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Israël-Palestine : L’impunité pousse au crime : l’égalité ou rien

Publie le mercredi 13 juin 2007 par Open-Publishing
4 commentaires

Le chantage à l’antisémitisme qui vise à discréditer toute critique de l’Etat d’Israël et de l’idéologie sioniste, en l’assimilant de manière systématique à une forme renouvelée de racisme anti-juif et de haine antisémite, aboutit dans les faits à un racisme inversé et à un perpétuation malsaine de la "question juive". Tout comme l’antisémitisme qui voit dans "les juifs" une espèce à part, située en-dessous de toutes les autres, moins égale que les autres, le chantage à l’antisémitisme en fait lui aussi une catégorie à part, mais cette fois-ci située au-dessus de toute critique, plus égale que les autres. Les deux idéologies ont également pour caractéristique commune une vision unitaire et globalisante des "Juifs" comme bloc massif, homogène, où l’individu n’existe pas mais est le représentant des son espèce, et où ses actes l’engagent non seulement lui mais toute sa "race" ou sa "communauté" : tous les actes négatifs, les forfaits, les crimes imputables à un individu sont attribuées à l’"espèce" à laquelle "appartient" l’individu, et non au seul individu. D’où mise en avant par l’antisémite des crimes, réels ou imaginaires, de certains juifs comme "preuve" du caractère foncièrement pervers des juifs en général, et la mise sous le boisseau, pour la même raison des crimes, bien souvent réels, commis par certains juifs, au motif que toute dénonciation de ceux-ci viserait en fait l’ensemble des juifs et relèverait ainsi de l’antisémitisme ...

"Les" juifs ne sont ni plus ni moins égaux que les autres, ils sont égaux, tout simplement. Les mécanismes pervers de l’antisémitisme et du chantage à l’antisémitisme aboutissent à la destruction effective de cette égalité et paralysent toute solution intelligente et juste au conflit israélo-palestinien : ils sont non seulement pervers mais directement criminels. A preuve cette affaire sinistre évoquée par Europalestine, et qui illustre parfaitement un article de Michel Warschawski publiée il y a quelques années et que nous reproduisons après celui de Europalestine. Il y a là comme un symbole tragique des destinées du sionisme, né dans l’espoir de mettre fin à une discrimination séculaire, et qui n’a abouti qu’à reconduire et à déplacer l’oppression.

LA MEME EXTREME-DROITE JUIVE POIGNARDE A PARIS ET A JERUSALEM

Certains se souviennent sans doute du commissaire de police français poignardé le 7 avril 2002 par un extrêmiste juif à Paris, à l’occasion d’une manifestation où des nervis du Betar et de la Ligue de Défense Juive se livraient à une "ratonnade". C’est apparamment la même personne, en faveur de laquelle le lobby pro-israélien était intervenu pour "enterrer" l’affaire, qui a tué le chauffeur de taxi palestinien de Jérusalem le 14 mai dernier.

On apprend en effet de source policière, que l’auteur franco-israélien du crime raciste qui a eu lieu il y a moins d’un mois à Tel-Aviv, où un père de famille palestinien de 35 ans, a été tué de 24 coups de couteau par pure haine des Arabes, et celui qui avait très grièvement blessé à l’abdomen un commissaire de police qui était resté longtemps en soins intenifs à l’hôpital Saint-Antoine, serait le même homme, longtemps protégé, avec l’accord des pouvoirs publics français.

L’homme avait de toute évidence été identifié par la police lors des faits, il y a 5 ans. Mais "pour ne pas risquer de provoquer des sentiments d’antisémitisme en France", nous avaient expliqué officieusement des policiers indignés, l’affaire avait été étouffée. Des pressions avaient notamment été exercées sur le policier pour qu’il retire sa plainte.

On apprend aujourd’hui qu’une telle impunité à fait perdre la vie à un innocent.

Entretemps, se sentant protégés, ses compagnons de l’extrême-droite juive, se sont livré à de multiples agressions en France où le gouvernement a constamment refusé d’interdire leurs organisations armées, le BETAR et la Ligue de Défense Juive, bien connues des services de police pour leur dangerosité, mais intouchables.

Ces mêmes nervis, armés, casqués, entraînés sur le sol français, assurent le "service d’ordre" d’organisations comme le CRIF ou la tenue des galas au profit de l’armée israélienne en France, quand ils ne vont pas manifester avec l’autorisation du gouvernement sous les fenêtres de la Délégation Générale de la Palestine (le 7 Octobre 2003).

Ils ont blessé de nombreux militants de la cause palestinienne, attaqué des librairies, des réunions.

Combien de temps le gouvernement compte-t-il assurer l’impunité à ces terroristes en France ?

CAPJPO-EuroPalestine

Article du Nouvel OBS du 12/6/07

Julien Soufir, un Franco-Israélien inculpé en Israël pour le meurtre d’un chauffeur de taxi palestinien le lundi 14 mai, pourrait être l’auteur d’une tentative d’homicide volontaire sur un commissaire de police parisien en 2002, a-t-on appris lundi 11 juin de source proche de l’enquête française. En avril 2002, un jeune commissaire de police en service alors à la Direction de l’ordre public avait été très gravement blessé à coups de couteau à l’abdomen alors qu’il tentait de s’interposer avec d’autres policiers entre des manifestants pro-israéliens et un groupe de Maghrébins lors d’une manifestation de soutien à Israël. L’agresseur avait échappé aux recherches policières et le bruit circulait alors qu’il s’agissait d’un jeune extrémiste juif qui avait été rapidement "exfiltré" en Israël, pour être mis à l’abri des poursuites. L’agression et la fuite du coupable présumé avaient provoqué des remous parmi les policiers. La 2eme division de police judiciaire qui enquêtait sur cette agression depuis 2002 a indiqué la semaine dernière qu’elle avait identifié Julien Soufir comme "pouvant en être l’auteur" dans des conditions qui, selon l’AFP n’ont pas été révélées.

Meurtre raciste

Le Tribunal de district de Tel-Aviv a inculpé le 28 mai Julien Soufir, du meurtre d’un chauffeur de taxi palestinien perpétré le 14 mai, avait-t-on appris de source judiciaire israélienne. Accusé de "crime haineux", le prévenu, qui avait été écroué peu après son arrestation, est présumé avoir frappé de 24 coups de couteau au cou sa victime, Tayssir Kariki, 35 ans, selon les chefs d’accusation.

"Je n’ai rien ressenti (...) C’était comme abattre un animal", avait déclaré aux enquêteurs israéliens Julien Soufir, 25 ans, qui a reconnu s’être rendu à Jérusalem pour trouver un chauffeur de taxi palestinien dans l’intention "de tuer un Arabe parce qu’il était arabe". L’affaire a donné lieu à de nombreux articles dans la presse israélienne. Dans Haaretz, du 16 mai, deux jours après le crime, un éditorial de Goel Pinto, avait même suggéré aux "responsables de la communauté juive de France de se rendre à la Grande Mosquée de Paris et de demander pardon pour ce meurtre. Et pardon aussi pour la racisme anti-musulman qui est enraciné dans leur communauté et qui est l’une des causes principales de la déterioration des ralations entre les Juifs et les Musulmans en France"

Nouvel Obs Com 12/6/07

publié le mardi 12 juin 2007

Article imprimé à partir du site de
l’Association CAPJPO-EuroPalestine ; : http://www.europalestine.com

http://www.humanite.fr/journal/2003-01-22/2003-01-22-256870

L’impunité pousse au crime par Michel Warschawski (*)

Une des raisons principales du mal-être de l’État d’Israël est sans aucun doute le statut d’impunité dont il jouit, ou plutôt dont il souffre. Tel un enfant qui est conscient de commettre des bêtises de plus en plus graves et que personne ne rappelle a l’ordre, Israël est en manque de limites, et se sent entraîné dans le cercle infernal de la répression - représailles - répression et l’escalade de violence produite par 35 ans d’occupation.

L’application de sanctions contre un État qui bafoue le droit et viole les résolutions de l’ONU n’est pas seulement un acte de justice envers ses victimes. C’est aussi un moyen de lui imposer des limites et rappeler la différence entre le bien et mal, pour parler comme George W Bush, entre la loi et ce qui est hors la loi.

C’est ce qu’a compris le Parlement européen quand il votait, à une très large majorité et toutes tendances confondues, le projet, soumis par le groupe parlementaire de la Gauche unitaire européenne, de suspension de l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël. Cette résolution ne doit pas être comprise uniquement comme l’application stricte de l’accord qui stipule le respect des droits de la personne par les bénéficiaires de cette coopération, mais comme un rappel à un principe élémentaire : il n’y a pas de droits sans devoirs, il n’y a pas de privilèges pour qui se situe hors la loi. Des dizaines de résolutions du Parlement européen sont systématiquement violées par l’État d’Israël, de nombreuses demandes de l’Union européenne sont cyniquement ignorées par son gouvernement : pourquoi l’Europe devrait alors continuer à donner un statut commercial privilégié à qui ne cesse de répéter que seuls les États-Unis comptent dans l’arène internationale ?

L’exécutif européen reste, dans le mécanisme consensuel qui le régit pour l’instant, l’otage d’une minorité de pays qui refusent toute forme de pression sur l’État d’Israël. C’est donc au tour des États membres de prendre leurs responsabilités, et de traduire par des actes forts et responsables leurs propres déclarations de principe, ainsi d’ailleurs que le vote du Parlement. Et si les États tergiversent, c’est aux citoyens de jouer, comme l’ont montré les enseignants de l’université Paris-VI. Ce faisant, ils n’appliquent pas seulement la décision démocratique des élus européens, mais font preuve d’un engagement citoyen et de responsabilité envers tous les protagonistes du conflit qui déchire le Moyen-Orient. Il faut le dire et le répéter : des sanctions contre Israël ne sont pas un acte hostile envers le peuple israélien, mais au contraire, l’expression d’un sens de la responsabilité envers un État qui devient victime de sa puissance. Et de son impunité.

Il y a évidemment ceux qui croient aider le peuple israélien en défendant inconditionnellement tous ces méfaits, et dénoncent violemment tous ceux qui croient juste de dire non aux crimes commis par l’État hébreu, voire d’exiger que ceux-ci soient sanctionnés. À ceux-la on ne peut répliquer qu’en dénonçant à la fois leur manque de boussole morale et leur irresponsabilité face a l’avenir de la petite minorité juive dans le Proche-Orient arabe.

Mais il y a aussi ceux qui, tout en ne taisant pas leur critique de l’occupation et de la colonisation israéliennes et des crimes commis par l’armée coloniale, dénoncent les sanctions, et plus particulièrement celles prises dans le domaine de la recherche scientifique et de la coopération inter-universitaire. Quatre arguments étayent leur critique :

Premièrement, ils dénoncent le " boycott des universitaires israéliens ", alors que les motions discutées dans de nombreuses universités d’Europe et d’Amérique du Nord ne parlent pas de boycott, mais de suspension d’accords qui donnaient des privilèges aux institutions de recherche israéliennes. Ces motions demandent de mettre fin à ces privilèges, tant que l’État d’Israël continue a violer les résolutions de l’ONU et les conventions internationales telles que la quatrième convention de Genève.

Deuxièmement : pourquoi seulement Israël ? N’est-ce pas le signe d’un antisémitisme plus ou moins conscient ? Cette accusation est évidemment fausse : l’Afrique du Sud a été l’objet de sanctions, voire d’un boycott, y compris dans les domaines sportifs et universitaires, la Grèce des colonels a subi des sanctions populaires, de même que l’Espagne franquiste. De même, des mesures ont été prises, dans certaines universités américaines au moins, contre la Russie, pour dénoncer la répression anti-tchétchène.

Troisièmement : pourquoi sanctionner les universités qui sont à l’avant-poste du combat pour la paix et les droits des Palestiniens ? Cette critique est révélatrice des préjugés de ceux qui la soulèvent : aucun fait ne confirme cette affirmation, car les universités ont, malheureusement, été totalement silencieuses sur la violation des droits de la personne dans les territoires occupés, et les attaques systématiques contre le droit d’étudier et contre les institutions scolaires. Ce qu’une telle contrevérité révèle en fait c’est le racisme de ceux qui la défendent : c’est le peuple qui est raciste, qui viole les droits de l’homme ; les intellectuels eux seraient, par définition, la conscience critique d’Israël, et nul n’a besoin de preuves matérielles pour étayer cette affirmation.

Quatrièmement : des sanctions porteraient atteinte à la coopération universitaire israélo-palestinienne. Autre contrevérité : non seulement la coopération (très limitée) entre universités israéliennes et palestiniennes a totalement cessé dès l’an 2000, et sans qu’aucun institut israélien n’ait fait quoi que ce soit pour permettre la reprise d’une telle coopération, et ce au moment ou les institutions scolaires et universitaires palestiniennes étaient attaquées comme " bases du terrorisme ", mais, ce qui est encore plus grave, aucune initiative, aucune motion, aucun appel n’ont émané des universités israéliennes pour dénoncer les obstacles immenses que l’armée d’occupation place devant l’activité scolaire palestinienne, du jardin d’enfant à l’université.

Parmi ceux qui, en Israël, se battent contre la violation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés, y compris contre les atteintes systématiques au droit à l’éducation, il y a de nombreux universitaires. Non seulement, ils ne parlent pas au nom des institutions dans lesquelles ils travaillent, mais sont menacés de sanctions et d’exclusion, comme l’a montré l’affaire Ilan Pappe, l’été dernier. Et ils soutiennent les sanctions exigées par leurs collègues européens, pour le bien, y compris, de leurs propres universités.

Si tous ceux qui dénoncent en France la prise de sanctions contre les institutions israéliennes s’étaient mobilisés pour défendre le droit inconditionnel des Palestiniens à l’éducation, et avaient exercé une pression efficace en ce sens, il est vraisemblable qu’il n’aurait pas été nécessaire de prendre une mesure aussi controversée.

Contrairement a ce que voudraient nous faire croire Claude Lanzman, Alain Finkielkraut et autres, le débat n’est pas entre boycott et soutien à la coopération scientifique israélo-palestinienne, mais entre défense du droit à l’éducation pour tous et l’impunité pour les criminels et leurs complices.

(*) Journaliste israélien, cofondateur du Comité de solidarité avec l’université de Bir Zeit. Dernier ouvrage paru : Sur la frontière, Stock, 2002, 308 pages, 20 euros.

Messages

  • Le chantage à l’antisémitisme qui a rendu possible le meurtre du chauffeur palestinien va encore se renforcer, notamment législativement, du fait de la nouvelle majorité.

    http://www.upjf.org/actualitees-upjf/article-12805-143-7-charte-upjf-elections-legislatives-2007-signataires.html#

    LA CHARTE UPJF « ELECTIONS 2007 »

    L’UPJF appelle tous ses adhérents et sympathisants à apporter leur soutien aux candidats aux différentes échéances électorales, qui auront approuvé sa Charte.

    I - FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS

    Le candidat encouragera le vote d’une Loi concernant le non cumul des mandats afin d’éviter, d’une part, le blocage des réformes par des intérêts locaux divergents de ceux de la Nation et, d’autre part, de permettre aux députés de se consacrer à leur rôle, à savoir le vote des lois et le contrôle du Gouvernement.

    II - POLITIQUE ECONOMIQUE

    Le candidat incitera le Gouvernement et oeuvrera à l’instauration de mesures visant à :

    · faciliter la création d’entreprises, facteur de croissance ;

    · favoriser les financements de projets créateurs d’emplois ;

    · assouplir le droit du travail pour que l’embauche ne soit pas une contrainte ;

    · diminuer les charges sociales des entreprises et des professions libérales ;

    · moderniser les formations universitaires et professionnelles pour les mettre en adéquation avec le marché du travail.

    III - POLITIQUE SOCIALE

    Le candidat incitera à et recommandera de prendre toutes mesures visant à réduire rapidement et durablement les déficits publics.

    IV - INSECURITE

    Le candidat oeuvrera au rétablissement de l’ordre républicain sur la totalité du territoire national. Il se mobilisera pour faire disparaître toutes les zones de non-droit.

    V – INTEGRATION

    Le candidat s’engage à ne pas tolérer, à stopper et à sanctionner toute dérive islamiste en France, notamment : les agressions de médecins dans les hôpitaux publics, l’existence de piscines municipales séparées, ou les manifestations haineuses contre l’Occident, etc.

    Il combattra toute attaque contre la loi sur la laïcité : ciment de notre société.

    VI – ANTISEMITISME

    Le candidat s’engage à mettre tout en œuvre pour lutter contre l’antisémitisme et, notamment, sa nouvelle forme : l’antisionisme.

    VII – POLITIQUE ETRANGERE DE LA FRANCE

    S’il est élu, le candidat oeuvrera pour redonner à la France un rôle international de premier plan, notamment :

    · En empêchant, par tous les moyens, l’Iran de devenir une puissance nucléaire.

    · En soutenant les démocraties amies dans la lutte contre le terrorisme islamiste.

    · En rééquilibrant la politique de la France au Proche-orient, afin de lui redonner sa crédibilité.

    · En prenant des mesures immédiates afin qu’Israël devienne enfin membre à part entière de la Francophonie.

    Cette Charte pourra être complétée et amendée en fonction des événements de la vie politique et économique.

    Elections législatives : 27 candidats signataires de la Charte de l’UPJF

    Dans le cadre des élections législatives, l’UPJF a élaboré une Charte, qui a été envoyée à tous les candidats. L’UPJF appelle tous ses adhérents et sympathisants à soutenir les candidats qui ont approuvé la totalité de cette Charte.

    A ce jour, il s’agit de :

    1. Marc Bernier : député UMP de la Mayenne.
    2. Denis Jacquat : député UMP de la Moselle.
    3. Claude Goasguen : député UMP de Paris.
    4. Nicole Guedj, candidate UMP dans la 11ème circonscription de Paris
    5. Lilian Zanchi : député PS du Rhône.
    6. Jérôme Rivière : député UMP des Alpes-Maritimes.
    7. Patrick Beaudouin : député UMP du Val-de-Marne.
    8. Richard Cazenave : député UMP de l’Isère.
    9. Six Emmanuel Njoh, candidat UMP dans la 9ème circonscription du Val de Marne.
    10. Michel Charzat, député PS de Paris
    11. Jean-Paul Garraud, député UMP de la Gironde
    12. Marie-Jo Zimmermann, députée UMP de la Moselle
    13. Lynda Asmani, candidate UMP dans la 5ème circonscription de Paris (10ème)
    14. Jean Claude Beaujour, Candidat UMP dans la 6ème circonscription de Paris (11ème et 20ème)
    15. Jean Pierre Le Ridant, Candidat UMP dans la 1ère circonscription de Loire Atlantique
    16. Claude Fain, Candidat sur la liste Claude Fain dans la 15ème circonscription de Paris
    17. Mardoché Sebbagh, Candidat DLR dans la 7ème circonscription du Val d’Oise.
    18. Bernard Depierre, Député UMP dans la 1ère circonscription de la Cote d’or
    19. Guy Teissier, Député UMP Bouches du Rhône
    20. Gilbert Meyer, Député UMP du Haut Rhin
    21. Michel Diefenbacher, Député UMP du Lot et Garonne
    22. Lucien Degauchy, Député UMP de l’Oise
    23. Alain Ferry, Député UMP du Bas Rhin
    24. Jean Claude Sandrier Député UMP du Cher
    25. André Santini, Député UMP des Hauts de Seine
    26. Bernard Debré, Député UMP de Paris
    27. Valérie Sachs, candidate du MoDem dans la 15ème circonscription de Paris

    La liste des signataires sera mise à jour dans nos prochaines éditions, en mentionnant notamment les candidats ayant approuvé la Charte avec des réserves.

    © upjf.org

    Mis en ligne le 8 juin 2007, par M. Macina, sur le site upjf.org

  • Nous sommes le mercredi 13 juin et il me semble qu’il se passe quelque chose de très particulier sur la bande de Gaza : c’est la guerre civile. Je m’interroge donc de la pertinence de l’article en ce jour.

    • Drôle de coïncidence en effet : la rédaction du nouvel Obs comme les services de police qui sont à l’origine de l’info sont sans doute remplis à ras bord d’antisémites viscéraux. Décidément ceux-ci sont vraiment partout et ils ourdissent le monde de leurs noirs complots.

      Une image qui dérange : complot antisémite, les photographes sont tous antisémites. Ils retouchent leurs photos afin de faire passer les monstres palestiniens pour des victimes et les pauvres petits soldats israéliens pour des gros méchants. Une info qui ne plaît pas au Crif : complot antisémite ! Les journalistes sont tous des antisémites. Un reportage pas dans la ligne : complot antisémite ! Les caméramen sont tous antisémites, c’est connu, et leurs caméras aussi, bien sûr. Une manifestation contre l’occupation : complot antisémite ! Les progressistes, les gauchistes sont tous antisémites, les maghrébins aussi. Des Palestiniens qui n’acceptent pas leur sort : complot antisémite ! Les Palestiniens sont tous antisémites, et ce dès la naissance : c’est dans leur gênes, comme qui dirait, à tout le moins c’est dans leur culture, dans leur livre religieux. Le Coran est frère de Mein Kampf, alors que la Bible, c’est bien connu, est un livre de tolérance et d’amour sans aucune trace de fanatisme ou de violence. C’est le grand, l’immense philosophe Robert Redeker, ce Jean Moulin de la pensée, qui l’a dit.

    • on parle toujours de la 2° guerre mondiale, mais israel la guerre depuis 1948 bientot 60 ans ! salut j f dieux (je suis contre toutes les religions par idees politiques, mais bien sur chacun a le droit de faire son culte.)