de libération.

    Que la justice soit indépendante ou pas, à travers le refus de M. Valls de signer l’avis d’expulsion nécessaire, la complicité impérialiste et sioniste du gouvernement français avec les États-unis et Israël fermement opposés à cette libération, sont bien les motifs politiques réels qui viennent d’entériner le maintien en prison de notre camarade. Et dans ce cadre, les nombreuses démarches diplomatiques du gouvernement libanais se sont révélées scandaleusement vaines, à la hauteur du mépris d’un état français ex-mandataire.

    Les tentatives vengeresses d’humiliation sur Georges Abdallah et sa famille n’entameront pas leur résistance militante et leur détermination à exiger d’être enfin réunis.

    Nous les soutiendrons jusqu’au bout !

    LA LUTTE CONTINUE
     !

    Rappel

    Pour ceux des amis qui n’auraient pas en mémoire qui est Abdallah ,ses camarades qui animent les initiatives de SOLIDARITE regroupés dans ce blog, rappelent la vie de Georges Ibrahim

    http://sd-g1.archive-host.com/membres/up/29b72e7b8387d2014690b4aea20c293508c66477/Blog/Qui_est_Georges_Ibrahim_Abdallah.pdf

    Ci après la lettre que M.VALLS a reçu..

    Manifestement le Ministre a du oublieé de l’ouvrir, ou alors est elle sous quelque dossier fourni par laDCRI sur les fraudes fiscales de tel ou tel ministre..

    Paris, le 26 février 2013

    Mon­sieur Manuel Valls Ministre de l’Intérieur

    Place Beauvau

    75800 Paris Cedex 08

    Monsieur le Ministre,

    Georges Ibrahim Abdallah, qui a passé vingt-​​huit ans et quatre mois dans les prisons fran­çaises, a obtenu en novembre un avis favo­rable à sa libé­ration, sous réserve d’un d’arrêté d’expulsion.

    Celui-​​ci n’ayant tou­jours pas été émis, on est aujourd’hui dans un imbroglio juridico-​​administratif qui bloque cette libération.

    Je dois, Mon­sieur le Ministre, vous mettre en garde solen­nel­lement. L’absence d’un arrêté d’expulsion équivaut à une décision d’enfermement indé­fi­niment pro­longé d’un homme victime d’un achar­nement poli­tique de longue date.

    Le gou­ver­nement de la Répu­blique ne se gran­dirait pas en cher­chant à esquiver ses res­pon­sa­bi­lités dans ce dossier.

    Je vous demande de répondre à la demande du Premier Ministre libanais et de per­mettre à Georges Ibrahim Abdallah de retrouver son pays.

    S’y refuser serait, une nou­velle fois, céder à des pres­sions étran­gères qui, pour être clai­rement reven­di­quées, n’en sont que plus inacceptables.

    En prenant cet arrêté d’expulsion vous mettrez au contraire un terme à une affaire où les mani­pu­la­tions ont abouti à un enfer­mement d’une durée inhu­maine et vous affir­merez que la France, res­pec­tueuse du droit, est aussi maî­tresse de sa politique.

    Dans cette attente, soyez assuré, Mon­sieur le Ministre, de mes salu­ta­tions distinguées.

    Jean Claude Lefort

    Président de l’AFPS

    Député honoraire


    ISRAEL-USA- HOLLANDE complices !

    A.C