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L’Etat algérien proche de la nationalisation d’ArcelorMittal Annaba

Publie le jeudi 11 avril 2013 par Open-Publishing
3 commentaires

"Le rachat par l’État algérien du complexe sidérurgique d’El Hadjar se précise. Un pré‑accord a été signé mardi entre le ministère de l’Industrie et ArcelorMittal Annaba pour l’augmentation de la production à 2,5 millions de tonnes d’acier par an pour un investissement d’un milliard de dollars..."

La suite :
http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/50-l-etat-algerien-proche-de-la-nationalisation-d-arcelormittal-annaba

Messages

  • bon, depuis qu’il a été ministre des affaires étrangères de bouhmédienne en 1974 on voit souvent boutlefica( monsieur 2%) aux bord du lac léman, c’est vrai que maintenant c’est juste pour se faire soigner (les cliniques et hopitaux algériens ont connait.....)

  • Euh... c’est pour passer de 30 à 51% des parts (en laissant les 49% à Mittal) en indemnisant grassement.

    De quoi s’agit-il ?

    Ce complexe sidérurgique avait été privatisé en 2001. Ils ont tiré sur la bête sans investir.
    La situation du complexe est désastreuse, pollution terrible, écroulement de la production.
    L’état intervient donc pour que ces investissements indispensables se fassent, et Mittal pourra continuer avec ses 49% (+ l’indemnisation de ses 21% rachetés par l’état) de goinfre dans le fromage.

    Et après le groupe sera refilé à nos miteux de Mittal (si l’état a mis assez de blés dans les investissements pour que cela soit à nouveau rentable).

    Ce sont des nationalisations un peu comme celles de 1981 en France qui permirent de faire des investissements de la poche du peuple avant de refiler ensuite tout cela à des boites privées (Usinor puis Arcelor, puis mittal...).

    La situation était la même d’entreprises privées qui avaient saigné et goinfré sur leurs entreprises sans investir pour se faire nationaliser en étant indemnisé grassement, quelques années avant d’être refiler aux usinor and co.

    C’est une rationalisation de l’appareil industriel afin de le rendre plus productif au service de la bourgeoisie.