La calamiteuse catastrophe très appuyée du déplorable Bartolone (zaz)

La calamiteuse catastrophe très appuyée du déplorable Bartolone (zaz)

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A

Introd sidérée

Nous sommes dans une société où n’importe qui peut en théorie parler

ce serait bien si ça restait comme tous les droits pour péquins purement théorique, mais la presse vide d’à peu près tout en idée ne rate pas tu penses la valorisation des petites occases qui se présentent depuis les bafouilleuses sommités là-haut jusqu’au niveau des pieds nickelés, ou inversement ou le plus souvent les deux à la fois.

La société française ne dispose d’aucun antivirus valable, kasperski, norton ou autre pour réguler au propre toute cette sous-activité intello miséreuse que l’on appelle en gros la presse.

Donc v’la qu’arrive Bartolone à qui personne parmi nous n’a strictement, of course, rien demandé (il est déjà beau pour lui d’ailleurs qu’on en connaisse vaguement le nom), mais ça ne fait rien, Bartolone est président de l’Assemblée donc il paraît que c’est réellement quelque chose qui mérite l’intérêt, nous n’y avions pour notre part jamais songé pensant que c’était stérilement réservé aux députés et journalistes.

Donc Bartolone va commencer de son plein droit comme un Cid campeador à "merdoyer des choses sur Cahuzac dont nous n’avons au fond perso rien à tellement sucrer : Et que cahuzac devrait démissionner, et puis ensuite qu’il a bien fait de renoncer à son mandat de député, etc. ; etc.. Non mais Barto a-t-on besoin d’un président de l’Assemblée, si ça consiste en quelque chose, pour exprimer des pensées aussi poussées et travaillées ?.

Donc Barto tout ancien député qu’il soit et tout chef des députés qu’il soit devenu, Barto pense. C’est une joie ! jusque là tout va bien, mais bon voila qu’arrive la "transparence" de François et Barto continue dans son haut niveau à penser librement indépendamment des choses impérissables. Dans sa lecture qu’il fait de la réalité il expose diverses considérations elles-mêmes reconsidérées par les jeunes journalistes de service.

B

A ce stade quelques principes préalables à préciser :

Il y a plusieurs niveaux dans le raisonnement de tout le monde comme dans celui de Bartolone et comme dans le nôtre à l’Ocséna.

Ces niveaux sont, on va en oublier, le phatique, le pathos, le politique, le stratégique et le métaphysique.

– Au niveau phatique, Barto a comme tout un chacun un besoin irrépressible de s’exprimer qui ne sert la plupart du temps à rien, mais qui dans quelques cas assure un peu votre position et un rien de votre pognon : député tout le monde ne l’est pas et ce n’est pas dégueu en soi de l’être pourtant : il faut du talent un peu vicieux pour pouvoir y arriver sinon tu penses à 13500 euros mensu, sans cela, tout le monde le serait.

– Au niveau pathos, faisons ici une insertion : malgré notre charge contre Barto, nous sommes quasi assurés les yeux fermés que Barto dans la normale, avec son chien, à la maison, est un type absolument charmant, capable de secourir sa voisine dans la détresse pour lui monter ses commissions au quatrième sans ascenseur.

– Au niveau politique. Là c’est plus compliqué. Que cherche Barto ? Un canard stérile comme tous les canards le pensait en route pour piquer la place de Ayrault. Comme on va voir il s’y prend d’une étrange manière, la même journaliste ou le même journaliste imberbe voyait Barto partir pour premier consul, Gauleiter de la Bretagne romaine, Empereur, que sais-je ?

– Au niveau stratégique. On voit que ç’est extrêmement compliqué, Barto défend les députés ses potes contre la "transparence", le voyeurisme type médiatique, etc. C’est de bonne camaraderie, de mauvais calcul en même temps et c’est tout à fait sectaire, clanique, antidémocratique. D’autant que Barto sait combien les Français sont favorables aux emmerdes possibles des parlementaires (pas de cumuls, pas de séances de nuit trichées, pas de... pas de... pas de maîtresse assistante parlementaire....

– Au niveau métaphysique, ce que Barto n’a pas encore clairement analysé : c’est que les Français massivement se tamponnent de l’Assemblée, se tamponnent de leurs élus qui ne le sont pas, mais sont surtout des grenouilles de partis.
Bref rebref, les Français faut pas les pousser dans leurs retranchement. In fine, les Français disent à Bartolone, et en latin :

"Vanitas vanitatum, et omnia vanitas !", qui t’as fait prince Barto, et à quoi ça tient, ne parie pas trop contre le destin.

C

Final

Nous en tout cas on serait bien d’avis qu’on (François) te renvoie à l’agriculture de ton estimable et philosophique jardin potager.

Oui dans l’immédiat, mais on peut encore changer, nous serions assez pour virer Claude comme un malpropre, défenestré en veillant toutefois de ne pas le blesser sur les grilles pointues de l’Assemblée.

Mais bon Claude peut encore certainement se racheter. Ca coûte rien ! ou pas tellement.

Nous nous en tenons pour le moment à notre position, Bartolone doit être liquidé pour l’exemple si rien ne change !

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¤ Avertissement préliminaire de l’Ocséna, références et autres liens

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¤ Avertissement "final" de l’Ocsena : Les dossiers à ne pas rater

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Ocséna, Organisation contre le système-ENA et pour la démocratie avancée

Les Inoxydables Philosophes de l’Ocséna et Alain Serge Clary vous saluent bien : "Best Regards".

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